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Antiténèbres
Antiténèbres
  • Histoire des relations entre l'Unesco, Auroville, et la Sri Aurobindo Society (S.A.S.). Histoire de base de plusieurs associations françaises relatives à cette ville et à Sri Aurobindo, la Mère, etc. Autres faits en France, et d'autres choses.
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Partie3:Associations. (25p. environ.)

Pour lire ce qui précède, cliquer ici. Texte écrit avec la nouvelle graphie de la langue française. Par ailleurs, il y a probablement des fautes de français : tant pis !

 

CHAPITRE 20

VERS LE MILIEU DE 71, ROGER ANGER
REJETA ENCORE LE PLAN DE MARS 66
AU PROFIT DE CELUI DE JANVIER 68,
TRAHISSANT ENCORE LA MÈRE
AFIN DE SATISFAIRE SON ÉGO,
S’ENFONÇANT DANS SON DÉRAILLEMENT


La Mère, en s’occupant de faire construire le Matrimandir, mit en application cet élément de base de son projet de juin 65, et aussi le projet de mars 66 qui avait cet élément et qu’elle avait accepté globalement avec enthousiasme.

Roger Anger, en s’occupant, à partir de janvier 70, de la construction de ce bâtiment, s’occupa aussi de ce premier aspect et aussi, objectivement, de ce deuxième.
Est-ce qu’il le comprit ?
Est-ce que l’action de s’occuper de la construction du Matrimandir le fit se remettre sur les bons rails ?
Il n’avait pas suivi la Mère mais son égo qui avait trouvé un ou plusieurs arguments pour agir selon ce qu’elle voulait.
Son égo continuait de le pousser à l’action et il y eut donc la suite naturelle que voici.
Anger refusa d’admettre que son projet de janvier 68, sans bâtiment central, n’était pas celui qui avait commencé à être mis en application ! Il ne voulut pas l’abandonner et se rallier au projet de mars 66. En agissant ainsi, il s’enfonça dans sa trahison de la Mère.
Il l’aggrava de la manière suivante.
Quelques mois après que le creusement du sol pour les fondations du Matrimandir ait commencé en mars 71, Anger tritura la plus grande de ses deux maquettes en forme de galaxie et sans représentation du Matrimandir au centre.
Il modifia le centre, le maquilla, lui mit un masque, en y plaçant une telle représentation.
Ce faisant, il chercha à faire croire, peut-être d’abord à lui-même mais surtout aux autres, que son projet de janvier 68 pouvait être mis en application, et même qu’il était celui qui avait commencé à l’être, celui choisit par la Mère, celui dont elle voulait la mise en application !
Roger Anger, sur son égo, posa un masque de serviteur de la Mère. Il continua d’effectuer la transformation : Auroville, la ville de Roger Anger (soutenu par la S.A.S.) ! Anger eut beaucoup de disciples, ses serviteurs volontaires. Mais ça ne concernait que la maquette et la volonté de la mettre en application car, dans la réalité, aucun des éléments caractéristiques de cette maquette ne fut réalisé, malgré l’acharnement et la tentative programmée pour le 28 février 2018* d’en créer un début mais qui échoua.
Sur cette maquette masquée, cette maquette de tromperie, Anger, malgré lui, exprima qu’il ne suivait pas la Mère même à propos du centre, car il ne put s’empêcher de faire intervenir son égo. Dans le plan de celle-ci, le bâtiment est au centre, et tout autour il y a des zones en anneaux concentriques (comme dans son symbole). Anger, dans la lignée du centre de sa maquette sans bâtiment de la Mère, plaça une représentation de celui-ci de manière désaxée et dans un ovale. Ça correspond aux branches de la forme de galaxie et c’est leur mouvement qui fut introduit, confirmé, dans la zone centrale. Ça empêche qu’il puisse y avoir le symbole : Anger continua d’évacuer ce dernier de son projet.
(Les péripéties relatives à la forme prévue pour Auroville sont racontées dans le texte dont le titre commence par : À bas la forme de galaxie pour Auroville !)

 

CHAPITRE 21

POUR L’ASSOCIATION N°1,
SUITE JUSQU’AU 2me NOM ET
À LA 3me ADRESSE DU SIÈGE SOCIAL


17 DÉCEMBRE 71, ASSEMBLÉE GÉNÉRALE À LA PERMANENCE DU 8 RUE BRÉMONTIER, AVEC DÉCISION DE CHANGER L’ADRESSE DE LA PERMANENCE

- Élection d’un nouveau Comité d’Administration.

Ci-après, pour chaque nom, on ne place pas le signe d’omission de la situation concernant la date et le lieu de naissance, la profession et l’adresse du domicile.
Dominique Darr,
Micheline Étévenon,
Pierre Étévenon,
Paulette Heymann,
Mario Heymann,
Guy Barrier,
Pierre Garrigues,
Klara Siritzky-Szemzo,
Françoise Sercommanens,
Michel Sercommanens,
Jacqueline Lacoste,
Yvonne Erbibo,
André Tardeil,
Françoise Dupont.
Sur l’extrait du procès-verbal de ces élections qui fut préparé pour être transmis à la Préfecture, il est écrit que « Tous les membres du Comité d’Administration ont la nationalité française ».
Il faut en conclure que Mario Heymann s’était fait naturalisé Français.
- Décision d’accepter la proposition de transférer la permanence au 67 rue de Rome, Paris 8e, à partir du 1er janvier 72. Il est parlé de la permanence, pas du siège social.

17 DÉCEMBRE 71, RÉUNION DU COMITÉ D’ADMINISTRATION 8 RUE BRÉMONTIER
- Élection des membres du Bureau Exécutif :

Micheline Étévenon,
André Tardeil,
Dominique Darr,
Françoise Sercommanens
et Christian Barthe, simple adhérent, c’est-à-dire pas membre du Comité d’Administration, contrairement aux autres.

POUR TOUS LES FAITS PRÉCÉDENTS DU 17 DÉCEMBRE 71, ÉTABLISSEMENT D’UN EXTRAIT DU PROCÈS-VERBAL À DESTINATION DE LA PRÉFECTURE
Les informations ci-dessus de ce jour proviennent de ce document.

Les deux signataires furent : « Un Administrateur sortant »: « Fr. Barrier », et « Un nouvel Administrateur » : « Françoise Dupont ».
Dans cet extrait, il fut oublié d’indiquer l’élection du Délégué. Un document daté du 7 ou 8 janvier 72, présenté plus loin, montre que ce personnage était Pierre Garrigues.

15 JANVIER 1972*, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE POUR INDIQUER SEULEMENT LES DÉCISIONS PRISES PAR L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 17 DÉCEMBRE 71
Auteur : Françoise Barrier, Secrétaire.


27 JANVIER 72, DATE DE DÉCLARATION DES DÉCISIONS PRISES PAR L’A.G.
Françoise Dupont, en qualité d’« Administrateur », déposa à la Préfecture l’extrait du procès-verbal de l’Assemblée du 17 décembre 71 et la lettre du 15 janvier. Ce fut fait le 27 janvier, selon le tampon de réception placé dessus et selon le récépissé du 4 février 72 dont un exemplaire fut envoyé à l’association. Ce 27 janvier est ainsi la date de la déclaration.


7 OU 8 FÉVRIER 72, RÉUNION DU COMITÉ D’ADMINISTRATION À LA PERMANENCE DU 67 RUE DE ROME
Objet : élire le Délégué de l’Association.

« Pierre Garrigues ayant fait savoir qu’il ne se représenterait pas, Pierre Étévenon, membre du Comité d’Administration, est élu délégué ».
Sur ledit « extrait » du procès-verbal transmis à la Préfecture, il y a la date du « 7 » février. C’est sur le document suivant qu’il y a « 8 ».

8 FÉVRIER 72, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Lettre concernant les décisions prises par le Comité d’Administration le 17 décembre 71 et le « 8 » février 72, et indication que l’extrait du procès-verbal de l’A.G. du 17 décembre 71 avait été « communiqué le 15 janvier 1972 ».

Signataire : le « Délégué », Pierre Étévenon.

14 FÉVRIER 72, DATE DE DÉCLARATION DES DÉCISIONS PRISES PAR LE COMITÉ D’AMINISTRATION
Le tampon de la préfecture placé lors de la réception des documents est illisible.

Sur le récépissé daté du 17 février 72 dont un exemplaire fut envoyé à l’association, il est indiqué que la déclaration fut faite par Pierre Étévenon le 14 février 72.
Comme déjà indiqué, les changements de personnes et d’adresse autre que celle du siège social ne sont jamais indiquées dans le Journal officiel.

OCTOBRE 72, DANS LA REVUE DE L’UNESCO LE COURRIER, ARTICLE SUR « AUROVILLE ET LA PENSÉE DE SRI AUROBINDO »
Ça exista dans le cadre du centenaire de la naissance de Sri Aurobindo. Voir le long texte sur les relations entre l’Unesco et notamment Auroville, qui est sur le présent blog Antiténèbres.


19 DÉCEMBRE 72, A. G. (QUI NE FUT PAS DITE EXTRAODINAIRE) À LA PERMANENCE DU 67 RUE DE ROME, AVEC LA DÉCISION DE CHANGER LE NOM DE L’ASSOCIATION

- Élection d’un nouveau Comité d’administration.

Ci-après, pour chaque nom, on ne place pas le signe d’omission de la situation concernant la date et le lieu de naissance, la profession et l’adresse du domicile.
Jean-Pierre Amadéi,
Alain Bernard,
Dominique Darr,
Patrick Gervais,
Patrice Ghirardi,
Marc Heider,
Michel Petkowicz,
Monique Poughon,
André Tardeil,
Jean-Claude Broc.
Sur l’extrait du procès-verbal de ces élections qui fut préparé pour être transmis à la Préfecture, il est écrit que « Tous les membres du Comité d’Administration sont de nationalité française ».

- Accord pour modifier l’article 1 afin de donner un nouveau nom à l’association : « Auroville International France ».

- Accord pour modifier l’article 21 afin d’ajouter une nouvelle ressource qui fut indiquée ainsi.
« b) Les cotisations exceptionnelles qui peuvent être demandées aux adhérents, pour aider à la réalisation de demandes faites par Auroville ».
Il n’est pas dit si, lorsqu’une telle cotisation exceptionnelle demandée n’est pas donnée, il y a la perte de la qualité de membre de l’association.
En conséquence de ce nouveau b, les anciens b et c devinrent c et d.

Sur l’extrait du procès-verbal préparé pour être transmis à la Préfecture, il y a deux signataires. L’un est dit « Membre du Conseil d’administration sortant » et c’est Micheline Étévenon. Dans le vrai nom, il y avait « Comité », pas « Conseil ». Le nom lors de la création de l’association était « Comité d’Action ». Est-ce qu’il était sur le modèle de Statuts proposé par la Préfecture de police, ou est-ce qu’il avait été choisi indépendamment de tout modèle ? Puis, le 19 juin 69 lors de la modification des statuts, il devint « Comité d’Administration ». Ensuite, est-ce ce mot « Comité » déplaisait encore à la personne qui tapa le texte à la machine ou à Étévenon ? Ou est-ce que, avant octobre 68, le nom « Conseil d’administration » était déjà celui inscrit sur un modèle proposé par la préfecture ?

Sur l’extrait du procès-verbal présenté ci-dessus il n’est pas dit que l’Assemblée générale de ce jour avait le caractère extraordinaire, ce qui, selon l’article 18 des statuts, était nécessaire pour modifier ceux-ci, notamment le nom de l’association.
Même absence de précision sur la lettre du 29 décembre suivant adressée à la Préfecture (et dont il est parlé plus loin).
S’il n’y avait pas ce caractère extraordinaire, l’A.G. du 19 décembre était incompétente.
Si ce caractère existait, est-ce qu’il y eut l’oubli de l’indiquer ? Quoi qu’il en fût, ça n’a pas d’importance pour le fond dans le cas où les convocations à une A.G. ordinaire envoyées à tous les membres de l’association indiquaient que des enjeux étaient de modifier les statuts, notamment le nom en indiquant le nouveau proposé.

SIGNIFICATION DU CHANGEMENT DE NOM

Le deuxième nom est mauvais comme le premier car il n’exprime pas que ça se passe dans le cadre de la manifestation supramentale sur la Terre et que chacun peut y contribuer partout où il est sur celle-ci.


Avec le deuxième nom, le centrage de l’association sur Auroville fut accru puisqu’il y eut un renversement de situation.
Avant, l’action partait de gens en France qui agissaient vers Auroville.
Après, l’action partait de cette ville vers son extérieur. Une sorte de tentacule était étiré. L’association devenait une extension de cette ville, sa représentante, sa vitrine. Et elle lui devait soumission, obéissance, et l’alimenter. Pour l’association et chacun de ses membres en accord avec le nouveau nom, il y avait un renoncement à soi-même. Pour ce qui se passait en France en venant de ce pays, l’association n’était plus rien.
Plus qu’avant, il y avait une poussée à ne pas s’intéresser à l’essentiel de cette ville : « être le serviteur volontaire de la Conscience Divine » mais à s’intéresser à l’idéal de l’unité humaine, ou même seulement à de l’écologie, etc.
Peut-être dans cette conception mais peut-être aussi d’avant, il y a l’idée que tout individu intéressé par Sri Aurobindo et la Mère (et peut-être se mettant à pratiquer) devrait être à Auroville. C’est une idée mauvaise. Il y a pire qui est de ne pas s’occuper de pratiquer le yoga intégral.
Des individus, pas forcément représentatifs de l’association, en arrivèrent à se dire chacun Aurovilien alors qu’ils n’avaient jamais été en cette ville, et à nommer ainsi toute personne qu’ils rencontraient et qui s’intéressait même de très loin à Auroville car s’intéressant surtout à l’apport de Sri Aurobindo et la Mère. Ils se plaisaient dans cette illusion.

Les personnes qui étaient membres de cette association et qui vécurent l’apparition du nom Auroville international France pourraient raconter précisément tout cela.

En pratique, l’association continua de vendre des livres de Sri Aurobindo et de la Mère, fit des prêts de livres, fit écouter de la musique de Sunil (de l’Ashram) et des cassettes de l’Agenda, et avait surement d’autres activités.


27 DÉCEMBRE 72, RÉUNION DU COMITÉ D’ADMINISTRATION À LA PERMANENCE DU 67 RUE DE ROME, AVEC LA DÉCISION DE CHANGER L’ADRESSE DU SIÈGE SOCIAL
- Élection du nouveau Délégué : Alain Bernard (qui succéda à Pierre Étévenon qui ne fut plus membre du C.A.) et qui est aussi membre du Bureau Exécutif.

- Élection des membres du Bureau Exécutif : Alain Bernard, Patrick Gervais, Patrice Ghirardi.
- Décision de transférer le siège social 67 rue de Rome, lieu qui était jusqu’alors seulement celui de la permanence. Il y eut donc une jonction de ces deux situations.
Sur l’extrait du procès-verbal préparé pour être transmis à la Préfecture, il y a deux signataires. L’un est un « Membre du Comité d’administration sortant » et c’est Micheline Étévenon. Il n’y a donc pas le mot inadéquat « Conseil ».

29 DÉCEMBRE 72, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Lettre concernant les décisions prises les 19 et 27 décembre. Il est aussi écrit ceci : « Le courrier que nous vous adresserons sera désormais envoyé en recommandé ».

Signataire : le « Délégué », Alain Bernard.

30 DÉCEMBRE 72, DATE DE DÉCLARATION DES CHANGEMENTS DE NOM ET D’ADRESSE
Les documents furent enregistrés à la Préfecture le 30 décembre, date qui fut donc considérée comme étant celle de la déclaration, comme indiqué sur le récépissé daté du 8 janvier dont un exemplaire fut envoyé à l’association.


18 JANVIER 1973*, PUBLICATION DANS LE J. O. DES CHANGEMENTS DE NOM ET D’ADRESSE
Journal officiel, Lois et décrets, du 18 janvier 1973*, partie « Associations françaises », sous-partie du département de Paris, p. 766. « 30 décembre 1972. Déclaration à la préfecture de police. L’Association pour Auroville change son titre, qui devient : Auroville International France, et transfère son siège social du 4, rue de l’Amiral-Cloué, 75016 Paris, au 67, rue de Rome, 75008 Paris. » Le caractère gras de certains mots est dans le J. O.


1er changement de nom = 2ème nom successif.
2ème changement d’adresse du siège social = 3ème adresse successive.

 

 CHAPITRE 22
À UN MOMENT INCONNU ICI,
LA MAQUETTE SE RETROUVA
DANS LE LOCAL DE L’ASSOCIATION N° 1

Une maquette d’Auroville en forme de galaxie faite par Roger Anger se retrouva dans le nouveau local de l’association n° 1.
Est-ce qu’elle était déjà dans le précédent ou dans un local de permanence ?
Est-ce qu’elle y était avant de recevoir en son centre une représentation du Matrimandir et continua d’y être après l’avoir reçu ?
En tout cas, cette association existait, travaillait, pour l’Auroville de Roger Anger (quoique, derrière, il y avait l’Auroville de la Mère).
Pour les personnes qui s’intéressaient à la forme d’Auroville, ça ne pouvait pas être ignoré car, dans ce local, il y avait une grande entrée et la maquette était posée au milieu, à hauteur de table. En entrant et si on avait avancé tout droit, on se serait cogné dedans.
Mais les personnes qui ne s’intéressaient pas spécialement à Auroville et qui avaient un rejet de la focalisation de cette association sur ce qui se passait à l’autre bout du monde mais qui allaient dans ce local pour acheter un livre ou autre chose ne regardaient pas cette maquette (et ne pouvaient pas savoir s’il y avait ou non une représentation du Matrimandir en son centre).

 

 CHAPITRE 23
À UN MOMENT INCONNU ICI, CRÉATION
D’UNE REVUE INTERNE À L’ASSOCIATION N° 1

À un moment fut créé une revue mensuelle, titrée auroville-lien. Elle fut, peut-être toujours, marquée « en attente de commission paritaire », c’est-à-dire en attente d’un numéro de cela ou de quelque chose de ce genre, qui était une reconnaissance étatique. Est-ce qu’un but était de diffuser la publication dans des kiosques ? Est-ce qu’il y avait la recherche d’un avantage fiscal ou autre ?

 

CHAPITRE 24

VERS « 1970 À 1973 », RELATIONS ENTRE LA MÈRE,
LES DEUX ÉTÉVENON, L’ASSOCIATION FRANÇAISE
ET LE NOM AUROVILLE INTERNATIONAL

Sur le site internet de l’association Auroville France, en cliquant sur l’onglet « Actualités », puis sur « Archives d’évènements », on arrive sur une page titrée « Café Auroville du 28 mars 2015 », il y a notamment ceci. « [...] Pierre Etevenon [...] il a résidé chaque été avec sa femme Micheline, à l’ashram de Sri Aurobindo et à Auroville, de 1970 à 1973, où Mère leur a donné la responsabilité d’Auroville France puis d’Auroville International France à Paris. »

Ce fut lors de la discussion dans la boutique à boissons que Pierre Étévenon annonça cela.
On fait comme si les dates « 1970 à 1973 » étaient exactes, et on place le présent chapitre ici afin que son contenu n’ait pas d’influence sur la perception des chapitres précédents à propos du changement de nom de l’association qui fut décidé le 19 décembre 72.
Le don de « la responsabilité » aurait existé l’été de 70, de 71 ou de 72.

Dans le texte commenté, il est fait comme s’il y avait deux associations, peut-être successives, dont la première correspond au nom « Auroville France » et la deuxième au nom « Auroville International France ».
On peut aussi envisager qu’une seule association soit en jeu, ayant eu deux noms successifs.

Ici, on ne sait pas ce que la Mère approuva, décida à propos des deux Étévenon et d’une association en France.
Est-ce qu’elle leur donna « la responsabilité » de quelque chose ? Si oui, pourquoi n’y eut-il pas un message écrit indiquant cela afin d’éviter des contestations en France ? Est-ce qu’il y eut seulement la déclaration faite à la Mère par les deux Étévenon qu’ils voulaient agir en France au profit d’Auroville et que la Mère leur répondit que c’était bien mais sans rien dire à propos du genre d’action, notamment en ne confiant aucune responsabilité ? Elle approuvait tout ce qui exprimait une réception de l’idée d’Auroville, un soutien à cette cause, en laissant les gens agir selon le meilleur d’eux-mêmes et aussi selon leur égo.
Si des personnes étaient passées devant la Mère, avant ou après les deux Étévenon, et en lui disant exactement la même chose, est-ce qu’elle aurait fait la même réponse ?
Vu sa réaction face à l’Iranien Ahi, elle pouvait laisser chacun agir selon son aspiration, selon sa prétention, faisant aspirer à créer un monopole si ça lui plaisait.

Ce qui se perçoit de la consultation des documents présentés dans le présent texte et de ce qui s’entendait à l’époque est que Micheline Étévenon voulait diriger, et même être au centre d’une chapelle, et que sa grande quantité d’argent lui donnait du pouvoir puisque c’est par lui que de grands locaux furent loués successivement pour l’association. Quels sont les éléments de cette rumeur qui correspondent à la réalité ?

Dans le texte commenté, il est parlé du don de « la responsabilité d’Auroville France puis d’Auroville International France ». Est-ce que la Mère employa le nom « Auroville France » ? C’est douteux. Est-ce que les paroles d’Étévenon furent rapportées correctement ? Si oui, est-ce que le nom « Auroville France » était déjà employé en France vers 70-73 ou est-ce que faire comme s’il l’était est un anachronisme, et est-ce qu’il y eut la volonté de se placer, en mots, à l’origine de l’association n° 2 ? Est-ce que les paroles furent mal rapportées ?

Par ailleurs, dans le récit qui est sur le site internet de l’association n° 2, Auroville International France, il est écrit que celle-ci est la même que celle qui avait été créé en 68 et qui existait vers « 1970 à 1973 ». C’est un mensonge notoire et il est présenté plus loin.
Est-ce que Pierre Étévenon lut cela ? Si oui et s’il ne demanda pas l’apport d’une ou plusieurs corrections, il approuverait le compte-rendu où ce mensonge notoire est exprimé.
En ce cas, cet individu serait dans beaucoup d’obscurité.
Est-ce que Pierre Étévenon est encore vivant ? Si oui, il pourrait rapporter lui-même par écrit, le plus précisément et fidèlement possible, ce que la Mère indiqua vers « 1970 à 1973 » et diffuser ce texte. Il pourrait aussi apporter sa version des évènements depuis 1965* au moins.

Quoi qu’il en fût, en 1970* il est probable que la Mère savait déjà qu’une association avait été créée en France puisque Roger Anger (qui la fréquentait souvent à propos du plan d’Auroville et d’architecture) était à son origine.

 

 CHAPITRE 25

POUR L’ASSOCIATION N° 1, SUITE JUSQU’AU 3me OBJET

19 JUIN 1973*, A. G. ORDINAIRE AU SIÈGE SOCIAL 67 RUE DE ROME
- Désignation d’un nouveau comité d’administration.

Ci-après, pour chaque nom, on ne place pas le signe d’omission de la situation concernant la date et le lieu de naissance, la profession et l’adresse du domicile.
Membres élus :
Maurice Faure,
Yvonne Garry [nom peu lisible et, donc, peut-être inexact],
Joël Jouffriault,
Marc Texier [nom peu lisible],
Pascal Herbulot,
Mario Heymann,
Paulette Heymann,
Michel Mauduit,
Jacques Rigault [nom peu lisible],
Catherine [nom illisible],
René Pineau,
André Provost,
Membres cooptés :
Michel Cazamayou,
Charles Chopelin,
Dominique Darr,
Nicole Elfi,
Micheline Étévenon,
Pierre Étévenon.
Rien ne fut écrit concernant la nationalité.


19 JUIN 1973*, ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE AVEC DÉCISION DE CHANGER L’OBJET

INTRODUCTION


- Décision de modifier les statuts, notamment de changer l’objet.
De toutes les pages, il n’y en a que deux dans le dossier consulté. Est-ce que leur contenu fut le seul où il y ait eu des modifications ?
Voici ces deux pages complètes.

LA PREMIÈRE PAGE, AVEC LES BUTS, COMMENTÉS

« Art. 1er. Dénomination
Sous la dénomination d’Auroville International France, il est fondé une association à but non lucratif, régie par la loi de 1901 et par les présents statuts.

Art. 2. – But
Cette Association a pour but :

a) De faire connaître Auroville [.]
b) De rechercher, de réunir et de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires à la réalisation d’Auroville conformément à la pensée de Sri Aurobindo et de la Mère, et à la Charte d’Auroville.
c) De diffuser la pensée de Sri Aurobindo et de la Mère, fondement d’Auroville [.]
d) De rassembler ceux qui sont concernés par cette action [.]
e) D’informer sur ce qui se passe à Auroville.
Art. 3. – Siège
Son siège est à Paris. Il peut être transféré partout ailleurs en France sur décision du Bureau.

Art. 4. – Durée
La durée de l’Association est illimitée.

Art. 5 – Composition
L’Association se compose :

1° De membres actifs.
Sont considérés comme tels ceux qui auront demandé à adhérer à l’Association, conformément aux présents statuts et au règlement intérieur.
2° De membres bienfaiteurs.
Le Conseil d’administration pourra nommer des membres bienfaiteurs. Seront nommés membres bienfaiteurs ceux qui voudront aider et donner leur appui moral à l’Association, tout en restant étranger à son fonctionnement.
Les membres actifs et bienfaiteurs sont des personnes physiques ou morales. »
Art. 6 – Admission et perte de la qualité de membre.
Les conditions d’admission des membres ainsi que la perte de la qualité de membre sont déterminées par le règlement intérieur. »

Fin de la reproduction de la page 1.

Le nom de l’association indique un centrage sur quelque chose qui est hors de soi et ce n’est pas bien. Pareil pour les buts, (le « but »).

Dans l’article 2, le a semble concerner l’existence même d’Auroville. Est-ce que ça inclut le cadre de la manifestation supramentale ?

Ce qui, dans les statuts précédents de 1969* était appelé « l’esprit de l’œuvre de SHRI AUROBINDO » est désormais appelé, deux fois, « la pensée de Sri Aurobindo et de la Mère ». L’ajout de la référence à la Mère fut bien.
On peut comprendre qu’un but soit de « diffuser » cette « pensée ». On diffuse une « pensée » en diffusant les livres où elle est exprimée, et aussi en faisant des conférences ou par le bouche-à-oreille entre deux personnes, en organisant des réunions entre personnes déjà intéressées mais qui veulent comprendre davantage, en publiant des articles dans des journaux ou en rédigeant de nouveaux livres, en faisant des films, etc. Tous « les moyens adéquats » sont envisagés. On peut ne pas chercher à diffuser en même temps de nombreux éléments de ladite « pensée », mais choisir par exemple d’en diffuser un par un, par exemple celui que le prétendu dieu créateur des religions dites monothéistes est un être hostile qui inventa l’idée de dieu créateur en se disant l’être. (Des buts étaient de se faire admettre par les humains, de les dominer, de se faire adorer par eux.) Un autre élément peut être la présence du psychique, ou la conception présentée sous le titre « Plans et parties de l’Être ».
Il est parlé de Sri Aurobindo et de la Mère seulement à propos de leur « pensée », ce qui est très réducteur.
Il est parlé de cette « pensée » seulement en la présentant comme « fondement d’AUROVILLE » et à propos de la « réalisation » de cette ville, ce qui est encore plus réducteur. Auroville existe dans le cadre de la manifestation supramentale sur la Terre.
Il est d’abord parlé de « la réalisation d’Auroville conformément à » cette « pensée ». Ça signifie que des gens, dans Auroville et hors d’elle, s’occuperaient d’agir par rapport à elle, un idéal, c’est-à-dire par rapport à ce qu’ils en comprennent, c’est-à-dire par rapport à leur propre compréhension, leur conception à ce sujet, leur idéal. À ce sujet, pour des individus vivant dans Auroville et hors d’elle, il n’y a donc pas l’idée d’une action provenant de son propre psychique et la suite, il n’y a pas l’idée d’une action de la Mère, il n’y a pas l’idée d’une action selon l’ouverture et la réceptivité de chacun à cela. L’essentiel est omis. À ce sujet, il n’est donc pas dit que le commencement des actions de « rechercher », « réunir » et « mettre en œuvre » doive être la conséquence de la pratique du yoga intégral, et que celles-là doivent être faites par cette pratique, même si on n’en est encore qu’au tout début. Il est exprimé qu’il y a un centrage sur quelque chose qui est hors de soi, et qu’un intérêt mentalo-sentimental est suffisant.
C’est seulement par l’expression « tous les moyens nécessaires à la réalisation d’AUROVILLE [...] conformément à la CHARTE D’AUROVILLE » qu’il y a indirectement l’idée nécessaire. Elle est exprimée dans cette Charte par : « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». L’idée qui apparait alors est que, pour quelqu’un vivant à l’extérieur de cette ville, pour contribuer vraiment à la réalisation de celle-ci il faut aussi agir ainsi. (Lorsque ce n’est pas le cas, de l’aide peut quand même être apportée, mais qui peut aussi pousser dans de l’erreur.) Il serait donc dit indirectement que le commencement des actions de « rechercher », « réunir » et « mettre en œuvre » devrait être la conséquence de la pratique du yoga intégral, et qu’elles devraient être faites par cette pratique, même si l’on n’en est encore qu’au tout début. Mais est-ce qu’il est tenu compte de cette indication contenue dans la Charte !? Et surtout, est-ce qu’il est tenu compte de cela à propos des actions des membres d’une association en France !? Si oui, l’essentiel ne serait pas omis.
Il resterait qu’il y a un centrage sur quelque chose qui est hors de soi, Auroville, et que cette position est contraire à un centrage sur son psychique, etc.

Un but de l’association serait aussi de « rassembler ceux qui sont concernés par cette action ». On peut supposer que ces deux derniers mots ne concernent pas seulement ce qui est dans l’alinéa précédent mais ce qui est dans les trois précédents (et peut-être aussi ce qui est dans le suivant). Il y a une volonté de regroupement.
On ne sait pas si l’association regroupa tous les Français de France et des étrangers vivant en ce pays qui étaient concernés par l’objet indiqué. En tout cas, elle n’arriva pas à intégrer en elle des Français qui considéraient que le centrage sur Auroville était mauvais, et que l’absence d’indication d’un centrage sur son psychique et la suite créait une situation étouffante qui était repoussante.

Il est aussi parlé « d’informer sur ce qui se passe à AUROVILLE », tout étant compris ou même seulement répété à travers les filtres mentaux admis, et l’information qui suit est la conséquence de cela.

Dans tout l’article 2, il n’y a donc pas clairement l’idée qu’un processus de manifestation supramentale existe, que chacun le voulant peut y contribuer en pratiquant le yoga intégral (selon son rythme, etc.) quel que soit son lieu de vie, qu’Auroville fait partie de ce processus, que des personnes vivant hors de cette ville et pratiquant le yoga intégral peuvent se retrouver en train de s’occuper spécialement de soutenir le développement de cette ville, tant que leur guide intérieur leur fait faire cela, et en se rassemblant dans l’association en jeu, tant que leur guide intérieur leur fait faire cela.

Dans ce texte de 73, il n’y eut plus de référence aux décisions de l’Unesco prises en 66 et 68. Ce fut l’évacuation de nuisances.
Ensuite, les statuts de toutes les associations en jeu ne firent plus référence aux décisions de l’Unesco. C’est pourquoi celles de 70 ne fut pas reproduite plus haut, et celles de 83, 2007* et 2017* ne sont pas reproduites plus loin.


LA DEUXIÈME PAGE PRÉSENTE

La deuxième page présente commence par la fin d’un article qui est le n° 11.
« Il se prononce sur l’admission ou la radiation des membres.
Il peut convoquer, s’il le juge nécessaire, le conseil d’administration.
Art. 12. - Le secrétaire
Choisi parmi les membres de l’Association, le secrétaire est nommé par le conseil d’administration.

Il est chargé de tout ce qui concerne la correspondance et les archives.
Il rédige les procès-verbaux des réunions des assemblées et, en général, toutes les écritures concernant le fonctionnement de l’Association, à l’exception de celles qui concernent la comptabilité.
Il tient le registre spécial prévu par la loi et assure l’exécution des formalités prescrites.
Il convoque les réunions du conseil d’administration.
Le secrétaire se conforme aux décisions du bureau.
Art. 13. - Le Délégué
Le délégué et le délégué-adjoint, choisis parmi les membres actifs de l’Association, sont élus pour une durée de six mois par le conseil d’administration.

Le délégué représente l’Association dans tous les actes de la vie civile. Il a notamment qualité pour ester en justice, comme demandeur ou défendeur, au nom de l’Association avec l’autorisation du conseil. Il peut former, dans les mêmes conditions, tous appels et pourvois.
En cas d’absence ou de maladie, il est remplacé par le délégué-adjoint et, en cas d’absence ou de maladie de ce dernier, par un membre de l’Association nommé par le conseil.
Le délégué se conforme aux décisions du Bureau.
Art. 14. - Assemblée générale
L’Assemblée générale comprend tous les membres actifs de l’Association.

Elle a lieu une fois par an.
Les membres actifs de l’Association sont avertis par le bureau de la date de l’assemblée générale au moins quinze jours à l’avance.
Les membres empêchés peuvent donner pouvoir écrit à un membre de l’Association pour les représenter.
Art. 15. - Fonctions et pouvoir de l’assemblée générale
L’assemblée générale reçoit le compte-rendu des travaux du conseil d’administration et le rapport financier de l’exercice précédent : elle statue sur leur approbation. »

Fin de page.

Le nom Comité d’administration fut donc remplacé par Conseil d’administration.
Sur ces deux pages, il n’est pas dit que l’A.G. élit les membres du C.A. mais c’est probable.
Il est dit que le C.A. désigne le Délégué, le Délégué-Adjoint et le Secrétaire mais il n’est pas dit que c’est seulement parmi ses membres.
La phrase « Le délégué se conforme aux décisions du Bureau », n’exprime pas si le premier fait partie ou non du Bureau. Il est probable que ça se sait d’après d’autres parties des statuts.

27 JUIN 73, RÉUNION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
- Élection, selon ce qui est indiqué, d’un Délégué, d’un Délégué-Adjoint et du Bureau, faisant ainsi comme si les deux premiers ne faisaient pas partie du Bureau. Pourtant, le contraire existe pour l’un d’eux puisque c’est indiqué dans un tableau. En plus des noms et prénoms, pour chaque personne il y a la date et le lieu de naissance, la profession et l’adresse du domicile. Ces dernières indications ne sont pas reproduites ci-après.

Micheline Étévenon : « Délégué » « Membre du Bureau ».
Michel Cazamayou : « Délégué-Adjoint ».
Nicole Elfi : « Membre du Bureau ».
Patrick Gervais : « Secrétaire » « Membre du Bureau ».
Pascal Herbulot : « Membre du Bureau ».

2 JUILLET 73, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Lettre concernant toutes les décisions prises le 19 et le 27 juin, avec les deux pages reproduites des Statuts.

Auteur : le Secrétaire Patrick Gervais.

5 JUILLET 73, DÉCLARATION À LA PRÉFECTURE DU CHANGEMENT D’OBJET (ET DES AUTRES MODIFICATIONS)
Lorsque le tampon de la préfecture placé sur chacun des documents lors de leur réception est lisible, il indique la date du 5 juillet 73.

Sur le récépissé daté du 18 juillet 73 dont un exemplaire fut envoyé à l’association, il est indiqué que la déclaration fut faite par Patrick Gervais le 5 juillet 73.

EXISTA-T-IL UNE PUBLICATION DANS LE J. O. ?
Dans le Journal officiel, une publication de l’annonce de modification ne fut pas trouvée.
La cause est-elle une recherche incomplète ou mauvaise pour une autre cause ? Est-ce qu’une publication exista ?
Quoi qu’il en fût : 2ème changement d’objet = 3ème objet.

 

 CHAPITRE 26
17 NOVEMBRE 1973*, SELON L’ASHRAM :
MORT DE MIRRA ALFASSA/LA MÈRE,
ET CONSÉQUENCES DANS AUROVILLE

Le mot mort est employé car il correspond au fait visible dont chacun a la conception qu’il veut. Ici, il est précisé « selon l’Ashram » car, malgré le traitement qu’il infligea, la mort put arriver le lendemain par exemple.
La Sri Aurobindo Society (S.A.S.) se considéra propriétaire des terres, avec des conséquences, et, n’ayant pas compris que son projet créé en aout 64 avait été remplacé en juin 65 par celui de la Mère, elle voulut tout diriger dans Auroville et que tous les Auroviliens lui soient soumis.
Il y eut un conflit.

 

 CHAPITRE 27
EN 1974*-1975*, À PROPOS DE MICHELINE ET PIERRE ÉTÉVENON
ET DE « PAVILLONS CULTURELS » DE PAYS
DANS LA ZONE INTERNATIONALE D’AUROVILLE

(Par une décision du 10 juin 1970*, l’Unesco décida de s’affilier la Sri Aurobindo Society dans la catégorie B, celle des « relations d’information et de consultation ». La S.A.S. en fut informée et, par une lettre datée du 13 juillet 70, Navajata, son Secrétaire général, indiqua accepter cette décision, cette affiliation. C’est narré sur le présent blog Antiténèbres dans un texte sur les relations entre l’Unesco, la S.A.S. et Auroville.)
En conséquence, l’été 74 l’Unesco invita la S.A.S. à envoyer un représentant comme observateur à la dix-huitième Conférence générale qui devait exister à Paris du 17 octobre au 23 novembre. Navajata désigna Kailas Jhavéri. Par une lettre du 11 septembre 74 qui fut reçue le 18 (et qui est aux archives de lUnesco), elle prévint son Directeur général quelle représenterait la S.A.S. et  Auroville, « the Society and Auroville ».
Que ce soit ou non en conséquence de cela, elle prépara un nouveau projet de résolution à tenter de faire adopter par la Conférence générale. Elle le transmit au Gouvernement indien qui le modifia un peu et le transféra à l’Unesco au Secrétariat de laquelle il parvint le 18 octobre 74. Jhavéri alla à Paris au début du mois de novembre.
Toute cette histoire avec son séjour en cette ville est racontée aux pages 392 à 403 de son livre en anglais : I am with you, Part II and III, « Remembrance of the Mother and Sri Aurobindo », Kailas Jhaveri, Puducherry : Sri Aurobindo Ashram, 2007*. C’est la première édition. En français : Je suis avec toi, Partie I et II, Souvenirs sur la Mère et Sri Aurobindo. (Concernant son projet de résolution, elle parla d’une opposition momentanée de la Suisse et du texte qu’elle rédigea et elle le reproduisit. Elle indiqua aussi ceci p. 394 : « La résolution suivante sur les Pavillons culturels internationaux passa à l’unanimité ». «The following resolution on International Cultural Pavilions was passed unanimously. » Mais son texte qui avait été corrigé pour devenir le projet de l’Inde ne devint pas une résolution. À propos de ces Pavillons, il y eut un échec. Ce qui exista est narré dans le texte sur les relations entre lUnesco, la S.A.S. et Auroville.)
Pendant le séjour de huit mois à Paris, Jhavéri se retrouva vivre longtemps chez Micheline et Pierre Étévenon.
Ce fut vers cette époque, et probablement en conséquence de laction de Jhavéri, que l’association n° 1 se mit aussi à sagiter en cherchant à déterminer l’apparence extérieure du Pavillon qui correspondrait à la France. Fut choisie celle d’un mas provençal, un des bâtiments traditionnels dans une partie du sud-est de la France métropolitaine. Ce fut écrit dans une publication de l’association mais les références de celle-ci ne sont pas connues ici. Les personnes qui les chercheront pour les publier pourront aussi indiquer s’il était écrit de France ou de la France. Chercher aussi en d’autres éventuels articles sur ce sujet.

 

 CHAPITRE 28

SUITE CONCERNANT L’ASSOCIATION N° 1
JUSQU’EN JANVIER 75


30 JANVIER 74, RÉUNION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION

- Élection pour la « Composition nouvelle du Bureau ».

Ci-après, pour chaque nom, on ne place pas le signe d’omission de la situation concernant la date et le lieu de naissance, la nationalité (dont l’indication existait cette fois à ce lieu, et elle est toujours française), la profession et l’adresse du domicile.
Micheline Étévenon,
Nicole Elfi,
Françoise Dupont,
Christine Devin,
Pascal Venet,
Monique Poughon. Sur le document, ce dernier nom est peu lisible et il est donc peut-être reproduit de manière erronée.

Dans un tableau annexe qui fut transmis plus tard à la Préfecture sont indiqués « l’adresse des membres du bureau ainsi que leur fonction dans le Bureau ».

Le tableau est titré « Tableau annexe des fondés de pouvoir de l’association ».
Depuis le début où le nom de Micheline Étévenon apparait dans les documents, sa profession annoncée fut « Fondé de pouvoir ». (Selon une rumeur, elle aurait été fille d’un banquier. Si c’est vrai, est-ce que c’était dans cette banque qu’elle avait cette profession ?) Est-ce que ce fut d’elle que provint l’idée de dire que les membres du Bureau étaient des « fondés de pouvoir » ?

Sur le tableau sont répétés les nom et prénom des six personnes qui étaient objectivement les membres du Bureau, en indiquant pour chacune, son adresse et sa « fonction dans le Bureau ».
Dans l’ordre des six noms indiqués plus haut, il y a ceci :
« Délégué » « Membre du Bureau »,
« Délégué-adjoint »,
« Secrétaire »,
« Employé-librairie »,
« Membre du Bureau »,
« Membre du Bureau ».

31 JANVIER 74, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Lettre concernant les décisions prises le 30 janvier.

Auteur : la Secrétaire Christine Devin.

4 FÉVRIER 74, DATE DE RÉCEPTION DE LA LETTRE PRÉCÉDENTE
Sur la lettre du 31 janvier, le tampon de la Préfecture indiqua la réception faite le 4 février.


15 FÉVRIER 74, LETTRE ENVOYÉE PAR LA PRÉFECTURE À L’ASSOCIATION
Voir ci-après.


17 FÉVRIER 74, RÉPONSE ENVOYÉE PAR LA SECRÉTAIRE, OÙ L’ON PERÇOIT LES CONTRÔLES EFFECTUÉS PAR LA PRÉFECTURE SUR LES ASSOCIATIONS

« Messieurs,

Suite à votre lettre du 15/2/74, nous avons l’honneur de vous retourner les pièces ci-jointes dûment complétées (composition nouvelle du bureau, noms, prénoms, date et lieu de naissance, nationalité, profession, de chacun des membres du Bureau).
Vous souhaitant bonne réception de ce document, nous vous prions d’agréer, [...]. » (F.d.c.)
Auteur : la Secrétaire Christine Devin.

La page concernant la « Composition nouvelle du Bureau » fut exactement la même que celle déjà envoyée le 31 janvier. (C’est compréhensible si le problème était celui de lindication de la nationalité et si le fonctionnaire de la préfecture navait pas vu quelle était indiquée.) Par ailleurs, ni l’une ni l’autre de ces pages ne reçut un tampon indiquant une date de réception.


27 FÉVRIER 74, DATE DE LA DÉCLARATION DES MODIFICATIONS
Les documents précédents furent peut-être déposés sur place car, sur la lettre du 17 février, le tampon de la Préfecture indiqua la réception faite le 27 février et, sur le récépissé daté du 8 mars 74 dont un exemplaire fut envoyé à l’association, il est écrit que la déclaration fut faite par Micheline Étévenon le 27 février 74.


MICHELINE ÉTÉVENON PRÉSENTÉE COMME « PRÉSIDENTE »
Sur les deux documents concernant la « Composition nouvelle du Bureau », l’un des signataires fut Micheline Étévenon et, pour elle, la personne qui tapa le texte à la machine écrivit : « La Présidente du nouveau Bureau ».

Par ailleurs, lors de la Déclaration faite par cette personne le 27 février, elle se déclara « Présidente de l’Association », comme indiqué sur le récépissé du 8 mars 74.
D’après les Statuts de l’association, sa fonction était Déléguée. Le titre de Présidente n’y existait pas.


12 JUIN 74, ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
- Désignation d’un nouveau Conseil d’administration.

Ci-après, pour chaque nom, on ne place pas le signe d’omission de la situation concernant la date et le lieu de naissance, la profession et l’adresse du domicile. (Il n’y a pas de colonne pour la nationalité.)
Membres élus :
Marielle Aubegny,
Dominique Darr,
Michel Cortella,
Jean-Pierre Dollone,
Marie-Claire Dupont,
Micheline Étévenon,
Pierre Étévenon,
Joël Jouffriault,
Patrice Ghirardi,
Marie-Odile Leroux,
Philippe Meslier,
André Provost,
Membres cooptés :
Christine Devin,
Nicole Elfi.
Rien ne fut indiqué concernant la nationalité.

19 JUIN 74, RÉUNION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
- Élection, selon ce qui est indiqué, d’un Délégué, d’un Délégué-Adjoint et du Bureau.

Sur un Tableau annexe des « fondés de pouvoir de l’association », sans reproduire ici la profession et l’adresse de chaque personne, il y a ceci.
Micheline Étévenon : « Délégué »,
Christine Devin : « Secrétaire »,
Nicole Elfi : « Membre du Bureau » « Délégué-Adjoint »,
Patrice Ghirardi : « Membre du Bureau ».

23 JUIN 74, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Lettre concernant les décisions prises le 12 et le 19 juin 74.

Vu que les statuts complets ne sont pas connus puisqu’il n’y en a que deux pages qui sont reproduites plus haut, et vu les fonctionnements bizarres qui existèrent parfois ensuite, voici le contenu de cette lettre, qui sert de critère pour la suite.
« Nous vous prions de trouver ci-joint en double exemplaire :
1) Un extrait du procès-verbal de l’Assemblée Générale du 12/6/74,
2) Un extrait du procès-verbal du Conseil d’Administration du 19/6/74.
Vous souhaitant […]. »
Auteur : la Secrétaire Christine Devin.
Sur les extraits de procès-verbaux de ces deux réunions qui furent transmis, Micheline Étévenon signa en se présentant comme étant ce qu’elle était : « Le Délégué ».

25 JUIN 74, DATE DE LA DÉCLARATION DES CHANGEMENTS
À la Préfecture, lors de la réception de la lettre du 23 février et de ses pièces jointes, un tampon fut placé. Il indique la date du 25 juin.

Sur le récépissé daté du 2 juillet dont un exemplaire fut envoyé à l’association, il est indiqué que la Secrétaire fit la déclaration le 25 juin.
25 juin 74 est la date de la déclaration.

18 DÉCEMBRE 74, RÉUNION, SELON LE P.-V., DU « CONSEIL D’ADMINISTRATION »

Environ six mois après ce qui précède, le 18 décembre 74, il y eut quelque chose qui était bizarre.

Ici, on ne peut pas affirmer que c’était contraire aux statuts puisque tous les articles de ceux-ci ne furent pas lus, notamment ceux concernant l’organe qui désigne les membres du C.A., et celui qui désigne le Délégué, etc.
Par contre, en se référant au fonctionnement typique d’une association selon la loi de 1901* et à la lettre du 23 juin 74, on peut affirmer qu’il exista un fonctionnement qui était anormal puisque ce fut le Conseil d’Administration qui se réunît pour « 1) Élire le Délégué », « 2) Élire le Délégué Adjoint », « 3) Élire le Bureau », « 4) Élire le Conseil ».
Ce fut l’ancien C.A. qui désigna les membres du nouveau C.A., et il fit cela après avoir attribué les fonctions de Délégué, Délégué Adjoint et autres membres du Bureau, ces deux premières fonctions n’étant pas considérées comme faisant partie du Bureau.
Quelle fut la cause de cela ? Qu’est-ce qui existait dans la réalité ?

Une conséquence de l’ordre des quatre actions prévues à l’ordre du jour fut que le résultat de l’élection des membres aux fonctions particulières (« Délégué », etc.) fut placé avant le résultat de l’élection des membres du Conseil d’administration.
Une autre conséquence fut que, dans la liste du résultat des élections des membres du Conseil, au lieu qu’il y ait seulement cela, pour chaque nom fut ajouté « membre du Conseil » et aussi, une fonction lorsqu’il y en avait une mais avec aussi des bizarreries.

« Bureau élu le 18/12/74 » par le C.A. :
Micheline Étévenon : « Délégué » « Membre du Bureau »,
Joël Jouffriault : « Délégué-Adjoint » « Membre du Bureau »,
Patrice Ghirardi : « Membre du Bureau »,
Rachel Neuville : « Membre du Bureau ».
« Délégué » et « Délégué-Adjoint » furent présentés comme membres du Bureau.

« Conseil élu le 18/12/74 » par le C.A. :
Ci-après, pour chaque nom, on ne place pas le signe d’omission de la situation concernant la date et le lieu de naissance, la profession et l’adresse du domicile. Par contre, on place les fonctions qui sont indiquées alors qu’elles ne l’auraient pas été si cette élection avait existé avant l’autre. En plus, Le « Délégué » ne fut pas dit « membre du Bureau », et la fonction de Délégué Adjoint ne fut pas indiquée.
Marielle Aubegny,     membre du Conseil,
Dominique Darr,                 "
Jean-Pierre Dollone,            "
Marie-Claire Dupont,           "
Micheline Étévenon,            "                           Délégué.
Pierre Étévenon,                  "
Patrick Joubert,                   "
Patrice Ghirardi,                  "                           membre du Bureau.
Joël Jouffriault,                   "                           membre du Bureau.
André Provost,                    "
Il n’y a rien concernant la nationalité.

23 JANVIER 75, LETTRE DE TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Lettre concernant les décisions prises le 18 décembre 74.

Auteur : Micheline Étévenon, se présentant seulement comme « Délégué », ce qu’elle était.
« Nous vous prions de trouver ci-joint :
1 – Extrait du [procès-verbal du] Conseil du 18/12/74, élisant le nouveau Bureau, et le nouveau Conseil.
2 – Tableaux annexes.
Vous souhaitant bonne réception [...]. »
Il est écrit que ce fut le « Conseil » qui fit l’élection du « nouveau Conseil ».

30 JANVIER 75, DÉCLARATION À LA PRÉFECTURE
À la Préfecture, lors de la réception de la lettre du 23 janvier et de ses pièces jointes, un tampon fut placé. Il indique la date du 30 janvier 75.

Sur le récépissé daté du 4 février dont un exemplaire fut envoyé à l’association, il est indiqué que Micheline Étévenon fit la déclaration le 30 janvier.
30 janvier 75 est la date de la déclaration.
Il n’y eut pas de publication au J.O. puisque les changements de personnes ne le sont jamais.

ÉTÉVENON PRÉSENTÉE COMME « DÉLÉGUÉ-MEMBRE DU BUREAU »
Le formulaire de ce récépissé qui fut employé était nouveau. Pour la première fois, il était imprimé ceci : « se présentant en qualité de » suivi par un espace sans écriture afin que chacun y écrive sa qualité, puis il y a « de l’association dénommée », suivi par un autre espace sans écriture.

Après « se présentant en qualité de », Étévenon écrivit à la main : « Délégué-Membre du Bureau ».

 

 CHAPITRE 29
VERS 1975*
POUR L’ASSOCIATION N° 1,
UNE ENQUÊTE FAITE
PAR LE SERVICE POLICIER FRANÇAIS
DES RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX

Ici, il n’y a pas d’information sur la cause de l’enquête.
Est-ce qu’elle fut une conséquence du changement de nom car le nouveau, Auroville International France, pouvait correspondre à des décisions prises majoritairement par des étrangers ?
Est-ce qu’elle fut une conséquence de l’absence parfois d’indication de la nationalité des membres du Conseil d’administration ?
Est-ce qu’il y eut les deux causes précédentes ?
Ou est-ce que ce fut parce que Conseil d’Administration avait élu le nouveau C.A. ?
Est-ce que ce fut autre chose ?
Quoi qu’il en fût, l’enquête montra que la police surveillait ce qui se passait dans les associations même lorsqu’elles n’étaient pas classées comme étrangères, et elle faisait cela car la nation française le voulait, pour se protéger.

 

 CHAPITRE 30

SUITE PLUS RAPIDE
CONCERNANT L’ASSOCIATION N° 1,
DEPUIS LES DÉCISIONS DE JUIN 75
JUSQU’À CELLES DE JUIN 77
QUI NE CONCERNENT QUE DES PERSONNES

À l’A.G. du 3 juin 75, élection des membres du Conseil d’Administration :
Jouffriault Joël
Étévenon Micheline
Étévenon Pierre
Darr Dominique
Ghirardi Patrice
Aiguier Micheline
Dupont Marie-Claire
Montaudoin Muriel
Roche Jean-Louis
Koskas Freddy
Meslier Philippe
Dollone Jean-Pierre
« tous les membres du conseil d’administration sont de nationalité française ».
Réunion du C.A. le 19 juin 75 avec attributions de fonction à des membres de lui-même :
Déléguée : Étévenon Micheline.
Délégué-Adjoint et membre du Bureau exécutif : Jouffriault Joël.
Membre du Bureau exécutif : Dupont Marie-Claire.
Membre du Bureau exécutif : Koskas Freddy.
Membre du Bureau exécutif : Dollone Jean-Pierre.
Membre du Bureau exécutif : Pietrzak Marie-Françoise.
Membre du Bureau exécutif : Darrage Élizabeth (qui semble s’être retirée presqu’aussitôt car son nom fut barré lors du courrier à la Préfecture.
La Déléguée ne fut donc pas considérée comme faisant partie du Bureau exécutif.
La nationalité de Pietrzak ne fut pas indiquée.
Suite :
Le 26 juin 75, lettre de transmission des décisions à la Préfecture.


Le 11 septembre 1975, réunion du Bureau Exécutif.
« Ses membres, nommés par le Conseil d’Administration, sont :
Suivent cinq noms d’avant avec, pour Pietrzak, l’indication de sa nationalité française et avec ceci : « Élizabeth Darrage s’étant retirée ».
La Déléguée ne fut donc pas considérée comme faisant partie du Bureau exécutif.
Le 17 septembre, lettre à la Préfecture par Pietrzak et Étévenon pour indiquer ce qui précède.
Déclaration de cela le 18 septembre.
Récépissé de cela du 23 septembre.

Il y aurait eu une A.G. du 27 janvier 76, élection des membres du Conseil d’Administration.
Par rapport au précédent : il n’y a plus Ghirardi Patrice et Meslier Philippe mais, en plus, il y a Aubegny Marielle, Pineau René, Berthier Jacqueline et Carrasco Paule-Jacqueline. « tous les membres du Conseil d’Administration sont de nationalité française ».
Concernant les fonctions attribuées, il n’y a pas d’information peut-être car il n’y eut pas de modification.
Suite possible :
Oubli de transmission à la Préfecture.

Suites certaines :
Le 2 mars 76, la Préfecture réclama quelque chose.

Réponse de transmission le 8 mars signée par « Un membre du dernier bureau », Koskas, et par « Le Délégué membre du Bureau », Mich. Étévenon. La Déléguée se considéra aussi ainsi.
Déclaration du 18 mars.
Récépissé émis par la Préfecture le 24 mars.

À l’A.G. du 17 juin 76, élection des membres du Conseil d’Administration.
En moins : Aiguier Micheline, Dupont Marie-Claire, Montaudoin Muriel, Roche Jean-Louis et Dollone Jean-Pierre.
En plus : Danino Michel (étudiant, domicilié à Rouen), Meyniel Pascal et Rominger Guy. Est-ce que ce Danino était celui qui devint l’aide de Satprem et qui fut dans le conflit de 03 ?
« tous les membres du Conseil d’Administration sont de nationalité française ».
Au C.A. du 29 juin 76, attributions de fonction :
Déléguée : Micheline Étévenon.
Déléguée Adjointe : Paule Carrasco.
Membres du Bureau : Micheline Étévenon, Paule Carrasco, René Pineau et Jacqueline Berthier.
Suites :
Transmission à la Préfecture par lettre du 12 juillet 76.

Déclaration du 27 juillet 76.
Récépissé du 13 aout suivant.

À l’A.G. du 9 juin 77, élection des membres du Conseil d’Administration.
Il n’y a plus Darr Dominique, Danino Michel et quelques autres.
En plus : Gamot Guy, Hutin Michel, Pasquet Jacqueline, Pineau René et Provost André.
« tous les membres du Conseil d’Administration sont de nationalité française ».
C.A. du 25 juin 77 :
Déléguée : Micheline Étévenon.

Déléguée Adjointe : Paule Carrasco.
Membres du Bureau : Micheline Étévenon, Paule Carrasco, René Pineau et Jacqueline Pasquet.
Suites :
Lettre à la Préfecture du 10 juillet 77.

Déclaration du 18 juillet 77.
Récépissé du 5 aout suivant.

 

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