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Antiténèbres
Antiténèbres
  • Histoire des relations entre l'Unesco, Auroville, et la Sri Aurobindo Society (S.A.S.). Histoire de base de plusieurs associations françaises relatives à cette ville et à Sri Aurobindo, la Mère, etc. Autres faits en France, et d'autres choses.
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HistoireDeAssoc.duPavillonDeFr.Etc.(39 p. environ.)

GRANDS FAITS DE LHISTOIRE DE QUATRE ORGANISMES QUI SONT : CENTRE DÉTUDES SRI AUROBINDO, FONDATION SUZANNE VITALIS, ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE DÉTUDES SRI AUROBINDO,
ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE

 

 INTRODUCTION

(La nouvelle graphie de la langue française est employée. Par ailleurs, tant pis pour les fautes de français.)
Une des parties dAuroville est la Zone internationale. Comme lindique ce dernier mot, des nations sont en jeu, signifiant que des pays le sont (la nation de chacun en étant un élément), comme ça existe dans la locution traité international et le nom Organisation des nations unies (Onu).
Cette Zone est faite pour contenir des Pavillons de pays, mais pas de tous ceux qui existent à un moment donné depuis la fondation dAuroville en 68, puisque des pays peuvent être créés par division dun pays qui existait, ou être fusionnés avec d'autres.
La France fait partie des pays qui auront un Pavillon, (des affirmations de la Mère le montrent). Dit seulement à propos de lun des éléments de la France, sa nation : la nation française aura son Pavillon.

En France, au moins deux associations à but non lucratif, associations selon la loi du 1er juillet 1901* remaniée, soccupent de la création de ce qui, selon elles, est un tel Pavillon.
Lune fut créée en juillet de lan numéroté 1989 par tyrannie chrétienne et elle est nommée Auroville International France. Son histoire et plus que cela est présenté dans un autre article du présent blog.
Lautre association fut créée en novembre 89 et elle est connue sous le nom Association du Pavillon de France à Auroville. Vu ce nom, elle existe entièrement pour la création de ce bâtiment. Ce sont les grands faits de son histoire qui sont présentés ci-après. Or celle-ci est imbriquée avec trois autres organismes, ceux indiqués dans le titre du présent texte, et leurs grands faits doivent donc aussi être présentés. Quelques rares autres faits doivent lêtre aussi. La présentation est faite le plus possible de manière chronologique.

Sans parler de la nation française, tous les organismes indiqués ci-dessus sont censés exister dans le cadre de la manifestation supramentale en cours, sont censés en faire partie (sans être des folies notoires pour quiconque), même si cest petitement. Toute personne intéressée par cette manifestation peut avoir intérêt à regarder ce qu'ils sont et font.
Les deux associations sont entièrement relatives à Auroville, daprès leur nom, et toute personne intéressée par cette ville en formation peut donc avoir aussi intérêt à regarder ce quelles sont et font.
Les deux associations sont relatives à la construction d'un Pavillon dans la Zone internationale dAuroville, partiellement pour la première, complètement pour la deuxième. Ce bâtiment est censé être relatif à la France. Au moins certains des membres de la nation française ont intérêt à savoir ce qui est ainsi préparé pour celle-ci, pour eux-mêmes.

Pour tout cela, un moyen est de commencer par prendre connaissance des grands faits de lhistoire de ces organismes.

Plusieurs publications sur papier sont citées, notamment le Journal officiel de la République française, série Lois et décrets, et les références sont indiquées pour chacune.
Les informations trouvées sur internet sont indiquées.
Le plus grand nombre dinformations provient des documents internes aux associations qui ne furent pas publiés, mais des copies furent obtenues de plusieurs préfectures où, selon les règles juridiques, ils avaient été transmis à l'époque de leur établissement.

Dans les citations qui sont effectuées, la forme des mots et signes de chaque annonce du Journal officiel de la République française est reproduite ci-après fidèlement : lettres petites ou capitales, ordinaires ou grasses, emploi ou non du caractère italique, et même graphie. Pour les autres documents, il fut cherché à reproduire la forme le plus fidèlement possible mais, comme déjà dit, la nouvelle graphie de la langue française est employée. Vu le contenu du présent texte, ça concerne surtout la suppression de certains accents circonflexes, comme dans connaitre, apparaitre, et gout. L'accent grave au mot évènement est donc aussi volontaire ainsi que d'autres faits.

Dans le présent texte, l'indication dune année numérotée selon la référence temporelle chrétienne, cest-à-dire numérotée par tyrannie chrétienne, est parfois indiquée avec les derniers mots venant d'être employés. Il y a dautres manières d'exprimer en mots la conscience de cet élément de tyrannie à propos du comptage du temps qui passe et sa contestation mais aucune nest employée dans le présent texte. Toutes les manières sont évoquées par un astérisque placé à sa fin du nombre d'une année numérotée selon la tyrannie chrétienne.
Parfois, les années sont indiquées seulement par les deux derniers chiffres de leur numéro et, dans le présent texte, celui-ci se rapporte à la numérotation selon la référence temporelle à la date grandement approximative de l'apparition de l'actuelle humanité, il y a environ 200 000 ans. Puisque c'est approximatif, il suffit d'ajouter ce nombre à celui employé actuellement et ça donne par exemple : 202 018 de lactuelle humanité. (Les humanités antérieures ne sont ainsi pas incluses.)

 

 CHAPITRE 1
EN 1956*, CRÉATION À PARIS DE LASSOCIATION ÉTRANGÈRE
NOMMÉE « CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO »

AVANT LE 3 NOVEMBRE 1955* À PARIS, QUELQUES PERSONNES SE GROUPÈRENT
Quelques personnes se groupèrent en une association qui n'existait qu'en fait seulement. Autrement dit, elle ne pouvait pas agir en son nom, par exemple ouvrir un compte bancaire ou louer un local.
Cette existence de fait n'était pas prévue pour durer mais n'était qu'une étape très momentanée vers la création d'une association déclarée, c'est-à-dire avec une existence légale.

3 NOVEMBRE 1955*, LETTRE AU MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR

« Monsieur le Ministre,
Les soussignés, dirigeants de l'association dite :
Centre d'Études Sri Aurobindo
dont le siège est à Paris, 7 avenue Carnot (XVIIe) ont l'honneur de solliciter l'autorisation prévue par le décret-loi du 12 avril 1939.
Cette association a pour objet de concourir par tous les moyens adéquats à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo, notamment dans les pays de langue française, et de contribuer à la réalisation du Centre universitaire international Sri Aurobindo à Pondichéry.
La composition de son comité d'action est la suivante :
Secrétaire : Morisset André Henri, Directeur de Société, 7 avenue Carnot, Paris (XVIIe)
Trésorier : Masui Jacques Henri, Homme de lettres [,] [Adresse :] [...]
Membre : Hercik Vladimir, fonctionnaire à l'Unesco [,] [Adresse :] [...]
Paris, le 3 novembre 1955 »
Texte signé par les trois personnes indiquées.
André Morisset était le fils de Mirra Alfassa, « la Mère ».
Dans le nom de l'association, il y a une lettre majuscule au mot « Études ».

La suite est un tableau titré « Liste des membres ».
Les trois premiers membres indiqués sont les trois précédents avec pour chacun une information supplémentaire qui est leur nationalité. Morisset est dit « Français ». Masui est dit « Belge » avec le numéro de son permis de séjour délivré en 1949* et « valable 10 ans ». Hercik est dit « Tchèque » avec le numéro de sa « carte permanente » « de fonctionnaire de l'UNESCO délivrée le 1/1/54 ».
Les quatre autres membres de l'association de fait qui sont indiqués, chacun dit « Membre actif », sont français et sont les suivants.
« MORISSET Janine [ici, un mot barré] Mirra Vve [Veuve] Panier », « Fonctionnaire de l'UNESCO », demeurant 7 avenue Carnot Paris XVIIe. (Elle était une des enfants d'André Morisset.)
« CRÉMIEU-ALCAN Étienne. »
« LOUPOT Jane née ALFASSA ». (Elle était peut-être de la famille du frère de la Mère ou, au moins du côté familial Alfassa.)
« CHAN François ».

Dans la lettre, il est parlé du décret-loi du 12 avril 1939* qui fut publié dans le Journal officiel de la République française du 16 avril suivant en étant précédé d'un rapport. En voici des extraits.
« Décret relatif à la constitution des associations étrangères.
Rapport au Président de la République

Paris, le 12 avril 1939,
Monsieur le Président,
Les étrangers que la France a accueillis libéralement se sont groupés en associations pour des fins culturelles, artistiques, philanthropiques, sportives.
On constate, depuis quelque temps, que certaines de ces associations exercent une activité autre que celle pour laquelle ils [elles] avaient été constitués [constituées]. [Il est probablement parlé d'activité politique notoire et ce, en 39, peu avant le début de la Deuxième guerre mondiale.]
Le danger de ces associations, pour l'ordre et la sécurite nationale, est manifeste et il est urgent, dans les conjonctures actuelles, d'exercer sur toutes les associations étrangères un contrôle très rigoureux.
Les armes dont dispose actuellement l'administration pour combattre l'action de ces groupements, sont insuffisantes pour parvenir à cet objet. Il importe de munir les pouvoirs publics des moyens nécessaires et de subordonner la constitution des associations étrangères à l'autorisation préalable du ministre de l'intérieur, en sanctionnant les infractions éventuelles par des pénalités sévères.
Tel est l'objet du présent projet de décret que nous vous présentons en exécution de la loi du 19 mars 1939, et que nous vous prions de bien vouloir revêtir de votre signature.
Veuillez agréer, monsieur le Président, l'expression de notre respectueux dévouement.
Le Président du Conseil, ministre de la défense nationale et de la guerre,
Édouard Daladier.
Le ministre de l'intérieur,
Albert Sarraut.
Le garde des sceaux, ministre de la justice,
Paul Marchandeau.
Le ministre des affaires étrangères,
Georges Bonnet.
----------------
[La signature fut apposée et il y eut le texte suivant.]
Le Président de la République française,
Sur le rapport [...].
Vu [...] ;
Vu [...] ;
Le conseil des ministres consulté.
Décrète,
Art. 1er. - Il est ajouté à la loi du 1er juillet 1901 sur le contrat d'association, un titre IV, ainsi conçu.

TITRE IV
Des associations étrangères

Art. 22. - Aucune association étrangère ne peut se former, ni exercer son activité en France, sans autorisation préalable du ministre de l'intérieur.
Art. 23. - Elle ne peut avoir des établissements en France qu'en vertu d'une autorisation distincte pour chacun de ses établissements.
Art. 24. - L'autorisation peut être accordéee à titre temporaire ou soumise à un renouvellement périodique.
Elle peut être subordonnée à l'observation de certaines conditions.
Art. 25. - Les associations étrangères existant au moment de la promulgation du présent titre sont tenues de demander, dans le délai d'un mois, pour elles-mêmes et pour chacun de leurs établissements, l'autorisation exigée à l'article 22.
Art. 26. - Sont réputées associations étrangères, quelle que soit la forme sous laquelle ils peuvent éventuellement se dissimuler, les groupements présentant les caractéristiques d'une association, qui ont leur siège à l'étranger, ou qui, ayant leur siège en France sont dirigées en fait par des étrangers, ou bien ont soit des administrateurs étrangers, soit un quart au moins de membres étrangers.
Art. 27. - En vue d'assurer l'application de l'article précédent les préfets peuvent [...].
[...].
Art. 33. - Le présent titre n'est applicable ni aux associations étrangères reconnues d'utilité publique, ni à celles qui ont pour objet unique d'assurer l'exercice d'un culte en vertu des lois en vigueur, ni aux congrégations religieuses.
[...] » (Fin de citation.)
C'est ainsi que furent complétées les règles de l'article 12 de la loi du 1er juillet 1901*, celui qui concernait les associations étrangères.

L'association Centre d'Études Sri Aurobindo était étrangère car elle était rattachée à l'Ashram de Pondichéry.

Dans la lettre du 3 novembre 55, le nom « comité d'action » était peut-être celui écrit sur le modèle de Statuts proposés par la préfecture et qui servait de base à la rédaction des statuts voulus.

Concernant les deux objets indiqués dans cette lettre, il y a ceci.
« concourir par tous les moyens adéquats à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo » : on diffuse une « pensée » en répandant les livres où elle est exprimée, et aussi en faisant des conférences ou par le bouche-à-oreille entre deux personnes ou plus, en organisant des réunions entre personnes déjà intéressées mais qui veulent comprendre davantage, en publiant des articles dans des journaux ou en rédigeant de nouveaux livres, en faisant des films, etc. Tous « les moyens adéquats » sont envisagés. On peut ne pas chercher à diffuser en même temps de nombreux éléments de ladite « pensée ».
« contribuer à la réalisation du Centre universitaire international Sri Aurobindo à Pondichéry ». Ce Centre avait été fondé par la Mère le 6 janvier 52. (Plus tard, son nom fut un peu modifié.)

 

 27 AVRIL 1956*, ARRÊTÉ MINISTÉRIEL D'AUTORISATION D'EXISTENCE DE L'ASSOCIATION
Ce texte ne fut pas trouvé dans le Journal officiel de la République française. Il est possible que les arrêtés de ce genre n'y étaient pas publiés. La date provient d'un des documents suivants.

 

  6 MAI 56, STATUTS DE L'ASSOCIATION EN COURS DE CRÉATION

« Article 1 – Titre [.]
Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret-loi du 12 avril 1939, ayant pour titre : CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO.
Article 2 – Buts.
Cette association a pour buts en liaison avec l'Ashram de Sri Aurobindo :
a) de concourir par tous les moyens à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo, notamment dans les pays de langue française,

b) de contribuer à la réalisation du Centre Universitaire International Sri Aurobindo de Pondichéry.
À cet effet, l'association se réserve le droit d'utiliser tous les moyens adéquats pour atteindre les buts ci-dessus.
Article 3 – Siège social.
Le siège social est fixé à Paris, 7 avenue Carnot (XVIIe) ; il pourra être transféré par simple décision du Comité d'action prévu à l'article 9. »
Le siège social était donc chez André Morisset.
Le nom est en entier écrit avec des lettres capitales et ça ne permet pas de savoir si, lorsque le nom est écrit en caractères ordinaires, il y a une majuscule au mot études.

Il y avait trois sortes d'adhérents.
Les « membres actifs » étaient les adhérents « susceptibles d'apporter une contribution directe aux activités de l'association » et qui versaient une cotisation annuelle du montant indiqué.
Chacun des « membres associés » était l'adhérent qui versait une cotisation annuelle dix fois moindre que la précédente.
Chacun des « membres bienfaiteurs » était l'adhérent qui versait une cotisation annuelle deux fois plus élevées que celle des membres actifs.
« Les membres associés peuvent devenir membres à vie moyennant un versement unique égal à quinze fois la cotisation annuelle. »

 

 6 MAI 56, TRANSMISSION DE DOCUMENTS À LA PRÉFECTURE DE POLICE
Cette date est indiquée au bas des statuts transmis et résulte aussi de la date suivante.

 7 MAI 1956*, ENREGISTREMENT À LA PRÉFECTURE DE POLICE
Cette date est dans l'annonce publiée dans le Journal suivant.
(Sur les documents, aucune date ne fut placée par la préfecture, celle de la réception du courrier ou celle du récépissé dont un exemplaire fut envoyé à l'association.)

 24 MAI 1956*, PUBLICATION DANS LE J. O. R. F.
La création de l'association en jeu, comme celle de toutes les autres associations existantes d'après la loi du 1er juillet de l'année numérotée 1901 par tyrannie chrétienne, fut indiquée dans le Journal officiel de la République française, série Lois et décrets.
Lorsqu'il y avait à publier des annonces concernant les associations, elles l'étaient dans la fin de chaque numéro.
Elles pouvaient l'être dans la première partie titrée « Associations françaises », puis dans une de ses trois sous-parties : « Déclarations [signifiant : Créations] (Décret du 16 aout 1901.) », ou « Modifications » ou « Dissolutions ».
Elles pouvaient l'être aussi dans la deuxième partie titrée « Associations étrangères », puis dans une de ses trois sous-parties : « Autorisations (Décret-loi du 12 avril 1939.) », « Modifications » ou « Dissolutions » Ce fut dans une telle sous-partie « Autorisations » que fut publiée l'annonce de l'association en jeu.
J.O.R.F., Lois et décrets, du 24 mai 1956*, page 4829. « 27 avril 1956. Arrêté du ministre de l'intérieur. (Autorisation enregistrée à la préfecture de police le 7 mai 1956.) Centre d'études Sri Aurobindo. But : diffusion de la pensée de Sri Aurobindo dans les pays de langue française. Siège social : 7, avenue Carnot, Paris. »
Le mot « études » est écrit sans majuscule.
Le deuxième but de l'association ne fut pas publié. Qui fut le responsable de cela ? Fut-ce le membre de l'association qui fit la déclaration à la préfecture ou un employé du J.O. ?

 

 CHAPITRE 2
AUTOMNE 1960*, MODIFICATION
DU DEUXIÈME BUT DE LASSOCIATION

Le 21 octobre 1960*, il y eut une Assemblée générale qui modifia les articles 2, 6 et 12 des statuts. L'article 2 concerne les « Buts ». Avant, il y avait : « contribuer à la réalisation du Centre Universitaire International Sri Aurobindo de Pondichéry ». Désormais il y a « aider l'action du Centre International d'Éducation Sri Aurobindo de Pondichéry ».
Par une lettre du 17 décembre 60, le Centre informa la Préfecture de police.
On ne sait pas si ce fut publié dans le J.O. Vu que la première formulation de ce but ne l'avait pas été, il ne serait pas étonnant que sa modification ne l'ait pas été non plus.

Concernant l'objet, il est possible que le Centre inauguré par la Mère le 6 janvier 52 n'était pas complet en 1955*-1956* puis qu'il le fut en 60 et qu'il n'y avait plus alors à « contribuer à » sa « réalisation » mais à « aider » son « action ». Pendant ce temps, son nom avait été changé.

 

 CHAPITRE 3
EN 66, DEUX POSITIONS PAR RAPPORT À LA S.A.S.

En juillet 66, Kailas Jhaveri, membre de l'Ashram de Pondichéry et de la Sri Aurobindo Society de cette ville expédia un courrier au siège de l'Unesco qui est à Paris afin de demander une affiliation de la S.A.S. à cet organisme international. (Voir le texte titré : Pour le 50ème anniversaire d'Auroville, l'Unesco va-t-elle cesser de s'illusionner au sujet de celle-ci, de l'abaisser, de la combattre sous une première apparence de soutien ? Blog Antiténèbres.)
Il y avait notamment un « Questionnaire » qui était accompagné par plusieurs annexes.
L'Annexe I a trois pages. C'est la liste des Principaux dirigeants. Pour la France est indiqué « André Morisset ».
L'Annexe II B est titrée « Branches de la Société Sri Aurobindo ». Il y a sept pages écrites. Sur la dernière page sont indiqués les cinq pays en plus de l'Inde où la S.A.S. avait des Centres : à « Nairobi (E. Africa) », en Allemagne de l'Ouest, à « Jinja (Uganda) East Africa », au Japon et en Suisse. Il n'y en avait donc pas en France. (Le Centre d'Études Sri Aurobindo était rattaché à l'Ashram, pas à la S.A.S.)

 

 CHAPITRE 4
EN 71, UNE POSITION PAR RAPPORT À LA S.A.S.

Par une lettre du 13 novembre 71, la S.A.S., précisément son Secrétaire S. S. Jhunjhunwala, annonça à l'Unesco qu'André Morisset était, pour cet organisme international, son, en anglais, « Liaison Officer », son « Agent de liaison » comme indiqué en français sur une lettre du 11 février 75.

 

 CHAPITRE 5
17 NOVEMBRE 73, FAIT QUI DEVINT LA MORT
DE MIRRA ALFASSA, LA MÈRE

Dans ce titre, le mot mort est relatif au personnage qui naquit le 21 février 1878*. En plus de la signification objective du mot mort, chacun peut avoir la conception qu'il veut.

 

  CHAPITRE 6
EN 76, CRÉATION DE LA « FONDATION SUZANNE VITALIS »

Un organisme français nommé Fondation de France est dit philanthropique. Il fut créé par le gouvernement français en 69, et plusieurs banques intervinrent en premier.
Sur le site internet de cette Fondation, dans la rubrique « Recherche & innovation », il est parlé de la « Fondation Suzanne Vitalis ».
Son objet indiqué est ceci : « Concourt à la diffusion de l'œuvre de Sri Aurobindo et de la Mère et [à] faire connaitre le développement de la cité d'Auroville ».
Dessous il y a les précisions suivantes :
« N'accorde pas d'aides directes aux personnes physiques
Refuse de recevoir des demandes d'aides financières ».
Ici, on ne sait pas si ce nom et ces indications étaient présents dès l'origine.
Il y a le site internet qui commence par : http://, suivi par : doczz.fr, puis par : /doc/5884956/la-fondation-de-france. On arrive sur un scannage (une photographie) des pages de la brochure titrée Gestes philanthropes, avec écrit dessous : Cahier des fondateurs 2014. C'est lisible en utilisant le zoom. Sur la page 11, la date indiquée de création de la « Fondation Suzanne Vitalis » est « 1976 ».

Ici, on ne sait pas qui était « Suzanne Vitalis ». Est-ce que ce fut elle qui fut à l'origine de la Fondation à son nom ? Si oui, est-ce qu'il y avait d'autres gérants ? Et qui devaient être le ou les successeurs ?

« Concourt à la diffusion de l'œuvre de Sri Aurobindo et de la Mère ». Il n'est pas parlé de diffusion de la pensée mais de celle de « l'œuvre » et ça concerne les livres, les enregistrements oraux, etc.
« faire connaitre le développement de la cité d'Auroville ». Il n'est pas parlé de contribuer au développement de cette ville en formation mais seulement de « faire connaitre » celui-ci.
Tout cela est censé être fait en France ou, au moins, d'abord et principalement dans ce pays, et ça n'a pas à être fait dans Auroville.

L'argent de cette Fondation ne peut être normalement employé que pour les deux buts indiqués.
Il n'est pas écrit que cet argent ne puisse être donné qu'à une association selon la loi de 1901* qui a le nom Suzanne Vitalis comme partie de son propre nom.

 

 CHAPITRE 7
EN 1979*, SITUATION DU CENTRE DÉTUDES SRI AUROBINDO
PAR RAPPORT À LEX-ASHRAM DE PONDICHÉRY

À Pondichéry, Pavitra avait rapporté par écrit ses conversations avec Sri Aurobindo et, après sa mort en 69, André Morisset détruisit certaines pages et fit publier celles qui restaient.
Concernant les compte-rendus et enregistrements de l'Agenda, la volonté de l'Ex-Ashram de Pondichéry d'en être propriétaire et de refuser la publication de ce qui lui déplaisait avait provoqué, peut-être avec autre chose, un conflit avec Satprem et, peut-être aussi à cause de sa publication en 77 d'un ouvrage en 3 volumes. Satprem fut informé de son expulsion de l'Ashram par une lettre reçue le 2 janvier 78 (Carnets d'une Apocalypse, tome 1, p. 321.) Morisset s'activa, avec cet Ex-Ashram, pour tenter d'empêcher la publication de l'Agenda par Satprem. (Il échoua car la publication commença peu après à Paris.)
Concernant Auroville, la volonté de la Sri Aurobindo Society (S.A.S.) (faisant partie partiellement de cet Ex-Ashram) d'en être propriétaire et d'y dominer avait déjà provoqué le conflit avec cette ville en formation (et la décision du pouvoir public indien nommée Auroville Act date de l'année 80).
Chaque année à plusieurs jours spéciaux, la Mère publiait un message. Il exprimait quelque chose qui correspondait à la réalité du moment. Le Centre d'Études S. A. les indiquait. Après novembre 73, l'Ex-Ashram de Pondichéry se mit à diffuser des citations de textes de Sri Aurobindo ou de la Mère, sans indiquer leur date mais en indiquant celle de l'occasion de leur distribution en cours, en faisant ainsi comme s'ils étaient des messages créés pour ce jour par Sri Aurobindo ou la Mère, alors qu'ils étaient seulement les siens (ceux de l'Ex-Ashram), car c'est lui qui choisissait chaque texte à publier, selon sa volonté personnelle correspondant à son intérêt personnel. Le Centre d'Études les diffusait aussi. Mensonges, volontés de tromper. (Ça continue d'exister.)
En 79, l'association nommée Centre d'études Sri Aurobindo était donc en relation directe avec l'Ex-Ashram de Pondichéry et la S.A.S. qui étaient partiellement imbriqués. Elle était dans leur mouvance hostile, participait à ses mensonges, ses tromperies, en était un soutien.

 

 CHAPITRE 8
13 NOVEMBRE 79, CRÉATION DUNE ASSOCIATION
DONT LE NOM CONTIENT « SUZANNE VITALIS »

AVANT LE 13 NOVEMBRE 79, RÉDACTION DES STATUTS

Il n'est pas parlé ici de la « Fondation » créée semble-t-il en 76 mais d'un autre organisme, qui est une association selon la loi de 1901*.
Voici les trois premiers articles des statuts de cette nouvelle association.
« Article Premier : TITRE – Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1° juillet 1901 et le décret du 16 aout 1901, ayant pour titre :
"Association départementale Suzanne Vitalis du Centre d'Études Sri Aurobindo".
Art. 2 : BUTS – Cette association a pour buts :
a) de concourir à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo et de La Mère ;
b) de faire connaitre le développement de la cité d'Auroville ;
c) de contribuer à l'enrichissement culturel de ses adhérents.
À cet effet, l'association se réserve le droit d'utiliser tous les moyens adéquats pour atteindre les buts ci-dessous [ci-dessus].
Art. 3 : SIÈGE SOCIAL – Le siège social est fixé à Marseille, 34, rue Briffaut – 13005.
Il pourra être transféré par simple décision du conseil d'administration. »

Dans le nom, la fin « Centre d'Études Sri Aurobindo » montre que l'association nouvelle est en relation avec l'association nommée ainsi ou, au grand minimum, qu'elle fut placée, par ses fondateurs, dans son orbite, dans sa lignée. C'est certain mais il serait intéressant d'avoir des témoignages de cela, oraux ou écrits. Il en existe peut-être dans les archives de cette association marseillaise mais y sont-ils comme dans un tombeau et pourraient-ils même être détruits ? Dans les archives du Centre à Paris, est-ce qu'il y a des lettres ?
En conséquence de la relation avec ce Centre parisien, il est certain que l'association marseillaise est rattachée à l'actuel Ex-Ashram de Pondichéry. Elle est objectivement dans sa mouvance hostile. Est-ce que ce qu'était cet Ex-Ashram aurait pu être ignoré des fondateurs marseillais de l'association ? C'est improbable.

Dans le nom, pourquoi le mot « départementale » fut-il placé ? Est-ce que ce fut parce que la création d'une association rattachée au Centre d'Études S. A. était prévue dans d'autres départements ?

Qui était Suzanne Vitalis ? Ici, on ne sait pas, et rien n'est donc connu de ses relations éventuelles avec le parisien Centre d'Études Sri Aurobindo, ni avec l'Ex-Ashram de Pondichéry.
Est-ce que l'association fut créée après la mort de Suzanne Vitalis et que son nom fut placé dans celui de l'association afin de pouvoir recevoir l'argent de la Fondation Suzanne Vitalis ?
Connaitre tous les noms des fondateurs de cette Fondation et de leurs premiers successeurs devrait permettre d'aider à comprendre. Est-ce que des gérants de la Fondation faisaient partie des membres dirigeants de l'association ?
Si des individus ayant fait partie des premiers membres de l'association ou leurs successeurs ont quelque chose à dire, ils peuvent envoyer un courriel. On commencera par vérifier l'authenticité de son auteur. Même une information sans preuve peut être intéressante pour donner la direction où on peut aller tenter de chercher des preuves.

Concernant « la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo et de La Mère », on en diffuse une en répandant les livres où elle est exprimée, et aussi en faisant des conférences ou par le bouche-à-oreille entre deux personnes ou plus, en organisant des réunions entre personnes déjà intéressées mais qui veulent comprendre davantage, en publiant des articles dans des journaux ou en rédigeant de nouveaux livres, en faisant des films, etc. Il n'y a pas seulement ce qui relève de Sri Aurobindo mais aussi de la Mère. C'est censé être fait en France ou, au moins, d'abord et principalement dans ce pays, et ça n'a pas à être fait dans Auroville.
Concernant le deuxième but, qui est relatif à cette ville, il n'est pas parlé de contribuer à son développement mais seulement de « faire connaitre » celui-ci. C'est censé être fait en France ou, au moins, d'abord et principalement dans ce pays, et ça n'a pas à être fait dans Auroville.
Concernant le troisième but, il est parlé d'un « enrichissement » individuel de chacun des adhérents, à propos de ce qui est « culturel ». Que désigne ce dernier mot ? Est-ce que ce mot et « enrichissement » correspondent au résultat de la pratique du yoga intégral ? Il ne semble pas pour deux causes. La première est que ces deux mots semblent correspondre à la réception de quelque chose qui vient de l'extérieur. La deuxième est que, pour évoquer cette pratique et ses résultats, il aurait suffit de parler du développement « de ses adhérents ».

 13 NOVEMBRE 79, TRANSMISSION DE DOCUMENTS À LA PRÉFECTURE DES BOUCHES-DU-RHÔNE
Une lettre de déclaration de création fut adressée au Préfet du département des Bouches-du-Rhône, où est Marseille, le 13 novembre 79, avec les statuts en pièce jointe.
Il y a les informations contenues dans les trois premiers articles des statuts (avec la majuscule à l'article dans : « et de La Mère »).
Il y a aussi la liste des trois « personnes chargées de son administration ou de sa direction celles de l'association. Présidente : Fernande Barthélémy, née en 1922*. Secrétaire : Lucienne Laffitte. Trésorier : Christian Sornon.
Les trois signèrent la lettre.

DATE DE LA RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
Le courrier du 13 novembre fut enregistré à la préfecture, soit le 14, soit le 15.
En tout cas, sur le premier document, une seule date est indiquée, celle du récépissé (dont un exemplaire fut envoyé à l'association), et c'est le 15 novembre 79.
Il est possible que le récépissé fut établi le jour de la réception car, à Marseille, il y avait peut-être moins de créations, modifications et dissolutions d'associations qu'à Paris.

27 NOVEMBRE 79, PUBLICATION DANS LE J.O.
J.O.R.F., Lois et décrets, numéro complémentaire du 27 novembre 79, dans la partie « Associations françaises » puis dans la sous-partie « 13 – Bouches-du-Rhône » dans laquelle étaient alors présentées mélangées les créations, modifications et dissolutions, en étant classées selon la date de déclaration à la préfecture, page 9584 N. C. (Numéro Complémentaire).
« 13 novembre 1979. Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Association départementale Suzanne-Vitalis du centre d'études Sri-Aurobindo. Objet : concourir à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo et de Mère ; faire connaitre le développement de la cité d'Auroville ; contribuer à l'enrichissement culturel de ses adhérents. Siège social : 34, rue Briffaut, 13005 Marseille. »
Il y a un tiret entre les mots Suzanne et Vitalis, ainsi qu'entre les mots Sri et Aurobindo mais, dans la déclaration, il n'y en avait pas.
Il n'y a pas de lettre majuscule aux mots centre et études alors que, dans la déclaration, il y en avait.
Il est écrit « et de Mère » alors que, dans la déclaration, il était écrit « et de la Mère ».
La date indiquée de déclaration est celle de la lettre expédiée à la préfecture. Sur cette lettre, un employé de cette institution écrivit la date du récépissé : 15 novembre 79.

 

 CHAPITRE 9
MAI 80, CHANGEMENTS DANS LE PERSONNEL DIRIGEANT
DE LASSOCIATION QUI A LE MOT VITALIS DANS SON NOM

La Préfecture de Police fut informée de changements dans le personnel dirigeant par une lettre datée du 21 mai 1980* et reçue le 27 mai (selon un tampon marqué « Arrivée »). Le récépissé date du 11 juin (selon une inscription faite à la main).
La Présidente fut encore F. Barthélémy. La trésorière fut Anita Van Poucke, épouse Égalon. La Secrétaire démissionna et ne fut pas remplacée car la Présidente prit en charge cette fonction.

 

 CHAPITRE 10
17 DÉCEMBRE 80, INTERVENTION DE LINDE POUR AUROVILLE

Cette histoire est très peu connue ici et il est espéré ne pas commettre d'erreur dans le peu qui en est dit ci-après. Après ce qui devint la mort de Mirra Alfassa-la Mère le 17 novembre 73, il y eut un conflit entre certains habitants d'Auroville et l'organisme nommé Sri Aurobindo Society. On s'adressa au tribunal. Plusieurs tribunaux intervinrent. Finalement il y eut une décisison du pouvoir public central indien, qui date du 17 décembre de l'année numérotée 1980 par tyrannie chrétienne.
Les décisions de tribunaux ne furent pas des faits d'appropriation d'Auroville par l'Inde.
La décision de 80 prévoit la prise en main momentanée d'Auroville par le pouvoir public indien. Est-ce qu'au moins une partie de cela fut de l'appropriation de cette ville par l'Inde ou le début de cela ? Cette histoire n'étant pas connue ici, rien de plus n'est écrit.

 

 CHAPITRE 11
EN 82, CHANGEMENT DANS LA DIRECTION DE LASSOCIATION
« CENTRE DÉTUDES SRI AUROBINDO »

André Morrisset, qui avait la fonction la plus haute dans l'association, celle de « Secrétaire », mourut le 29 mars 1982*.
Sa fille « Janine Panier » (Janine Morisset veuve Panier) se retrouva à cette fonction.
Elle continua de diffuser périodiquement les prétendus messages de Sri Aurobindo ou de la Mère.

 

 CHAPITRE 12
EN 85, DÉBUT DUNE NOUVELLE PRÉSENTATION
DES ANNONCES DANS LE J. O.

Le 2 janvier 85 au Journal officiel fut le début d'une nouvelle présentation des annonces de déclaration concernant les associations 1901*.
Elles sont encore publiées dans le J.O.R.F., et dans sa série des Lois et Décrets, mais c'est dans un journal spécial titré « Associations » puis, dessous, « Loi du 1er juillet 1901 ». Le numéro 1 parut le 2 janvier 85. Sur sa première page il y a notamment ceci.
« Les déclarations d'associations sont reçues par les services préfectoraux qui assurent leur transmission à la Direction des Journaux officiels. Elles sont publiées chaque semaine dans un numéro supplémentaire à l'édition des Lois et Décrets du Journal officiel de la République française.
Dans chaque numéro, les annonces sont classées par départements et suivant l'objet de la déclaration :
- créations ;
- modifications ;
- dissolutions.
Les formulaires de "demande d'insertion" au Journal officiel sont tenus à la disposition des responsables de l'association à la préfecture et à la sous-préfecture d'enregistrement de la déclaration. Ces imprimés, remplis selon les indications prescrites, sont remis ou retournés au service préfectoral qui se charge de la transmission de la demande d'insertion à la Direction des Journaux officiels.
Il est recommandé de dactylographier ou d'écrire très lisiblement l'annonce en respectant les zones prévues à cet effet.
Conformément au décret du 18 aout 1901 portant règlement d'administration publique pour l'exécution de la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association, la déclaration est rendue publique dans le délai d'un mois au moyen de l'insertion au Journal officiel. Après publication, la Direction des Journaux officiels adresse un exemplaire du journal et la facture du montant des frais d'insertion à la personne ayant effectué la déclaration et dont le nom et l'adresse figurent sur l'imprimé. »
Le titre du journal fut plus tard complété.

 

 CHAPITRE 13
AU PLUS TARD EN 88, LINDE S'APPROPRIA AUROVILLE, ET LES
INDIVIDUS QUI AGISSENT À PROPOS DE (PRÉTENDUS) PAVILLONS
DE PAYS DANS LA Z.I. SONT DONC DES TRAITRES À LEUR PAYS

La Charte d'Auroville commence ainsi. « Auroville n'appartient à personne en particulier. Auroville appartient à toute l'humanité dans son ensemble. »
Pourtant, par une loi de 88, l'Inde prit des décisions concernant l'organisation et le fonctionnement d'Auroville.
Le seul fait de l'existence de cette loi montre que l'Inde considère qu'Auroville lui appartient. Par cette loi, l'Inde s'appropria Auroville mais ça avait peut-être déjà été fait avant.
La loi indienne put être applicable à Auroville car celle-ci existe en ce pays mais l'Inde, après avoir admis l'existence de cette ville en formation, avait à en respecter la Charte et ne pas se l'approprier.
Pour comprendre davantage qu'il y a une telle appropriation, imaginer qu'une loi française soit créée avec le même contenu. Elle ne serait pas applicable dans Auroville mais on dirait que la France veut s'approprier celle-ci.
L'Inde n'a pas à imposer sa loi, quoi qu'elle soit, dans Auroville. Elle n'a pas à s'y imposer.
Voici une autre conséquence de l'existence d'une loi indienne dans Auroville avec peut-être d'autres règles qui lui sont consécutives, et qui montre qu'il n'en faut aucune. Si, avec elle, des nations décidaient de construire leur Pavillon, chacune déciderait donc de se soumettre à l'Inde. C'est inacceptable ! Il en serait de même pour les titulaires de chacun des Pavillons. L'Inde veut que tous les autres pays se soumettent à elle. La nation indienne veut que toutes les autres nations se soumettent à elle. Elle veut dominer les autres nations.
Aucune nation étant au meilleur d'elle-même ne peut décemment se retrouver à l'origine de l'apparition de son Pavillon dans Auroville. L'Inde s'y oppose, elle s'oppose au développement d'Auroville. (Pour l'instant, ça n'a pas d'effet puisqu'aucune nation n'est en état de provoquer une telle apparition mais lorsque cet état existera, la situation créée par l'Inde empêcherait d'agir.)
Des individus qui habitent Auroville ou ailleurs, agissant à titre personnel même lorsqu'ils sont membres de Gouvernements hors de l'Inde, s'occupèrent et s'occupent de créer de mauvais simulacres et moins que ça de Pavillons de pays. Ce ne sont même pas des fœtus ou des avortons de vrais Pavillons de pays ! Ce sont des simili-fœtus de ces bâtiments ! Ces créations ne correspondent pas à ce qui devrait exister puisqu'elles ne correspondent pas à des actions de nations et puisqu'elles ne ressemblent en rien à de la manifestation mais sont le produit d'activités laborieuses et ridicules, agitées et presque vaines. Quelle nation sensée accepterait de placer une représentation d'elle-même dans cela !?
Ces créations sont des enfantillages ridicules. En plus, puisque ça existe alors qu'il y a la loi indienne, leurs auteurs sont quand même des traitres à leur pays et sont donc incapables d'en représenter quoi que ce soit. S'ils étaient considérés sérieusement, ils mériteraient de recevoir la sanction que leur pays inflige aux traitres qui s'occupent de livrer leur pays à un autre.
Ce qui précède provient d'un article publié sur le blog Ohoettilto-3 et titré Mars 18, conditions à l'existence de véritables Pavillons de pays dans la véritable Zone Internationale d'Auroville, après celui de l'Inde. (Voir aussi le texte relatif notamment aux relations entre l'Unesco et Auroville qui est publié sur le blog Antiténèbres.)

 

 CHAPITRE 14
FIN 89, CRÉATION DUNE ASSOCIATION
AVEC LE MOT PAVILLON DANS SON NOM

VERS NOVEMBRE 89, LES STATUTS SONT PRÊTS
Voici leur début.
« Article 1° [:] – Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er Juillet 1901 et le décret du 16 aout 1901, ayant pour titre
Association du Pavillon de France à Auroville, Tamil Nadu, Inde
Article 2 : – Cette association a pour but :
La construction, l'aménagement et la gestion du Pavillon de France à Auroville, Tamil Nadu, Inde.
Article 3 : – Siège social – Le siège social est fixé à Paris, Seine. Il pourra être transféré par simple décision du Conseil d'Administration, la ratification par l'assemblée générale sera nécessaire.
Article 4 : – L'association se compose de :
a) membres d'honneur
b) membres bienfaiteurs
c) membres actifs
Article 5 : – Admission – Pour faire partie de l'association il faut être âgé d'au moins 18 ans (ou fournir une autorisation écrite des parents), jouir de ses droits civils et politiques. Dans la plus prochaine réunion, le bureau statue sur les demandes d'admission présentées.
Article 6 : – Les membres
Sont membres d'honneur ceux qui ont rendu des services signalés à l'association. Ils sont dispensés de cotisation.
Sont membres bienfaiteurs les personnes qui versent un droit d'entrée, et une cotisation annuelle fixée chaque année par l'assemblée générale.
Sont membres actifs ceux qui ont pris l'engagement de verser chaque année la cotisation. »
L'expression Pavillon de France n'est pas du français. C'est le résultat d'une expression anglaise mal traduite en français. Lors de l'Exposition internationale qui exista en France, à Paris, en 1937*, pour ne parler que d'elle, le nom des Pavillons de chaque pays était écrit, soit avec de la, soit avec du, qui correspond à : de le. Il n'y eut pas un Pavillon pour la France car chaque région de celle-ci en eut un. Par ailleurs, dans Auroville, il y a un Pavillon qui est dit être de l'Inde, pas de Inde, ou d'Inde.
Il fut donc prévu de créer, dans la Zone internationale d'Auroville, un Pavillon qui correspondrait à la France.
Cette démarche était vide à propos de ce qui se passe en ce pays et ce fut confirmé par la suite car cette association ne produisit rien à propos de cela.
Elle ne représente donc rien à propos de la nation française. Si son Pavillon envisagé correspondait à celle-ci (et il y correspond du point de vue de ses auteurs), lui avec la nation française qu'il est considéré représenter) serait soumis à la loi indienne, à l'Inde. Les partisans de cela sont des traitres à leur pays.

VERS LE 14 NOVEMBRE, TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
Les statuts furent transmis à la Préfecture de police.
Dans la lettre jointe, l'adresse du siège social fut indiquée : 3 rue du Plâtre, 75004 Paris.
Les individus chargés de l'administration ou de la direction furent aussi présentés. Ils sont les suivants.
Présidente : Mireille Albrecht, née en 1924*, « écrivain ».
Premier Vice-Président : Marcel Fleury, né en 1924*, « Consul Général de France à la retraite ».
Deuxième Vice-Président : Gilles Lachaud, né en 1946*, « Directeur de Recherche au C.N.R.S. », (Centre national de la recherche scientifique), demeurant à Marseille.
Secrétaire : Danièle Lévêque, née en 1942*.
Secrétaire adjoint : Ariane Brener, née en 1940*.
Trésorier : Maurice Brault, né en 1926*.

DATE DE LA RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
La date de la réception, valant déclaration à la préfecture, est indiquée dans le journal suivant, et c'est le 14 novembre 89.

13 DÉCEMBRE 89, PUBLICATION DANS LE J. O.
J.O.R.F., Associations, du 13 décembre 89. Partie du département de Paris, sous-partie « Créations », p. 2915.
« Déclaration à la préfecture de police. ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE, TAMIL NADU, INDE. Objet : construction, aménagement et gestion d'un Pavillon de France à Auroville, Tamil, Nadu, Inde. Siège social : 3, rue du Plâtre, 75004 Paris. Date : 14 novembre 1989. »
Dans la description de l'objet, il y a une virgule entre « Tamil » et « Nadu », ce qui provient d'une erreur du J.O. car elle n'était pas présente dans la lettre de déclaration.

 

CHAPITRE 15
ENTRE 1990* ET 1992*, INFORMATIONS
SUR LASSOCIATION AU MOT VITALIS

1er AVRIL 90, L'ASSOCIATION AU MOT VITALIS RENDIT SA BIBLIOTHÈQUE AUTONOME DE SON SIÈGE SOCIAL
Un « local à usage de Bureau d'une superficie de 30 m2 situé au 1er étage du Bâtiment 2, sis 25 Avenue des Chutes-Lavie » dans le 4e arrondissement de Marseille devint, « depuis le 1er avril 1990 », celui de la bibliothèque, nommée « Aurothèque » « de l'association Suzanne Vitalis, 34, rue Briffaut Marseille 13005 ».

Les citations ci-dessus proviennent d'une « Attestation de location » rédigée par le propriétaire le 9 avril 91.
Avant, cette bibliothèque était au siège de l'association, comme indiqué à la fin de la lettre suivante.

27 AVRIL 91, L'ASSOCIATION AU MOT VITALIS DÉCIDA DE RENDRE OFFICIELLE L'EXISTENCE DE SA BIBLIOTHÈQUE AUTONOME

Il y a une lettre où, sous le nom de l'association, le texte complet est ce qui suit, où les formes des caractères sont reproduites mais où le soulignement des deux premières lignes ne l'est pas.

« RÉUNION DU BUREAU EN CONSEIL D'ADMINISTRATION
PROCÈS-VERBAL

Le 27 avril 1991, les membres du bureau se sont réunis à 15 H. au siège de l'Association, 34, rue Briffaut à Marseille 13005, afin de prendre la décision suivante :
Rendre officiel [officielle] la création de l'AUROTHÈQUE, qui est une petite bibliothèque spécialisée dans les œuvres de Sri Aurobindo, Mère et SATPREM et d'autres auteurs relatant leur enseignement.
[Un interligne (au sens ordinaire français).]
L'AUROTHÈQUE est installée dans un local-bureau de 30 M2, en location et se situe au 25, avenue des Chutes Lavie à Marseille 13004.
[Interligne (au sens ordinaire français).]
Le but de l'AUROTHÈQUE est une plus grande diffusion des œuvres de Sri Aurobindo et d'accès plus facile que l'appartement qui sert de Siège de l'Association. »

EN MAI, L'ASSOCIATION AU MOT VITALIS DÉCLARA À LA PRÉFECTURE L'EXISTENCE DE SA BIBLIOTHÈQUE AUTONOME
La lettre précédente fut envoyée, non datée, signée par la Trésorière et la Présidente, à la préfecture.

DATE DE RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
La date de réception par la préfecture, valant déclaration, est le 28 mai 91, comme indiqué dans l'annonce publiée dans le J. O.
La date du récépissé est le 28 mai 91 comme indiqué sur le document.

19 JUIN 1991*, PUBLICATION DANS LE J.O. AVEC UN PROBLÈME
J.O.R.F. Associations, du 19 juin 1991*, Département des Bouches-du-Rhône, sous-titre : « Modifications », p. 1568.
« Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO. Nouvel objet : création d'une petite bibliothèque spécialisée dans les œuvres de Sri Aurobindo mère et satprem au 25, avenue des Chutes-Lavie, 13004 Marseille. Siège social : 34, rue Briffaut, 13005 Marseille. Date : 28 mai 1991. » (Pas de majuscule à « mère » et « satprem ».
Il n'y a plus de tiret entre les mots Suzanne et Vitalis, ni entre les mots Sri et Aurobindo, et c'est conforme au vrai nom de l'association.
Il est écrit « Nouvel objet » comme si l'objet de l'association n'était plus celui déclaré le 13 novembre 79 mais un autre. Officiellement, il y eut donc un changement d'objet mais, par rapport à la lettre du 27 avril 91, l'erreur du J.O. est facilement constatable. Dans ce journal, on n'aurait pas pu écrire : Autre objet, car il n'y a jamais cela dedans. Il ne semble pas que l'association se soit plainte de l'erreur. Si ce fut le cas, est-ce qu'il y eut la publication d'un correctif dans un J.O. ?
La date « 28 mai 1991 » n'est pas dite être celle de la « Déclaration ». Elle est celle qui fut écrite à la main par la préfecture sur la lettre de déclaration.
Par ailleurs, le mot « création » signifiait donc création officielle, par distinction de la création et de l'existence qui la suivit, qui avaient existé seulement de fait.

22 MAI 92, DANS L'ASSOCIATION AU MOT VITALIS, CHANGEMENT DANS LE PERSONNEL
Le 22 mai 92, une lettre fut envoyée à la préfecture pour indiquer les personnes dirigeantes.
La Présidente et Secrétaire fut encore F. Barthélémy. Un Vice-Président fut nommé : Éric Barthélémy. La Trésorière fut Jeanne Eyssautier.
Le récépissé fut envoyé le 6 juillet 92.
Il n'y eut pas de publication dans le J.O. car les changements de personnes n'y sont jamais indiqués.

 

  CHAPITRE 16
EN 93, LASSOCIATION AU MOT PAVILLON DANS SON NOM SACTIVA
DANS AUROVILLE, CEST-À-DIRE SAGITA À PROPOS DE SON BUT

En février 93 il y eut dans la Zone internationale d'Auroville un fait que ses partisans considèrent comme étant la première « inauguration » du Pavillon relatif à la France : la plantation d'un arbre nommé « Arbre du Pavillon ». La présidente de l'association qui a le mot « Pavillon » dans son nom était là.
Considérer cela comme l'inauguration d'un tel Pavillon montre qu'il y a de l'irréalisme, de l'illusion, de la volonté acharnée de créer ce qui est voulu. En bref, il y a beaucoup d'agitation mentale et ses conséquences.
Est-ce qu'il y eut finalement la conscience que la plantation d'un arbre ne correspondait pas, même de loin, à la construction d'un bâtiment ? Est-ce qu'il y eut aussi finalement la conscience qu'il n'y avait eu que l'action de quelques individus agissant à titre personnel et que, pour que ses partisans puissent s'illusionner davantage, il fallait l'intervention d'un représentant du pouvoir public français ? En tout cas, il y eut ceci.

En aout 93, il y eut un fait que ses partisans considèrent comme étant la deuxième « inauguration » du Pavillon relatif à la France : la pose d'une pierre dite être « la première », par l'ambassadeur de France et la présidente de la même association française, sans que soit prévue le moment de la pose de la deuxième et des suivantes. L'agitation mentale avec son illusion continuait (et vingt-cinq ans après, « la première pierre » serait encore seule).
Cet ambassadeur se comporta en traitre à la France, pour les causes indiquées plus haut.
Son acceptation d'agir exista forcément dans le cadre de l'Unesco. Or cet organisme omet constamment ce qui est l'essentiel d'Auroville et qui est le cadre de la manifestation supramentale dans lequel elle existe. (Voir l'article relatif à cela qui est sur le présent blog.)

Toute cette affaire de Pavillon qui serait relatif à la France est vide à propos de ce pays, et vide à propos de l'essentiel d'Auroville. Ses partisans doivent beaucoup s'illusionner volontairement pour considérer que leurs actions pourraient finir par la création du véritable Pavillon prévu par la Mère.

Les faits qui sont indiqués ci-dessus, c'est-à-dire pas leur appréciation qui est aussi indiquée ci-dessus, se trouvent sur le site internet des correspondants auroviliens de l'association française, le groupe nommé Pavillon de France et de la Francophonie. En cliquant sur l'onglet rougeâtre « Construction », puis sur « Inauguration », on arrive sur un seul article, qui est titré : Pavillon de France... Bonne nouvelle !
L'association française, elle, n'a même pas un blog ! Ça contribue à montrer ce qu'elle vaut, ce qu'elle est.

 

CHAPITRE 17
INFORMATIONS SUR LASSOCIATION AU MOT
VITALIS, JUSQUÀ SA DEUXIÈME ADRESSE DE SIÈGE SOCIAL
(Le début de ce titre de chapitre fut modifié le 14 octobre 23.)

I – (Partie ajoutée le 14 octobre 23.) LE CHANGEMENT ANNULÉ DE 1993* MALGRÉ QUE QUELQUE CHOSE FUT TRANSFÉRÉ

Dans le J.O.R.F. du 11 aout 1993*, p. 2764, il y a ceci.
« 157 - Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO ET L’AUROTHÈQUE. Siège social : 34, rue Briffaut, 13005 Marseille. Transféré ; nouvelle adresse : l’Aurothèque, 18, rue Théodore-Thurner, 13006 Marseille. Date de la déclaration : 16 juillet 1993. » (F.d.c.)
Dans le JOAFE, Journal officiel des associations et fondation d’entreprises, à « Domaines d’activité » il y a « Domaines divers ».

Dans le J.O.R.F. du 18 aout 1993*, il y a ceci, p. 2837.
« 186 - ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO ET L’AUROTHÈQUE. Annulation de l’insertion n° 157, parue au Journal officiel n° 32, du 11 août 1993, page 2764. » (F.d.c.)
Dans le JOAFE, à « Domaines d’activité » il y a encore « Domaines divers ».

La bibliothèque fut quand même transférée, d’après ce qui suit.

II –
(Titre ajouté le 14 octobre 23.) LE CHANGEMENT DE 1995*

26 JUIN 95, L'ASSOCIATION AU MOT VITALIS DÉCIDA DE CHANGER L'ADRESSE DE SON SIÈGE SOCIAL

Lors d'une réunion du 26 juin 95, les trois membres du personnel dirigeant de l'association décidèrent de transférer le siège social de celle-ci (qui était 34 rue Briffaut) au local où était la « bibliothèque "L'AUROTHÈQUE" situé 18, Boulevard Théodore Thurner, 6ème à Marseille ».

DÉCLARATION DE LA DÉCISION À LA PRÉFECTURE
La déclaration de cela fut faite à la préfecture par une lettre sans date sur laquelle est indiquée la décision du 26 juin 95.

DATE DE LA RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
La date de réception par la préfecture, valant déclaration, est le 16 aout 95, comme indiqué dans l'annonce publiée dans le J. O.
La date du récépissé est la même, comme indiqué sur le document.

13 SEPTEMBRE 95, PUBLICATION DANS LE J. O.
J.O.R.F. Associations, du 13 septembre 95, Département des Bouches-du-Rhône, sous-titre « Modifications », p. 3704.
« [N°] 154 - Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE-VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES S.R.I. AUROBINDO. Siège social : 34, rue Boufaut, 13005 Marseille. Transféré ; nouvelle adresse : 18, boulevard Théodore-Thurner, 13006 Marseille. Date de la déclaration : 16 aout 1995. »
Il y a de nouveau un tiret entre les mots Suzanne et Vitalis. Il y a un point après chaque lettre du mot Sri comme s'il était un sigle. Il est écrit « Boufaut » (nom de rue qui n'existe pas à Marseille) au lieu de « Briffaut ». (Ça provint probablement d'une lecture trop rapide de la lettre tapée à la machine d'avant l'arrivée des ordinateurs, sur laquelle, à cause d'un ruban à encre en tissu et utilisé plusieurs fois, les caractères n'apparurent pas toujours complets.)
Ladite « Date de la déclaration » est aussi celle de l'envoi du récépissé par la préfecture et elle est écrite sur la lettre de déclaration.

 

 CHAPITRE 18
FIN 96 - DÉBUT 97, POUR LASSOCIATION AU MOT PAVILLON :
SA DEUXIÈME ADRESSE DE SIÈGE SOCIAL QUI EST CELLE

DES DEUX LACHAUD, DES CHANGEMENTS DANS LE PERSONNEL,
ET DES PROBLÈMES À PROPOS DE SON NOM

19 SEPTEMBRE 96, DÉCISION DE CE JOUR, INDIQUÉE LE 23 SEPTEMBRE

- Concernant l'adresse.
Il y a une feuille de papier à lettre qui a en haut, à gauche un logo incluant le symbole d'Auroville et, écrit centré sur l'espace d'à côté du logo, en grandes lettres capitales imprimées : « Pavillon de France » et, dessous : « Auroville ».
Sous cela est notamment écrit ceci. « Lors de la réunion de bureau de l'association "Pavillon de France Auroville", le 19 Septembre 1996, il a été décidé à l'unanimité de transférer son siège social chez Monsieur Gilles LACHAUD, 22 rue de la Loge, 13002 MARSEILLE ».
Lettre datée du 23 septembre 96, qui fut expédiée à la Préfecture.
(Dans un texte daté du 30 septembre, Patricia Lachaud déclara accepter « que le siège de l'association soit désormais au 22 rue de la loge, 13002 marseille [Marseille], dans mon appartement dont je suis propriétaire ».

- Concernant le personnel.
Démission de la Présidente Mireille Albrecht. (Née en 1924*, elle mourut en 2007*.)
En 96, les membres du personnel dirigeant furent désormais les suivants avec les adresses déclarées.
Président : Gilles Lachaud, domicilié à Marseille, 22 rue de la Loge.
Désormais, un seul Vice-Président : Jean Pougault, domicilié à Auroville.
Trésorier : Marc-André Charles, domicilié en France.
Trésorier adjoint : Serge Brelin, domicilié à Auroville.
Secrétaire : Patricia Lachaud née Giraud, domiciliée à Marseille, 22 rue de la Loge.
Secrétaire adjoint : « Ann Riquier », domiciliée à Auroville.

7 DÉCEMBRE 96, ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE
En plus de paroles concernant ce qui précède, il y eut la modification des statuts à propos de l'adresse du siège social (et on n'a pas cherché à savoir s'il y eut d'autres modifications).
L'article 3 de 89 était ceci : « Le siège social est fixé à Paris, Seine. Il pourra être transféré par simple décision du Conseil d'Administration, la ratification par l'assemblée générale sera nécessaire. »
Son début fut modifié pour devenir ceci : « Le siège social est fixé à Marseille, 13002 ».
Ce dernier nombre correspondait au bâtiment du 22 rue de la Loge.
Un changement d'arrondissement ne pouvait donc plus exister mais les statuts pouvaient l'être à nouveau si les conditions étaient présentes.

ENTRE LE 7 DÉCEMBRE ET LE 16, TRANSMISSION DES DOCUMENTS PRÉCÉDENTS
Les documents relatifs à tout ce qui précède depuis le 19 septembre 96 furent transmis à la préfecture.

DATES DE LA RÉCEPTION ET DU RÉCÉPISSÉ
La date de réception par la préfecture, valant déclaration, est le 16 décembre 96, comme indiqué dans l'annonce publiée dans le J. O.
La date du récépissé est la même comme indiqué sur le document.

8 JANVIER 97, PUBLICATION DANS LE J. O.
J.O.R.F. Associations, du 8 janvier 97. Département des Bouches-du-Rhône, sous-partie « Modifications », p. 95.
« [N°] 254 - Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Ancien titre : ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE TAMIL NADU, INDE. Nouveau titre : ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE. Siège social : 3, rue du Plâtre, 75004 Paris. Transféré ; nouvelle adresse : chez M. Lachaud, 22, rue de la Loge, 13002 Marseille. Date de la déclaration : 16 décembre 1996. »
Dans l'ancien nom, l'ancien titre, la virgule après le mot Auroville fut omise et ce fut une erreur de l'employé du J.O.

DANS TOUS LES TEXTES PRÉCÉDENTS, LES PROBLÈMES DU NOM DE L'ASSOCIATION
En 89, le nom de l'association indiqué dans l'article 1 était « Association du Pavillon de France à Auroville, Tamil Nadu, Inde ».
Dans les statuts du 7 décembre 96, ce fut encore ce nom qui fut écrit à l'article 1.
Pourtant, un changement de nom fut indiqué dans le J. O. Pour quelle cause ?
Sur la feuille de papier à lettre indiquée plus haut datée du 23 septembre 96, en haut est écrit : « Pavillon de France » et, dessous : « Auroville ». Ce qui est écrit sur cette feuille commence ainsi : « Lors de la réunion de bureau de l'association "Pavillon de France Auroville" ».
Ça n'explique pas la présence du mot « à » (« à Auroville ») qui est dans le J.O.
Ce mot est présent dans les statuts du 7 décembre 96, dans le nom de l'association indiqué à l'article 1, comme indiqué ci-dessus.
En plus, la feuille qui indique les noms des membres du personnel avec leur métier, leur nationalité et leur domicile a, en haut et en lettres plus grandes et grasses, le nom suivant : « Association du Pavillon de la France à Auroville ». Il y a cet article « la ». Cette feuille est celle qui fut placée ou se retrouva être la première du paquet de documents puisque ce fut sur elle qu'un tampon concernant le récépissé fut placé, avec la date du 16 décembre 96.
La feuille qui suit, qui concerne l'Assemblée générale extraodinaire du 7 décembre, a le même nom (avec « la ») écrit pareillement en haut.
De cela, un employé de la préfecture ou du J.O. put conclure que le nom était Association du Pavillon de France à Auroville, c'est-à-dire sans, à sa fin, une virgule suivie par Tamil Nadu, Inde.
Il aurait fallu employer le nom écrit dans les statuts. Ne pas l'avoir fait fut une erreur.
Pourquoi existe-t-il deux documents qui sont titrés « Association du Pavillon de la France à Auroville », avec cet article « la » ? L'explication probable est que la personne qui les prépara pensa spontanément en français, et plaça donc celui-ci.

 

 CHAPITRE 19
EN 1998*, TROISIÈME ADRESSE DU SIÈGE SOCIAL
DE LASSOCIATION AU MOT VITALIS

28 SEPTEMBRE 98, DÉCISION DE CHANGER L'ADRESSE DU SIÈGE SOCIAL
Il y a une lettre où, sous le nom de l'association, le texte complet est ce qui suit, où les formes des caractères sont reproduites mais où le soulignement des deux premières lignes ne l'est pas.

« RÉUNION DU BUREAU EN CONSEIL D'ADMINISTRATION
PROCÈS-VERBAL

Le 28 septembre 1998, les membres du bureau se sont réunis chez Madame BARTHELEMY, présidente ; 182, avenue des C[...], 13004, MARSEILLE, pour décider de transférer notre Siège Social, au n° 13, rue d'Endoume, 13007 MARSEILLE, à partir du 1er octobre 98.
C'est un local en rez de chaussée de 35 m2 composé de deux pièces + commodités, avec vitrine, en location-bureau. »

1er OCTOBRE 98, LETTRE TRANSMISE À LA PRÉFECTURE
La lettre ci-dessus, datée du 1er octobre 98, signée par la Présidente, la Trésorière et le Vice-Président, fut adressée à la préfecture.

VERS LE 7 OCTOBRE, RÉCEPTION À LA PRÉFECTURE
Sur la lettre il y a un tampon de la préfecture avec la date du 7 octobre.

19 OCTOBRE 1998, DATE DU RÉCÉPISSÉ
La date du 7 octobre 98 inscrite par le tampon fut barrée et celle du 19 octobre fut écrite à la main à côté comme étant celle du récépissé.
Dans cette préfecture, il y avait visiblement une confusion entre la date de réception du courrier, valant normalement date de déclaration, et celle du récépissé dont un exemplaire était transmis à l'association. Lorsque le récépissé était établi le même jour que la réception, il n'y avait pas de problème mais, lorsque par oubli ou pour une autre cause, le récépissé ne l'était pas, il y avait un problème et c'est la date de création du récépissé qui servait à établir la date de la réception et, donc, de la déclaration. Ce qui précède est une généralisation établie d'après ce qui est dans les dossiers en jeu.

7 NOVEMBRE 98, PUBLICATION DANS LE J. O.
J.O.R.F. Associations, du 7 novembre 1998*, Département des Bouches-du-Rhône, sous-partie « Modifications », p. 4705.
« [N°] 278 - Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. ASSOCIATION DEPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO. Siège social : 18, boulevard Théodore-Thurner, 13006 Marseille. Transféré ; nouvelle adresse : 13, rue d'Endoume, 13007 Marseille. Date de la déclaration : 19 octobre 1998. »
Il n'y a pas de tiret dans le nom, ce qui est correct.
La date qui est indiquée comme étant celle de la « déclaration » est celle du récépissé.

 

 CHAPITRE 20
AU PRINTEMPS 2000*, CHANGEMENT DANS LE PERSONNEL
DE LASSOCIATION AU MOT VITALIS

DÉCISION DU 18 MAI 2000*
Le 18 mai de l'année numérotée 2000 par tyrannie chrétienne, dans l'association au mot Vitalis, il y eut du changement dans le personnel.
La Présidente Fernande Barthélémy démissionna et fut remplacée par Patricia Lachaud domiciliée 22 rue de la Loge à Marseille.
Le Vice-Président Éric Barthélémy démissionna et ne fut pas remplacé.
La fonction de Secrétaire qui était assumée par la Présidente F. Barthélémy le fut désormais par Christiane Seigner.
La Trésorière Jeanne Eyssautier fut remplacée par le Trésorier Gilles Lachaud, domicilié 22 rue de la Loge à Marseille. (Eyssautier fut dite « sortante » et pas démissionnaire. C'est-à-dire qu'il semble qu'elle voulait continuer à être la trésorière mais qu'un vote l'évinça.)

18 MAI 2000*, LETTRE TRANSMISE À LA PRÉFECTURE
La lettre qui annonça ces changements à la préfecture est datée du 18 mai et signée par les trois personnes en fonction qui sont indiquées ci-dessus.

DATE DE RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
Sur la lettre, la date de réception par la préfecture n'est pas indiquée. Celle du récépissé est le 20 juin suivant.

 

 CHAPITRE 21
EN SEPTEMBRE 2000*, QUATRIÈME ADRESSE DU SIÈGE SOCIAL
DE LASSOCIATION AU MOT VITALIS
QUI SE RETROUVA CHEZ LES DEUX LACHAUD

1er SEPTEMBRE 2000*, DÉCISION DE CHANGER L'ADRESSE DU SIÈGE SOCIAL
Peu après le changement dans le personnel, il y eut un changement d'adresse.
Il y a une lettre où le nom de l'association est indiqué en en-tête, où il est écrit que « lors d'une séance de son Conseil d'Administration en date du 1 septembre 2000 », l'association « a procédé au changement de siège », le nouveau étant « C/o Mme Lachaud [,] 22 rue de la Loge, 13002 Marseille ». « Le local jusqu'alors loué au 13 rue d'Endoume a été résilié. » (« C/o » : abréviation de l'expression anglaise care of, qui signifie : « aux bons soins de ». On peut dire aussi : chez.)

1er SEPTEMBRE 2000*, TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
La lettre ci-dessus est datée du 1er septembre.
Les signataires sont les mêmes que pour la lettre du 18 mai 2000* : la Présidente Patricia Lachaud, la Secrétaire Christiane Seigner, et le Trésorier Gilles Lachaud.

DATE DE RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
Sur la lettre, une seule date est indiquée : 5 septembre 2000*.

 

7 OCTOBRE 2000*, PUBLICATION DANS LE J. O.

J.O.R.F. Associations, du 7 octobre 2000*, Département des Bouches-du-Rhône, sous-partie « Modifications », p. 4351.
« [N°] 203 - Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. ASSOCIATION DEPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO. Siège social : 13, rue d'Endoume, 13006 Marseille. Transféré ; nouvelle adresse : chez Mme Lachaud, 22, rue de la Loge, 13002 Marseille. Date de la déclaration : 5 septembre 2000. »
Il n'y a pas de tiret dans le nom de l'association, ce qui est correct.

Dans l'organisme nommé « Fondation Suzanne Vitalis » créé en 76, qui est le décideur, c'est-à-dire celui qui décide d'utiliser l'argent pour ceci ou cela ? Est-ce que c'est Gilles Lachaud ? Est-ce que c'est Patricia Lachaud ? Est-ce que c'est quelqu'un d'autre ? Cet argent est prévu pour servir à « la diffusion de l'œuvre de Sri Aurobindo et de la Mère » et à « faire connaitre le développement de la cité d'Auroville » qui ne concerne pas la contribution au développement de cette ville en formation mais seulement à « faire connaitre » celui-ci. C'est censé être fait en France ou, au moins, d'abord et principalement dans ce pays, et ça n'a pas à être fait dans Auroville. En France, on ne voit aucune activité, aucune production, créée par cette Fondation, Fondation, (même pas un blog gratuit). S'il y en a, où sont-elles ?
Est-ce que l'association, association, nommée « Association départementale Suzanne Vitalis du Centre d'études Sri Aurobindo » reçoit de l'argent de la « Fondation Suzanne Vitalis » ?
Si c'est non, son argent viendrait notamment de ses adhérents. Combien en a-t-elle ?
Si c'est oui, l'argent devrait être utilisé conformément aux buts de cette association.
Depuis le 27 avril 91, son but est officiellement de s'occuper de la bibliothèque mais l'erreur du J. O. est facilement démontrable. Le vrai objet, les vrais objets sont ceux qui furent indiqués lors de la création du 13 novembre 79 : « concourir à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo et de La Mère », « faire connaitre le développement de la cité d'Auroville » et « contribuer à l'enrichissement culturel de ses adhérents ».
Concernant ce premier objet, qu'est-ce qui fut fait par cette association ? Qu'est-ce qui en sortit ? Il semble que ce soit rien. Elle n'y a même pas de site internet ou un blog gratuit alors qu'en avoir un serait pourtant le moyen le plus simple pour agir selon ce but !
Concernant le deuxième objet, mêmes questions et même réponse.
Concernant le troisième objet, qu'est-ce qui exista ? Seuls les « adhérents » pourraient répondre et rien ne les oblige à rendre cela public.
Si l'association reçoit de l'argent de la Fondation, il ne devrait pas être dépensé à propos de quelque chose qui existe dans Auroville, notamment à propos de la création d'un Pavillon de pays, qu'il soit un vrai ou seulement un simili.

Est-ce que l'association nommée Centre d'études Sri Aurobindo pourrait demander à la Fondation de France d'enquêter, de faire dresser la liste des activités du ou des organismes qui reçoivent de l'argent de la Fondation Suzanne Vitalis afin de savoir si celui-ci est employé conformément aux buts de celle-ci ? S'il ne l'est pas, est-ce que ce Centre pourrait tenter d'en devenir gérant puisque le nom « Association départementale Suzanne Vitalis du Centre d'Études Sri Aurobindo » indique la proximité idéologique, pour dire le moins, et puisque leur but premier est le même ?

 

 CHAPITRE 22
2003*, POUR LE « CENTRE DÉTUDES SRI AUROBINDO »,
DEUXIÈME ADRESSE DE SON SIÈGE SOCIAL

Décision interne à l'association du 17 février 2003*.
Lettre de transmission à la préfecture de police du 15 avril suivant, signée par « Janine Panier » (Janine Morisset, veuve Panier) qui en était encore la Secrétaire, la plus haute fonction.
Réception à la préfecture le 16 avril.
Publication dans le J.O., Associations Loi du [...] et Fondation d'entreprises Loi du [...], numéro du 24 mai 2003*, partie « 75 - Département de Paris », sous-partie « Modifications », p. 2886. « [N°] 2524 – Déclaration à la préfecture de police. CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO. Siège social : 7, avenue Carnot, 75017 Paris. Transféré ; nouvelle adresse : 35, rue de Bellefond, 75009 Paris. Date de la déclaration : 16 avril 2003. »
L'association se retrouva ainsi au domicile d'Olivier Pironneau. En septembre 17, lorsque, sur internet, dans le moteur de recherche on écrit "centre d'études sri aurobindo", on arrive sur le site de cette association dont l'adresse internet est http://opironneau.free.fr .
En 2003*, Janine Panier, née en 1929*, avait 74 ans. Si elle cessa d'être la Secrétaire à ce moment, est-ce que ça put être la cause du changement d'adresse du siège social ? (Elle mourut le 25 février 2012*.)

 

  CHAPITRE 23
EN 2006*, EST-CE QUE GILLES LACHAUD NÉTAIT PLUS LE PRÉSIDENT
DE LASSOCIATION AVEC LE MOT PAVILLON DANS SON NOM ?

Sur internet, il y a un texte qui fut rédigé par Chloé Maurel et qui est titré Auroville, une cité utopique en Inde. Il est écrit : « Interview de M. Gilles Lachaud, 23 septembre 2006 ». Il y a ceci. « Comme l'affirme Gilles Lachaud, ex-président de l'"Association pour le pavillon de France à Auroville", [...]. » De cela vient la question posée en titre car, pour avant, la dernière information connue ici est celle présentée dans le chapitre 18 : Lachaud devint le président en septembre 96. Quoi qu'il en fût, il fut plus tard président, ce que voici.

 

CHAPITRE 24
EN 2014* POUR LASSOCIATION AU MOT PAVILLON,
SES MEMBRES DIRIGEANTS, SON DEUXIÈME OBJET,
ET SON AUTRE NOM AVEC DES PROBLÈMES LE CONCERNANT

31 JANVIER 2014*, MEMBRES DIRIGEANTS ET NOUVEL OBJET

Le 31 janvier 14 exista une Assemblée Générale Extraordinaire de l'association au mot Pavillon dans son nom.

- Élection du « nouveau bureau ».
On ne sait pas si quelque chose fut nouveau puisque la composition précédente du bureau n'est pas connue ici.
Président : Gilles Lachaud, domicilié à Marseille.
Trésorière : Patricia Lachaud, domiciliée à Marseille.
Secrétaire : Claude Jouen, dit domicilié à Paris.
Les deux Lachaud semblent avoir été mari et femme. Est-ce qu'il y eut ensuite un divorce ?
Claude Jouen vit au moins souvent à Auroville où il est l'un des deux dirigeants du groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie. Quel rôle a-t-il dans l'association ? En tout cas, le lien entre cette association et ce groupe d'Auroviliens fut renforcé. Cette association n'est pas seulement un partenaire de ce groupe car il y a une imbrication partielle.
Est-ce que la liste est aussi celle de tous les membres de l'association ?
Si les dirigeants de l'Association au mot Vitalis sont aussi ceux qui dirigent, qui gèrent, la Fondation Suzanne Vitalis, qui seront les successeurs des deux Lachaud ? Est-ce que ce seront des membres du groupe d'Auroviliens P. de F. et de la F. (les actuels ou leurs successeurs s'il y en a) ?

- Modification de l'objet.
Ancien objet : « La construction, l'aménagement et la gestion du Pavillon de France à Auroville, Tamil Nadu, Inde. »
Nouvel objet :
« - Favoriser les échanges et la communication entre la France et l'ensemble de la francophonie, d'une part, et la cité d'Auroville d'autre part, pour un enrichissement mutuel.
- Contribuer à la diffusion et au rayonnement de la culture et de la langue française en Inde et notamment dans la cité d'Auroville. À cette fin, participer à l'organisation d'évènements et de conférences, ainsi qu'à la réalisation de projets utilisant tout moyen de diffusion.
- Soutenir des actions humanitaires en concertation avec la Fondation d'Auroville. »
Dans le texte des nouveaux statuts qui est joint, c'est ce qui est écrit dans l'article 2 dont le titre est « Objet » et qui commence ainsi : « Les buts de l'association sont les suivants : »

Il n'y a aucun élément pour indiquer ou même seulement évoquer une conscience supérieure en train de chercher à se manifester, avec ses conséquences. Il n'y a pas la moindre aspiration à cela. Globalement, il y a l'expression du vieux monde qui s'occupe de se prolonger.
Il est parlé d'un « enrichissement mutuel » (c'est-à-dire que l'action de s'enrichir est considérée plus importante que celle de se développer). Ce qui est annoncé est au mieux un élargissement, pas une élévation, pas un approfondissement, mais ça semble devoir mener à un abaissement, un amoindrissement.

Il est dit que, d'un côté, il y a Auroville et que, de l'autre côté, il n'y a pas seulement la France mais elle et aussi « l'ensemble de la francophonie ». (Ces cinq derniers mots incluent objectivement la France, qui ne devrait donc pas être indiquée à côté.) Dire « la France » ne correspond pas seulement à quelques Français mais ça veut engager le pouvoir public central. En plus, ça veut inciter d'autres pays à agir : volonté impérialiste.
Dans ladite « culture [...] française » actuelle, on parle notamment de liberté et de droits de l'homme mais ce sont surtout le développement de tyrannies religieuses et celui de pouvoirs d'argent qui existent. Ladite « culture [...] française » inclue notamment la tyrannie papiste et tout le fatras intellectuel qui existe en France depuis de nombreuses décennies, en grande partie à cause des tyrans de ce genre qui, parce qu'ils n'arrivent pas à supprimer les mots qui leur sont hostiles car ils expriment une idée qui l'est, corrompent ces mots en leur donnant une signification leur étant favorable, et la confusion mentale se développe. C'est notamment cet état intellectuel français très délabré qu'il est voulu diffuser et faire rayonner dans Auroville et le reste de l'Inde. (C'est le résultat d'une grande inconscience de la situation en France.) Ce sont des ténèbres qu'il est voulu déverser.
Est-ce que l'ajout du but de « Contribuer à la diffusion et au rayonnement de la culture et de la langue française » fut posé par le ministère français des affaires étrangères comme condition pour qu'il donne son soutien ? (L'existence de ce dernier est indiquée plus loin.)
Est-ce que, en échange d'un soutien étatique français, il y eut l'acceptation de se corrompre ? Est-ce que ce soutien se fit aussi par un don d'argent ?
(Est-ce que ce fut l'association française qui fit accepter par le groupe d'Auroviliens l'idée allant avec le mot francophonie jusque dans son nom, ou est-ce que ce fut ce groupe qui l'eut en premier et qui le fit ensuite admettre par l'association ? Le premier cas semble le plus probable.)

Dans l'annonce du soutien à des « actions humanitaires », l'emploi de ce dernier mot va avec ce qui est indiqué dans les deux premiers paragraphes du présent commentaire des « buts ».
L'organe gouvernemental indien nommé « Fondation d'Auroville » est accepté par l'association, la loi indienne est acceptée dans Auroville. Ça existait depuis le début de cette association au mot Pavillon dans son nom et c'est désormais exprimé. Il est fait comme si cette ville appartenait à l'Inde. C'est en contradiction avec le début de la Charte d'Auroville.

Globalement, les buts sont très larges et vont dans des directions différentes, et tout est rattaché à « Pavillon de France ». Ça montre que ça ne peut pas venir d'une impulsion profonde mais que ça résulte d'une motivation mentale, qu'il y a l'action selon un idéal, qui semble avoir reçu l'influence de motivations autres que mentales. Ce qu'il y a est de l'agitation mentale et ses conséquences.

- Il est écrit ceci. « Les autres articles des statuts sont modifiés conformément au document joint. »
Dans l'article 1, il y a ceci :
« [...] 1901, ayant pour titre :
"Association du Pavillon de France à Auroville"
et son nom abrégé d'usage est "Asso. Pavillon de France AV". »

Le début de l'article 3 est ceci : « Le siège social est fixé chez M. Gilles Lachaud, 22 rue de la Loge, 13002 Marseille ».
On n'a pas regardé les autres articles.

TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE
La feuille avec le procès-verbal de l'A. G. Extraordinaire du 31 janvier 14 fut placée ou se retrouva être la première du paquet de documents puisque ce fut sur elle qu'un tampon fut placé avec notamment l'indication « déposé » le 10 février 2014*.
Les nouveaux statuts furent aussi transmis, avec aussi deux formulaires préfectoraux imprimés à compléter et qui furent déposés, remplis, le 10 février 2014*.
L'un concerne les membres dirigeants et il n'y a pas de problème.
Sur l'autre, il y a des problèmes qui sont liés au titre, au nom, de l'association, et ils eurent des conséquences dans l'annonce publiée dans le J. O. C'est pour cela que cette affaire est présentée en détail ci-après.
Sur ce formulaire qui est relatif à des modifications sauf celles concernant les personnes, il y a notamment des cases à cocher pour indiquer quelles sortes de modifications sont apportées : au titre, à l'objet, etc.
D'après les cases cochées ou non cochées, il est écrit qu'il n'y a pas de modification du « titre », c'est-à-dire du nom de l'association mais il est écrit qu'il y a une modification de l'objet, ce qui est publiable au J.O.A.F.E., et aussi une autre modification qui n'a pas à être publiée ainsi.
Selon ce qui est écrit, cette dernière modification est apparemment l'adresse de gestion puisque des inscriptions furent placées dans le cadre titré « modification de l'adresse de gestion ». Pourtant, l'adresse qui y fut écrite comme étant l'ancienne adresse de gestion est celle du siège social, et une nouvelle adresse de gestion ne fut pas écrite.
L'explication de tout cela concerne le titre, le nom, de l'association, et la voici.
Il aurait fallu cocher la case indiquant qu'il y avait une modification du titre.
Ensuite, dans le cadre titré « Modification du titre », il fut correct d'écrire, en face de l'indication « Ancien titre » : « Association du Pavillon de France à Auroville ».
Par contre, en face de « Nouveau titre », il aurait fallu écrire tout le nouveau titre mais il fut écrit ceci : « rajout du Sigle, [À la ligne :] Asso. Pavillon de FRANCE AV ». Ce n'était pas le nouveau titre mais, apparemment, l'indication de ce qu'il fallait faire pour que le nouveau titre existe : ajouter ce qui était indiqué sur la deuxième ligne (qui n'était pas un sigle, mais une sorte d'abréviation).
Et le remplissage partiel du cadre concernant une « modification de l'adresse de gestion » n'eut d'intérêt, pour le rédacteur, que parce qu'il était écrit : « Titre court de l'association », suivi par un espace à remplir par de l'écrit. Puisque ce cadre ne concernait pas le titre de l'association mais l'adresse de gestion, lorsque la préfecture élabora le formulaire à imprimer en très nombreux exemplaires, elle considéra qu'il n'était pas utile de faire écrire le titre qui est parfois très long. Le membre de l'association en jeu y perçut l'opportunité d'écrire ce qui était apparemment le rajout qu'il voulait placer à la fin du nom, c'est-à-dire : « Asso. Pavillon de France AV ». (Le mot « France » ne fut pas écrit, cette fois, en lettres capitales.)

DATE DE RÉCEPTION ET CELLE DU RÉCÉPISSÉ
La date de réception par la préfecture semble celle où le paquet de documents fut « déposé », le 10 février 2014*.
La date du récépissé ne fut pas indiquée.

22 FÉVRIER 14, PUBLICATION DANS LE J. O. NUMÉRISÉ

J.O. numérisé du 22 février 14, visible sur internet. N° d'annonce : 175. « Département (Région) : Bouches-du-Rhône (Provence-Alpes-Côte-d'Azur) ». C'est une modification.
« Déclaration à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Ancien titre : ASSOCIATION DU PAVILLON DE LA FRANCE À AUROVILLE. Nouveau titre : ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE (ASSO. PAVILLON DE FRANCE AV). Nouvel objet : favoriser les échanges et la communication entre la France et l'ensemble de la francophonie, d'une part, et la cité d'Auroville d'autre part, pour un enrichissement mutuel ; contribuer à la diffusion et au rayonnement de la culture et de la langue française en Inde et notamment dans la cité d'Auroville ; à cette fin, participer à l'organisation d'évènements et de conférences, ainsi qu'à la réalisation de projets utilisant tout moyen de diffusion ; soutenir des actions humanitaires en concertation avec la fondation d'Auroville. Siège social : 22, rue de la Loge, 13002 Marseille. Date de la déclaration : 10 février 2014. »

Il fut tenu compte qu'il y avait vraiment une modification du titre (quoique la case à cocher ne l'ait pas été).
Le « rajout » demandé fut ajouté au titre ancien et, pour faire clair, des parenthèses furent ajoutés, soit par un employé de la préfecture, soit par un employé du J. O.

Ce qui est écrit dans l'article 1 des statuts montre ce qui avait été voulu :
« [...] 1901, ayant pour titre :
"Association du Pavillon de France à Auroville"
et son nom abrégé d'usage est "Asso. Pavillon de France AV". »
Toute l'affaire fit que ce nom abrégé se retrouva écrit dans le J. O.

L'affaire du nom aurait pu se terminer ainsi mais un autre problème fut créé dans l'indication de l'ancien titre : l'ajout de l'article « la » devant le mot « France ».
Ce fut par erreur qu'il se retrouva dans l'annonce du J. O. Comment cela put-il arriver ?
Est-ce que ce qui suit exista ? Est-ce que l'employé de la préfecture s'occupant de cela ne comprit pas immédiatement ce qui était voulu à propos du nom et qu'il regarda les documents précédents du dossier, ceux de 96 ? Si oui, il put lire les deux premiers titres de pages, ceux avec l'article « la ». Et il aurait reproduit cela, sans même y penser, dans le texte de l'annonce à publier, et aussi parce que l'article existe en bon français.

LE SITE INTERNET DE L'ASSOCIATION AU MOT PAVILLON
Plus haut, il est parlé d'une feuille avec le procès-verbal de l'Assemblée Générale Extraordinaire du 31 janvier 14. C'est une feuille, parmi d'autres, de papier à lettres. Parmi ce qui est imprimé en bas, il y a l'adresse d'un site internet.
On peut penser que c'est le site particulier à cette association mais c'est celui du groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie. Il est présenté plus loin.

 

 CHAPITRE 25
EN 2015* ET 2016* DANS AUROVILLE, LAFFAIRE DU PAVILLON
CONSIDÉRÉ COMME RELATIF À LA FRANCE

Sur le site internet des correspondants auroviliens de l'association française au mot « Pavillon », en cliquant sur l'onglet rougeâtre « Construction », puis sur « Inauguration », on arrive sur un seul article, qui est titré : Pavillon de France... Bonne nouvelle !
Dedans il y a notamment ceci.
« La pose de la 1ère pierre du Pavillon de France temporaire a eu lieu le samedi 15 aout 2015 près du Centre des visiteurs ». Il y a le mot « temporaire ».
Il est indiqué que « Le Pavillon de France fonctionne depuis le 1er février 2016 » et que son « inauguration a eu lieu le 13 février 2016, en présence de M. Janvier-Kamiyama, Consul Général de France à Pondichéry, de son épouse et de Mme Hélène Charpin, Consule adjointe qui coupèrent le cordon ».

Dans l'article il n'est pas parlé de l'association française. Le passage venant d'être reproduit peut donc faire penser qu'il en est indépendant et qu'il n'y eut rien avant.
Ce n'est pas le cas puisque Claude Jouen, faisant partie du groupe des correspondants auroviliens de cette association et qui fut l'un des meneurs de la cérémonie du 13 février 16 est aussi membre de cette association, comme indiqué plus haut.
En plus, la filiation fut expressément indiquée dans l'article. Après le passage où il est parlé de ladite « première inauguration » puis de la deuxième (et qui sont indiquées plus haut dans le chapitre 16), il y a ceci : « La troisième inauguration a eu lieu le 13 février 2016, en présence de M. Janvier-Kamiyama, Consul », etc.

La signification de cela est dans la lignée des faits précédents.

Tout l'article titré Pavillon de France... Bonne nouvelle ! rédigé par le groupe d'Auroviliens P. de F. et de la F. est commenté dans un article spécial, sur le blog Ohoettilto-3.

 

 CHAPITRE 26
LANNÉE 16, ARGENT DE LA « RÉSERVE PARLEMENTAIRE » DE
TH. MARIANI DONNÉ À « PAVILLON DE FRANCE DAUROVILLE »

En l'an numéroté 2016 par tyrannie chrétienne, le député Thierry Mariani donna 2000 euros à « Pavillon de France d'Auroville ». Il le fit en tant que représentant des « Français établis hors de France » mais, objectivement, seulement en tant que représentants de ceux qui votèrent pour lui. L'argent fut versé au titre suivant : « Diplomatie culturelle et d'influence/Coopération culturelle et promotion du français ». Est-ce que l'association au mot Pavillon dans son nom intervint ?
Ce qui précède provient d'un article publié sur le blog Ohoettilto-3 et qui a le titre du présent chapitre.

 

 CHAPITRE 27
CONCERNANT LASSOCIATION AU MOT PAVILLON, CE QUI EST ÉCRIT
SUR LE SITE DU GROUPE DAUROVILIENS P. DE F. ET DE LA F.

Sur le site du groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie, lorsqu'on clique sur l'onglet « Partenaires », un menu déroulant fait apparaitre les noms de cinq partenaires. En cliquant sur chacun d'eux on arrive sur la page correspondante. Le premier partenaire indiqué est « Auroville International France ».
Le nom du troisième partenaire qui apparait est « Association du Pavillon de France ». En cliquant sur ce nom, on arrive sur la page où il y a ce qui suit.
« Association du Pavillon de France
Son But
L'association du Pavillon de France a pour objet d'aider à la réalisation et au développement des activités du Pavillon de France à partir de la France. Elle a été créée en 1992 suivant les statuts de la loi de 1901.
Cette initiative est placée sous le haut patronage du Ministère des Affaires étrangères et européennes.
Membres du Bureau en France :
Président : Gilles Lachaud [Courriel :] [...] [Téléphone :] [...]
Secrétaire : Claude Jouen [Courriel :] [...] [Téléphone :] [...]
Trésorière : Patricia Lachaud [Courriel :] [...] [Téléphone :] [...] » (Fin de citation.)
L'association ne fut pas créée en 92 mais en 89.
Ses objets, ses buts, en eux-mêmes ne sont pas « d'aider à la réalisation et au développement des activités du Pavillon de France », ce qui correspond objectivement à aider le groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie. C'est seulement comme conséquence, peut-être momentanée, des objets, des buts, qu'il peut en être ainsi.
Est-ce que le nom « Membres du Bureau » (en France) est synonyme de : membres de l'association ?
Concernant la référence au « haut patronage du Ministère des Affaires étrangères et européennes », il aurait fallu indiquer précisément le fait qui fit écrire cela. Il y a des gens qui accordent beaucoup d'importance au soutien qu'ils reçoivent par un élément du pouvoir public, central ou non. Dans le cas, c'est un élément étatique du vieux monde.
Ce soutien existe forcément dans le cadre de l'Unesco. Il y a donc l'omission de ce qui est essentiel à Auroville et il y a la volonté d'y favoriser la présence étroite de religions.
Cette association française est vide à propos de manifestation supramentale, vide à propos de la France, et vide à propos de l'essentiel d'Auroville. Par contre, elle est remplie d'agitation mentale, d'un gout spécial pour l'argent, et de cette nuisance religieuse.
Le groupe P. de F. et de la F. accepte d'avoir le soutien de cette association et ça contribue à montrer ce qu'il vaut.

 

 CHAPITRE 28
CONCERNANT LASSOCIATION AU MOT VITALIS : CE QUI EST ÉCRIT
SUR LE SITE DU GROUPE D'AUROVILIENS P. DE F. ET DE LA F.
ET CE QUI LEST SUR LE SITE DAUROVILLE

CE QUI EST ÉCRIT SUR LE SITE DU GROUPE D'AUROVILIENS P. DE F. ET DE LA F.

Sur le site du groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie, lorsqu'on clique sur l'onglet « Partenaires », un menu déroulant fait apparaitre les noms de cinq partenaires. En cliquant sur chacun d'eux on arrive sur la page correspondante.

Le deuxième partenaire est « Association Vitalis » et, en cliquant sur ce nom, on arrive sur la page où il y a ce qui suit.
« ASSOCIATION "VITALIS"
Buts
Concourir à la diffusion de la pensée de Sri Aurobindo et de Mère et faire connaitre le développement de la cité d'Auroville sont les buts de cette association créée en 1979 à Marseille, placée sous l'égide de la Fondation de France.
L'association Vitalis est un lien [oui, il y a le mot lien] d'échanges entre les Français/Européens partageant l'idéal de l'Unité Humaine, Auroviliens de l'âme et du cœur et les Auroviliens vivant l'expérience de la Cité-laboratoire à Auroville.
L'association Vitalis s'est engagée voici plusieurs années dans le soutien de la création du Pavillon de l'Unité Humaine, en amorce du développement de la Zone Internationale et par conséquent du Pavillon de France et de l'Europe.
Présidente : Patricia Lachaud-Giraud. Tél : [...] - Email : [...] » (Fin de citation.)

Le vrai nom de l'association n'est pas « Association Vitalis » mais « Association Départementale Suzanne Vitalis du Centre d'Études Sri Aurobindo ». Donc, on ment et, en plus, on cache le lien avec l'Ex-Ashram de Pondichéry. Les meneurs n'ont pas encore osé effacer ce dernier élément du nom et, d'ailleurs, ils ne le veulent peut-être pas s'ils tiennent à conserver cette marque de filiation. Par ailleurs, est-ce que ça ferait perdre le lien avec la « Fondation Suzanne Vitalis » qui a de l'argent ? Il ne semble pas si ce sont les mêmes personnes qui s'occupent des deux organismes et surtout parce que les deux objets de cette Fondation n'impliquent pas que les associations bénéficiaires de son argent aient dans leur nom, soit « Suzanne Vitalis », soit « Centre d'Études Sri Aurobindo », soit ces deux. Par ailleurs, le mot « Vitalis » n'est donc pas en relation avec le mot vitaliser comme il le fait d'abord penser.

Cette association est dite « créée en 1979 » et c'est vrai.

Est-ce qu'elle est vraiment « placée sous l'égide de la Fondation de France » ? Certainement pas car celle-ci ne fait pas cela. Il y a forcément une confusion avec la Fondation Suzane Vitalis créée en 76. Est-ce qu'elle fut faite volontairement !? L'absence de référence à cette dernière Fondation serait une manière de cacher que cette association créée en 79 a une source d'argent, un coffre-fort qui est plus ou moins rempli. La référence à la Fondation de France au profit de l'association serait une manière de se valoriser artificiellement par un recours à de l'étatisation.

Les deux buts indiqués dans le premier paragraphe sont les deux premiers parmi les trois de l'association. (Le troisième but de l'association qui n'est pas indiqué est « contribuer à l'enrichissement culturel de ses adhérents ». Que chacun en pense ce qu'il veut !) Mais les actions pour ces deux buts sont censés exister en France ou, au moins, d'abord et principalement dans ce pays, et pas à Auroville, alors que cette association semble ne rien faire en ce pays.

Le contenu du paragraphe suivant de la page internet ne fait objectivement pas partie des buts de l'association mais ça peut en être une conséquence.
Face aux Auroviliens, les seuls vrais, ceux qui vivent ordinairement à Auroville, il est dit qu'il y a « les Français/Européens ». Est-il dit que seuls les Français d'Europe pourraient être membres de cette association, pas ceux des régions françaises d'outre-mer ? Est-il dit que des « Européens » autres que des Français pourraient en être membres ? (En pratique, est-ce que les seuls membres de l'association créée en 79 sont les deux qui ont le mot Lachaud dans leur nom de famille et qui sont à l'adresse 22 rue de la Loge à Marseille et quelques rares autres ?)
Quoi que désigne l'indication « les Français/Européens », ce qui les caractérise est d'être « partageant l'idéal de l'Unité Humaine ». Ils agissent selon lui. Ça montre le niveau où cette association est située, celui où sont ses membres. Ce fut cet « idéal » qui fut la cause immédiate de l'intérêt de ces individus pour Auroville, et ils ne sont pas encore remontés plus profondément en eux, pas jusqu'à s'intéresser à l'apport de Sri Aurobindo et de la Mère, pas jusqu'à comprendre la méthode nécessaire, leur yoga intégral qui intègre le mantra apporté par celle-ci, et encore moins à se mettre à commencer à le pratiquer. Ils agissent par rapport à leur idéal, tel qu'ils le comprennent, où de ladite « Unité Humaine » résulterait de l'activité d'humains tels qu'ils sont. Pourtant, pour qu'une unité humaine existe, faut-il qu'au moins une grande partie des humains vivent suffisamment selon ladite Conscience Divine ou faut-il que des êtres supramentaux ou des êtres intermédiaires d'avant soient apparus et aient suffisamment d'influence pour produire cet effet ? Selon ce qui fut dit de la conscience supramentale par les personnages compétents, il n'y a qu'elle qui soit sans division, sans opposition.
Puisqu'il est parlé d'individus qui sont « partageant l'idéal de l'Unité Humaine », puisqu'il n'y a pas l'idée d'agir en France d'après les indications de Sri Aurobindo et la Mère concernant le yoga, il reste l'idée qu'il faudrait être à Auroville, qu'il faudrait donc être Aurovilien, et que, lorsqu'on ne vit pas dans cette ville, on se crée l'illusion d'y être quand même un peu, d'être quand même un peu Aurovilien, en se disant « Auroviliens de l'âme et du cœur ». (Cette position n'est pas particulière aux membres de cette association.) Le mot « âme » n'est pas caractéristique du vocabulaire de Sri Aurobindo et de la Mère. Il exprime peut-être une imprégnation chrétienne des meneurs de l'association en jeu. Est-ce qu'ils comprennent mentalement ce que Sri Aurobindo et la Mère appellent le psychique ? Est-ce qu'ils s'occupent de le reconnaitre en eux et de le prendre pour guide de leur vie ? Le mot « âme » en lui-même ne désigne pas forcément le psychique, ou pas seulement lui mais, dans l'hypothèse où, dans le texte commenté, il désignerait cela, leur mot « cœur » désignerait une partie du vital. Donc, lesdits « Auroviliens de l'âme et du cœur » ne mettraient que ces deux éléments d'eux-mêmes dans l'affaire, pas le reste. Pourtant, ils y mettent leur mental avec son « idéal », et une partie de leur activité, et peut-être aussi un gout spécial pour l'argent.
Vivre à Auroville est appelé vivre « l'expérience de la Cité-laboratoire à Auroville ». Là encore, il est passé à côté de l'essentiel qui est d'être le « serviteur volontaire de la Conscience Divine ». Il est passé à côté car ça semble ne pas avoir de signification pour les auteurs du texte.

Le paragraphe suivant commence par « L'association Vitalis s'est engagée voici plusieurs années dans le soutien » de ce qui est indiqué. Pourtant, puisque ça ne concerne pas quelque chose fait en France, ça ne fait pas partie des buts de l'association.
Par ailleurs, dans la zone internationale d'Auroville, il n'y avait pas à créer un « Pavillon de l'Unité Humaine ». Ce qui y existe est le résultat d'un développement mauvais. Il n'y a pas non plus à créer une Pavillon « de l'Europe », et pas non plus un Pavillon concernant en même temps la « France » et « l'Europe ». Ce qui est dit existe dans le cadre du projet aurovilien concernant la Zone internationale, qui est mauvais en lui-même et qui existe dans le cadre, mauvais en lui-même, de l'ordre du Gouvernement indien.

Le groupe P. de F. et de la F. accepte d'avoir le soutien de cette association et ça contribue à montrer ce qu'il vaut.
Cette association est mise au service de la création d'un prétendu Pavillon de la France (de la France), d'un simili-Pavillon de ce pays, mais au service d'un « Pavillon de France », au service de la soumission à l'Inde de la France et de Français d'Auroville.

 

CE QUI EST ÉCRIT SUR LE SITE D'AUROVILLE

Sur le site internet de ce qui est objectivement le groupe d'Auroviliens nommé actuellement Pavillon de France et de la Francophonie, et dans son texte principal de présentation il y avait le texte suivant. « Nous tenons ici à remercier l'association Vitalis, qui a permis à notre équipe d'obtenir son premier ordinateur. Cette association a pour objet la mise en place du Pavillon de France dans le cadre de la zone internationale d'Auroville ainsi que le développement de ses activités. Cette initiative est placée sous le patronage du Ministère des Affaires Étrangères. Président : Gilles Lachaud, directeur de recherches au C.N.R.S. »

Au milieu de l'an 17, ce texte n'est plus publié.

Par contre, il y a un équivalent sur le site (officiel) d'Auroville, à la page suivante : https://www.auroville.org/contents/423
Voici le texte en anglais, et la traduction en français est après.
« [Titre :] Association for the French Pavilion in Auroville
The French Pavilion team thanks the Vitalis association in France which enabled them to obtain their first computer for the work. The aim of the association is to create the French Pavilion in the International Zone of Auroville and to help develop its activities. Initiative of this is placed under the umbrella of the Ministry of External Affairs.
Vitalis' president is Mr. Gilles Lachaud, director of research at C.N.R.S. (National Centre for Scientific Research), France.
For additional information, please contact :
In Auroville :
Pavillon de France, Multimedia Center, Town Hall 605 101 Auroville, Tamil Nadu, Inde.
Ph [Phone] : [...]
E-mail : [...]
In France:
Gilles Lachaud, 22, rue de la Loge, 13002 Marseille
Ph. [Phone] : [...]
E-mail : lachaud [suivi par : @, suivi par :] iml.univ-mrs3.fr » (Fin de citation.)

Traduction.
« Association pour le Pavillon français à Auroville.
L'équipe du Pavillon français remercie l'association Vitalis en France qui lui a permis d'obtenir son premier ordinateur pour le travail. Le but de l'association est de créer le Pavillon français dans la Zone internationale d'Auroville et de contribuer au développement de ses activités. Cette initiative est placée sous l'égide du Ministère [français] des Affaires extérieures.
Le président de Vitalis est M. Gilles Lachaud, directeur de recherche au C.N.R.S. (Centre National pour la Recherche Scientifique), France.
Pour plus d'informations, veuillez contacter :
Dans Auroville :
Pavillon de France, Multimedia Center, Town Hall 605 101 Auroville, Tamil Nadu, Inde.
Téléphone : [...]
Courriel : [...]
En France :
Gilles Lachaud, 22, rue de la Loge, 13002 Marseille
Téléhone : [...]
Courriel : lachaud [suivi par : @, suivi par :] iml.univ-mrs.fr » (Fin de citation.)

Même dans le cas où l'ordinateur donné était neuf, fallait-il vraiment qu'une association existe et soit soutenue par le ministère indiqué pour qu'un tel don puisse exister !?
L'association n'a pas pour « objet » ce qui est indiqué. Le don de l'ordinateur fut donc un abus.
Le ministère agit forcément dans le cadre de l'Unesco, c'est-à-dire en omettant l'essentiel d'Auroville. Voilà ce que vaut son soutien !

Le « Président » de l'association est dit être « directeur de recherches» dans un organisme étatique français nommé Centre national de la recherche scientifique. On ne sait pas s'il l'est encore (ni même s'il vit encore.) Il était noté par ses supérieurs hiérarchiques, devait publier des travaux périodiquement, etc. Est-ce qu'il remit sa vie à la Mère ? Est-ce que sa situation professionnelle résulta de cela ? Est-ce qu'il comprenait ou comprend ce qui vient d'être écrit ?
Dans l'adresse de courriel de ce « Président » de l'association, la partie qui est après le signe arobase est ceci : iml.univ-mrs.fr . Les trois premières lettres désigne l'Institut de mathématiques de Luminy. La suite (sauf fr qui correspond à la France) désigne l'université de Marseille, ville du sud de la France métropolitaine. Autrement dit, c'est une adresse professionnelle. Est-ce que ce fut en tant que tel « directeur » que cet individu s'activa dans l'association ? Il y a l'Unesco et, dans son cadre, le C.N.R.S. comme tout autre élément de l'État-pouvoir public, peut soutenir Auroville.

 

 CHAPITRE 29
POSITION DE LASSOCIATION
AUROVILLE INTERNATIONAL FRANCE

Sur le site internet du groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie, l'association nommée Auroville International France (qui se dit souvent Auroville France) et l'Association du Pavillon de France à Auroville sont dites partenaires. (Comme déjà dit, pour cette dernière il y a plus qu'un partenariat puisqu'il y a une imbrication partielle.)
La même situation apparait sur le site de l'association A. I. F.
Celle-ci fait donc plus qu'approuver les groupes indiqués car elle contribue à l'existence de leur idéologie et de leurs créations.

 

 CONCLUSION

L'action de l'Association du Pavillon de France à Auroville est vide à propos de ce pays, et vide à propos de l'essentiel de cette ville.

Est-ce qu'elle relève, même très petitement, de la manifestation supramentale ?
On y perçoit de l'incompréhension à propos de cela et on n'y perçoit aucun effet d'une conscience plus développée que ce qui est constatable ordinairement. Au mieux, on y perçoit des actions ordinaires qui résultent d'une motivation ordinaire. On y perçoit aussi des actions et des motivations pour lesquelles le mot honorables ne convient pas. Il y a globalement de l'activité laborieuse, agitée, calculatrice, pour tenter de créer par soi-même un Pavillon.
Ça ne peut pas correspondre à de la manifestation graduelle du (véritable) Pavillon de la France ! L'origine de celui-ci ne peut pas être là ! En tant qu'affluent de quelque chose d'autre, celui-ci qui accepte cela est aussi forcément mauvais.
Si les membres de cette association et leurs partisans pensent vraiment que leurs actions pourraient mener à la création du véritable Pavillon prévu par la Mère pour la France, c'est qu'ils vivent beaucoup dans de l'illusion.
Leurs éventuelles constructions dans Auroville finiront par être détruites.

Lorsque le moment du début de manifestation du Pavillon de la France arrivera, et aussi après, on y reconnaitra l'action de la Mère, on reconnaitra qu'elle est à l'origine du Pavillon.

Il y a une parole de la Mère qui ne concerne pas l'activité de l'Association du Pavillon de France à Auroville ni le groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie avec lequel elle est en relation et qui lui est partiellement imbriqué. C'est la suivante : « N'essayez pas d'organiser, n'essayez pas d'organiser, vous allez fossiliser l'affaire avant qu'elle ne soit commencée. » (L'Agenda de Mère, tome 8, p. 375, 25 octobre 67.) Cette parole fut émise à propos d'Auroville qui en était au tout début de son existence et dont la cérémonie de fondation n'avait même pas encore existé. Il y avait donc quelque chose qui était vraiment en train de commencer à se manifester, en train de commencer à être manifesté, et l'enjeu était de se rendre réceptif, de se faire instrument, pas de vouloir attraper par ses conceptions limitées et par d'autres choses car ça réduirait, déformerait, durcirait, fossiliserait. Concernant un véritable Pavillon de la France, il n'y a encore rien dans Auroville en train de commencer à se manifester. Aucune volonté d'organiser trop vite ne peut donc mener à une fossilisation car il n'y a rien qui pourrait se retrouver ainsi. Il n'y a que de l'agitation mentale soutenue par les appétits du vital et les conséquences de cela.
Par contre, il y a un écrit de Sri Aurobindo qui concerne l'association et le groupe partiellement imbriqués et c'est l'aphorisme n° 318 dont le début est ceci. « Les hommes voient les évènements comme quelque chose d'inaccompli et qu'il faut chercher à atteindre, qu'il faut réaliser. C'est une fausse manière de voir. Les évènements ne se réalisent pas : ils se révèlent. »

Les actions de l'Association du Pavillon de France à Auroville et du groupe d'Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie font qu'ils montrent de plus en plus ce qu'ils sont et ce que valent leurs constructions. Plus ils s'expriment, mieux ça vaut car de plus en plus de personnes peuvent finir par comprendre. Eux-mêmes finiront-ils par le comprendre ? Si oui, ils auront alors l'occasion de reconnaitre l'indication donnée par leur psychique et pourront décider de la suivre. S'ils préfèrent la repousser, c'est-à-dire s'obstiner dans leurs erreurs, notamment par orgueil, se mettre consciemment au service du mensonge, des ténèbres en général, tant pis  pour eux !

Hors d'Auroville ou dans celle-ci, des personnes qui le comprennent déjà peuvent exprimer leur position, se démarquer, rejeter, s'opposer, combattre, notamment si, avant, elles approuvaient ces groupes ou l'association Auroville International France ou en faisaient partie. S'exprimer à ses proches qui connaissaient la position antérieure, ou sur un site internet ou blog, etc.

Pour lire un article concernant ce qui, dans Auroville, est soutenu par l'Association Pavillon de France à Auroville, cliquer ici.
Pour lire un article concernant ce qui est considéré comme les conditions à l'existence de véritables Pavillons de pays dans la véritable Zone internationale d'Auroville, après celui de l'Inde, cliquer ici.

 

CHAPITRE AJOUTÉ
LE 14 OCTOBRE 23

 I – EN 2018*, POUR LADITE « ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE », CHANGEMENT D’ADRESSE ET SA NATURE DÉCLARÉE

Dans le Journal officiel de la République française, Associations et fondations d’entreprise, n° 28 du 14 juillet 2018*, une annonce n° 366 de modification est ceci.


« Déclaration à la préfecture d’Eure-et-Loir. ASSOCIATION DU PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE (ASSO.PAVILLON DE FRANCE AV). Siège social : 22 rue de la Loge, 13002 Marseille. Transféré, nouvelle adresse : 7, rue des Tilleuls, 28120 Marchéville. Date de la déclaration : 10 juillet 2018. » (F.d.c.)

À « Domaines d’activité », il y a « associations caritatives, humanitaires, aide au développement, développement du bénévolat ».
Voilà comment se classe l’association et comment elle classe ce qui, dans Auroville, est nommé « Pavillon de France » qui, comme dit avant, est quelque chose qui est mauvais.

II – EN 2022*, POUR LADITE « ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS » DU C.É.S.A., CHANGEMENT D’ADRESSE ET SA NATURE DÉCLARÉE

Dans le J.O.R.F. du 16 aout 2022*, à l’annonce 1294, il y a ceci.

« Déclaration à la préfecture du Var. ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE SUZANNE VITALIS DU CENTRE D'ÉTUDES SRI AUROBINDO. Siège social : 22, rue de la Loge, 13002 Marseille. Transféré ; nouvelle adresse : 6, impasse Jeanne, 83000 Toulon. Date de la déclaration : 3 août 2022. » (F.d.c.)
Dans le JOAFE, à « Domaines d’activité » il y a « clubs de loisirs, relations ».
Voilà comment se classe l’association. Il y a la confirmation que l’association ne correspond plus à la volonté de sa fondatrice Suzanne Vitalis.
Il semble aussi que, vu le nom d’association qui est conservé, ses dirigeants puissent encore utiliser l’argent de la Fondation Suzanne Vitalis.

Article publié le 23 mars 18 et très petitement modifié le 14 octobre 23, les modifications étant indiquées.

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