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Antiténèbres
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  • Histoire des relations entre l'Unesco, Auroville, et la Sri Aurobindo Society (S.A.S.). Histoire de base de plusieurs associations françaises relatives à cette ville et à Sri Aurobindo, la Mère, etc. Autres faits en France, et d'autres choses.
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Partie 11. Associations. (39 pages environ.)

Pour lire ce qui précède, cliquer ici. Texte écrit avec la nouvelle graphie de la langue française. Par ailleurs, il y a probablement des fautes de français : tant pis !

 

 CHAPITRE 89
EN 2007*, MORT DE SATPREM PUIS DE SUJATA

Le mot mort est employé car il correspond au fait visible dont chacun a la conception qu’il veut.
Mort de Satprem : le 9 avril 2007*.
Mort de Sujata : le 4 mai suivant.
Ce ne fut pas largement connu immédiatement. La cause est indiquée plus loin.

 

CHAPITRE 90

EN 2007*, FACE À LA MORT DE SATPREM
(ET À CELLE DE SUJATA), COMPORTEMENT MAUVAIS
DE L’INSTITUT DE RECHERCHES ÉVOLUTIVES

Face à la mort de Satprem (et à celle de Sujata), le comportement mauvais qu’eut l’Institut de recherches évolutives est présenté ci-après en reproduisant un passage du texte déjà présenté plus haut qui avait été publié sur le site Ohoettilto qui est désormais interdit, celui de novembre 11 concernant le conflit entre Luc Venet et Satprem. C’était dans une annexe titrée Opposants à L.V., Bo, etc.
Cet extrait est tel qu’il faut d’abord présenter la situation de l’époque, et c’est fait en reproduisant d’autres passages de ce texte, notamment de son introduction.
Dans ce qui suit, tout ce qui était dans ce texte d’Ohoettilto est reproduit entre des guillemets français qui sont doublés et en employant la nouvelle graphie de la langue française.

« « Le Français Luc Venet fut notamment l’un des fondateurs, en 77, de l’Institut de recherches évolutives en France, chargé notamment de publier L’Agenda de Mère, et il fut le fondateur et le dirigeant du même Institut aux États-Unis. Il en fut expulsé et finit par préparer un texte qui, selon l’indication de sa fin, fut écrit entre novembre 06 et février 07. L.V. le publia sur internet après la mort de Satprem survenue le 9 avril 07, sur son site dont l’adresse commence par trois w suivis par un point, puis par « lesyeuxouverts.net » sans ces guillemets. » »

Ce site n’existe plus. Le texte en anglais fut publié dans le journal Collaboration, sous-titre : « Journal of the Integral Yoga of Sri Aurobindo and the Mother », numéro de « Summer 2008 », été 2008*, « Vol 33, No 1 », aux pages 9 à 21 avec le titre « End of illusions », La fin des illusions. Il est visible sur internet :
https://www.collaboration.org/journal/archives/Collaboration-Journal-Vol-33-No-1.pdf
Sur le site de Venet, le texte avait été publié en français et en anglais, et on ne sait pas si celui de Collaboration y correspond.

« « L.V. écrivit son texte en conséquence de la mort de Pa. » », Patrice Marot, assistant de Satprem, qui avait succédé à Michel Danino et Nicole Elfi qui avaient succédé à Luc Venet. « « Avant de le publier, il prit le temps de réfléchir encore ou, au moins, il hésita, ce qui est normal avant une telle action. Très peu de temps après arriva la mort de Satprem. Rien ne dit que le texte n’aurait pas été publié avant cette mort dont on pouvait penser qu’elle pouvait arriver seulement plusieurs années après. Cette mort mit un terme au délai. » »
« « Avant le décès de Satprem, L.V. fit lire son texte à Boni Menato » », Italien de l’Institut de recherches évolutives d’Italie, qui « « adressa à L.V. une lettre d’approbation » » datant du 1er avril. Cette lettre fut aussi publiée sur le site de Venet, ainsi qu’une autre du même individu et datant du 15 avril, et aussi celles d’autres personnes qui soutenaient.
« « Depuis peu après la publication des textes de L.V. et Bo. sur internet, quelques-uns de leurs opposants s’y exprimèrent. Il y eut plusieurs sites internet. Le principal était italien, celui qui, dans son nom, a « ariavuova.org » sans ces guillemets. (Sur sa page d’accueil, cliquer sur les mots « international section ». Sur la page suivante, cliquer sur l’image où est écrit « Journal ». Cliquer ensuite sur le mot « Satprem ».) C’est le seul site qui fut vraiment actif. C’est là qu’il y eut des éléments d’études du texte de L.V. et que des informations nouvelles furent apportées. » »

Des Français notamment s’exprimèrent sur ce site dirigé par Tommaso Iorco (To. Io.). Selon une annonce publiée sur celui-ci, il est fermé depuis le 31 décembre 2015*. Cependant, il est encore visitable.
Sur le site Ohoettilto désormais interdit, dans l’annexe titrée Opposants à L.V., Bo, etc., il y avait un bilan, avec des citations, sur les déclarations des opposants à Venet et Menato. Désormais, on peut lire cela sur le blog Ohoettilto-4, dans la fin du texte relatif au conflit entre, notamment, Venet et Satprem.

« « EXTENSION DES REPROCHES ADRESSÉS À L.V. ET BO. AUX DIVERS INSTITUTS DE RECHERCHES ÉVOLUTIVES
L.V. avait contribué à la fondation de l’Institut-éditeur en France. (L’avait-il dirigé momentanément ?) Il avait été le fondateur et le dirigeant de l’Institut-éditeur aux États-Unis, et Bo. avait été l’un des fondateurs de l’Institut-éditeur en Italie, en avait été l’un des dirigeants et l’était peut-être encore. Donc, en plus des lettres de L.V. et de Bo. en elles-mêmes, un autre sujet fut abordé, celui des dirigeants des Instituts de recherches évolutives.

Lorsque l’Italien To. Io. se retrouva face au texte de L.V., puis face à celui de Bo., il y répondit, dans son texte du 10 juillet 07, en attaquant aussi les dirigeants des organismes nommés Institut de recherches évolutives, sauf Satprem. Comparant aux dirigeants ashramites de Pondichéry qui avaient voulu créer « une Église », c’est-à-dire une nouvelle religion, To. Io. accusa les membres de l’Institut (autres que Satprem) d’avoir fait « la tentative de piéger une vérité à l’intérieur des quatre murs d’une église et de l’enterrer entre les pages d’un livre considéré comme sacré », de s’être transformés en « un curieux groupe de détenteurs dogmatiques de la "Vérité" (certaines avec naïveté inquiétante, d’autres avec arrogance éhontée et pernicieuse) ». « Pensant eux-mêmes être équipés de la Parole, ils ont rendu des arrêts et pontifié, en essayant de toutes les façons possibles d’attirer l’attention de Satprem, attendre les honneurs et la reconnaissance, et peut-être même une situation privilégiée à côté de lui, […] fidèles "chevaliers de la Mère", sur une certaine petite île isolée », en étant les « aspirants successeurs » de Satprem. To. Io. accuse les dirigeants italiens d’avoir combattu ceux qui avaient l’« audace de menacer leur réputation ou leur position en tant que délégués de la Vérité ». Il dit que Bo. considérait l’Agenda comme devant être « le seul matériel de lecture ». To. Io. dit que l’Institut entre leurs mains deviendrait « la énième intransigeante, arrogante, terrible église, avec ses papes, des évêques et des garçons d’autel, tous très impatients de catéchiser le Nouveau Monde par le biais de » moyens très vigoureux. To. Io. dit que Satprem sentit « le danger du sectarisme au sein de l’organisation » et il semble dire que c’est pour ça qu’il expulsa L.V. To. Io. dit que, le 22 octobre 99, il écrivit à Satprem (dont il dit qu’il ne le mit jamais « sur un piédestal ») pour lui exprimer son « aversion pour les fanatiques », pour dénoncer l’attitude arrogante et dogmatique des représentants de l’Institut de recherches évolutives qu’ils avaient commencé à montrer depuis les années 80, indiquant que l’Institut d’Italie (précisément Bo. Me. et Dav. Mo.) « se distingue par son arrogance, l’impolitesse et l’intolérance ». La lettre de réponse de Satprem date du 22 novembre 99 : « […] il fallait se servir des instruments qui pouvaient ou voulaient servir ce prodigieux Message. Malheureusement, dans cette complexité humaine, les instruments suivent un temps, puis le petit ego humain se gonfle et se détruit lui-même. […] ».
Un autre texte en italien fut publié sur internet le 10 juillet 07 aussi, et en connaissant le précédent texte de To. Io., par Marilde Longeri, qui y dit être un « témoin direct » de la création de l’Institut en Italie vers 77 à Milan. Elle dit que, pour Bo., Satprem avait « les caractéristiques d’un Dieu », que Bo. montrait peu d’intérêt pour Sri Aurobindo, qu’il cherchait à imiter Satprem jusqu’à prendre des « airs identiques » (et plus semble-t-il). Bo. se « sentit appelé à devenir le champion incontesté de Satprem en Italie, en proclamant les dogmes » à gauche à droite. « Combien ont été excommuniés… toujours au nom de Satprem ? » Les blâmes affluaient, les lettres de menace. Une femme fut mise sur « la liste noire » car elle avait osé appeler la Mère un grand gourou.

EXTENSION DES REPROCHES À L’ANNONCE DES MORTS DE SATPREM ET SUJATA PAR LES INSTITUTS DE RECHERCHES ÉVOLUTIVES

À l’affaire des textes de L.V. et Bo. se mêla autre chose, car Satprem mourut le 9 avril 07 et Sujata le 4 mai suivant. (Ici, on emploie les mots de la famille de mourir car ils correspondent au fait visible dont chacun a la conception qu’il veut.)
Après la première mort, on aurait pu comprendre que la personne responsable qui fut informée en premier décidât de laisser passer plusieurs jours sans rien dire. Or, cette personne n’annonça rien publiquement.
L’information fut cependant émise, on ne sait comment. Dans une lettre de l’Italienne Maria Teresa Lanza qui put avoir été placée sur internet le 19 avril 08 ou peu après, il y a la liste de plusieurs sites internet qui donnèrent l’information entre le 12 et le 16 avril 07, et le journal français Ouest France du 17 avril 07 est dit l’avoir donnée. (Ce journal est largement diffusé sur le territoire le plus à l’ouest de la France métropolitaine, région d’où était originaire Satprem et où vivent des membres de sa famille, dont l’un put donner l’information au journal.) Bo. écrivit sa lettre du 15 avril 07 en connaissant la première mort.
Mais, en France, beaucoup de personnes ne lisent pas ce journal ou ne consultent pas ces sites internet. Pour des individus ne parlant pas le français, c’est encore plus tard que l’information fut connue. (Dans le texte venant d’être indiqué de Ma. Te. La., celle-ci dit que, au 14 février 08, l’Institut-éditeur italien n’avait pas encore annoncé les morts.)
C’est surtout par la transmission orale de proche en proche que les morts furent connues successivement ou en même temps.

Il y eut donc une rumeur.
Des demandes de confirmation et d’information furent adressées à l’Institut français dont la dirigeante ou une des dirigeantes apparentes étaient forcément en relation avec Satprem puisque l’Institut éditait les Carnets de Satprem.

C’est seulement en octobre 07 que les deux morts furent annoncées sur le site internet de l’Institut-éditeur. Voici le début du texte.
« Chers Amis,
C’est une lettre bien difficile et bouleversante à vous écrire que celle-ci.
Étant donné la très grande discrétion sur leurs personnes observée depuis tant d’années par Satprem et Sujata, nous avons eu le sentiment profond qu’ils n’auraient pas souhaité une lettre en forme de faire-part à leurs lecteurs, et c’est à ce titre que nous avons attendu de pouvoir vous annoncer la parution du tome 7 des Carnets d’une Apocalypse, pour apprendre, à ceux d’entre vous qui n’en ont pas eu connaissance d’une façon ou d’une autre, le départ de Satprem le 9 avril dernier, et celui de Sujata quelques semaines après.
Le matin du 9 avril 2007, les fonctions de ce corps, lieu d’une bataille dont ses "Carnets" témoignent, ont cessé – Satprem est parti silencieusement, sans rien dire, nous laissant chacun devant la question de ce départ, mais aussi avec une certitude. En effet, plusieurs fois au cours de ces dernières années, il avait dit : "C’est fait". Cependant il continuait et continuait toujours plus loin ce travail de Sri Aurobindo et Mère, avec cet amour si absolu et si doux pour eux et ses "frères humains", comme il disait. Sujata, si courageuse, travailleuse, souriante et légère, était souffrante depuis quelques mois et extrêmement fatiguée ; elle a rejoint Satprem tout aussi silencieusement que lui, dans l’après-midi du 4 mai.
Ainsi aurions-nous peine à trouver les mots pour traduire l’émotion qu’il y a à vous informer de la parution de ce tome 7 […]. D’autres volumes suivront. […] »

Six mois après le décès de Satprem, l’auteur est donc bouleversé, encore bouleversé. Est-ce que c’est la mort en elle-même qui bouleverse autant ? Est-ce qu’il y a un manque de maturité ?
En quoi cette mort en elle-même fait laisser devant une « question », « la question » ? Est-ce qu’on s’imaginait que Satprem allait vivre éternellement !? Ou est-ce qu’il y a une cause secrète qui fait s’interroger !?
Quoi qu’il en soit, on apprend d’abord que Satprem et Sujata ne dirent rien de particulier sur la manière d’annoncer leur mort car, sinon, ça aurait été rapporté.
La manière simple, saine, de penser aurait consisté à se dire que, puisqu’ils ne dirent rien, c’est parce qu’ils admettaient qu’il se passerait ce qui se passe ordinairement, c’est-à-dire qu’on annoncerait leur mort, et publiquement. Pour un personnage connu comme Satprem, on peut rédiger un court texte, du genre communiqué, dans lequel on écrit ce qui est à dire et on le diffuse dans des agences de presse, etc. (et savoir si l’information est reprise est un autre problème), et s’il y a un site internet, on l’y met. Mais il n’y eut pas d’annonce générale car, énigmatiquement, un problème surgit.
Il semble que la personne responsable proche de Satprem ne pensa pas une seconde qu’elle aurait pu agir en tant que telle.
Elle ne se concevait qu’en tant que dirigeante de l’Institut, tellement elle s’était identifiée à cette fonction ! Elle ne prit pas position par rapport à son psychique mais réfléchit d’après sa conception d’elle-même, dans sa conception.
Elle ne pensa donc à s’adresser qu’aux « lecteurs » des livres de Satprem, et même seulement à ceux qui lisent le site internet de l’Institut-éditeur et peut-être aussi à ceux qui reçoivent de temps en temps une publicité pour les nouvelles parutions, appelés « Amis » de l’Institut.
Elle pensa donc aussi qu’il fallait « une lettre » de cet Institut, adressée aux seules personnes envisagées.
Et elle continua de se comporter comme lorsque Satprem et Sujata étaient vivants et voulaient une « très grande discrétion », selon ce qui est indiqué.
Le résultat fut un « sentiment profond », qui fit garder le silence pendant six mois. Est-ce que ça désigne une indication venant du psychique ? Non, car il est dit que ça concernait une idée, l’idée de ce qu’« ils » auraient souhaité ou non. Ce qui est appelé « sentiment profond » est seulement une idée, qui est une supposition (surement erronée puisque Satprem n’avait pas dit que sa mort devait être traitée de manière anormale), idée qui est accompagnée d’éléments secondaires : vague impression ou autres. C’est ça qui est le « titre » en fonction duquel il y eut l’action.
L’idée concernait la manière d’annoncer la mort de Satprem (puisque le problème fut posé d’abord à propos de lui, mais la situation concernait aussi Sujata).
La personne dirigeant l’Institut-éditeur ayant donc pensé, en tant que dirigeante, qu’il ne fallait pas « une lettre en forme de faire-part », elle décida d’attendre le moment d’avoir de nouvelles parutions à annoncer pour indiquer aussi les deux décès.
Ayant décidé de ne pas agir simplement, ordinairement, sainement, dans la lumière, ayant décidé arbitrairement qu’« une lettre en forme de faire-part » n’aurait pas été souhaitée par Satprem et Sujata, il fut décidé d’attendre un prétexte pour placer, incidemment, l’annonce.
Et celle-ci n’est adressée qu’à « ceux d’entre vous qui n’en ont pas eu connaissance d’une façon ou d’une autre » (connaissance des décès). Ce qui est appelé « connaissance d’une façon ou d’une autre » est la rumeur. D’abord, les individus qui furent atteints par elle ne furent pas visés par la lettre d’octobre, et la rumeur est donc entièrement approuvée en tant que mode de connaissance alors que, même lorsque, au départ, il y a quelque chose de vrai, elle a des affinités avec l’ignorance, l’obscurité, la déformation, le mensonge. La rumeur est donc admise par l’Institut comme ayant été le principal moyen d’information. Ensuite, l’annonce de cet organisme vient en complément de la rumeur, et celle-ci est donc valorisée aussi à cause de ça.
Du côté de l’Institut, et de son personnel, personne n’annonça donc, de manière générale, les décès. Il n’y eut que le résultat d’une pensée tortueuse, ténébreuse.
Quel fut le contenu de l’annonce ? Il y a les deux morts, les deux dates, et, pour Satprem : « les fonctions de ce corps […] ont cessé » et « silencieusement », et, pour Sujata : « était souffrante depuis quelques mois et extrêmement fatiguée » et « silencieusement ».
Rien de plus précis (heure et cause officielle de chaque mort, …), et rien sur le sort des corps (enterrement probablement mais il aurait fallu le préciser), la date de chaque inhumation probable (sans même parler du lieu dont on peut comprendre qu’on pût attendre un peu de temps avant de l’annoncer). Dire « les fonctions de ce corps […] ont cessé » n’est même pas incompatible avec un suicide, par exemple par pendaison. Or, vu le karma suicidaire contre lequel Satprem avait lutté, il aurait fallu annoncer très précisément les circonstances de la mort. Mais l’obscurité était là.
Des opposants dénoncèrent le retard et la manière incidente d’annoncer les deux décès. On n’a pas cherché si d’autres éléments reprochables furent aussi dénoncés.
C’est depuis l’Inde semble-t-il qu’un récit fut diffusé sur internet mais il n’a pas à être admis comme vrai. Il faudrait d’abord qu’on voit qu’il y a une volonté de lumière, que la lumière est apportée. Alors, ce qui sera dit, montré, par la lumière pourra être admis.
Par ailleurs, en disant « continuait toujours plus loin ce travail de Sri Aurobindo et Mère », Satprem est-il présenté comme avatar lui aussi ?

L’idée que quelque chose d’anormal s’était passé circulait pourtant déjà, notamment à cause de la rumeur selon laquelle Satprem aurait été enterré quelques heures après sa mort et la nuit, et la rétention anormale d’informations favorisa son développement.
Des lettres furent adressées à Françoise Joos, qui était la dirigeante de l’Institut-éditeur français, et publiées sur le site internet italien. Dedans, on parla de « mystère », d’un « absurde et fâcheux secret », d’un « silence incompréhensible », d’un « outrage », etc. On dénonça « les Ombres qui flottent autour de cette pénible histoire ». « Lui », Satprem, « qui détestait toutes les églises, les hypocrisies, les demi-vérités, maintenant il est serré dans une prison humaine d’oubli confectionnée sur mesure par ses collaborateurs les plus fidèles. » (Ma. Lo., 12 janvier 08.) On dénonça le comportement d’une « secte », l’aspect « scabreux et malsain », etc. « Quel sens peut-on donner au fait de garder pour vous seule ces informations ? » (Ya. 12 janvier 08.)
Un texte de mai 09 contient la traduction d’un article publié dans un journal indien semble-t-il, à propos de la fin de la vie de Satprem et de celle de Sujata, avec les deux dates de décès et quelques précisions sur les derniers moments, les seules semble-t-il à avoir été diffusées. L’auteur de la lettre, Anurag Banerjee, met en doute ce qui est indiqué : « il y a quelque chose d’étrange dans cette description » et « Il y a quelque chose qui ne tient pas debout ».

La femme qui dirigeait l’Institut, et qui s’était identifiée à sa fonction, tenta de justifier sa position en avançant des arguments montrant qu’elle réfléchissait et agissait d’après une conception, celle d’elle-même en tant que dirigeante de l’Institut-éditeur.
Il y eut l’argument d’une distinction entre vie privée et vie mise en public pour tenter de justifier l’absence d’annonce. C’est un dévoiement de ce qui est appelé vie privée et du but de protection.
Il y eut l’idée que le but de l’Institut-éditeur était de « publier et diffuser l’Agenda de Mère et d’autres livres comme ses Carnets » (rapporté dans le texte de To. Io. du 12 juillet 08), et les enregistrements sonores ou autres allant avec, etc., mais qu’il n’y avait pas celui d’annoncer les morts de Satprem et Sujata. Comme si un éditeur ne pouvait pas annoncer la mort des auteurs qu’il publie ! Comme si son Institut n’avait jamais agi en dehors de ce but ! (Pour savoir si c’était vraiment en dehors du but ou des buts véritables, il faudrait connaitre exactement ce qui est indiqué dans le Statut de cet organisme. Alors seulement, et notamment d’après l’examen de toutes ses publications, on pourrait savoir si l’Institut fut parfois utilisé abusivement.)
La dirigeante annonça que Satprem n’était pas à la tête d’un ashram, et qu’elle-même ne faisait donc pas partie de celui-ci qui n’existait pas, et qu’elle ne pouvait donc pas informer davantage sur les deux morts. Est-ce que c’est seulement lorsqu’un individu est à la tête d’un ashram que ses proches annoncent sa mort ?
En imaginant que la personne responsable la plus proche de Satprem ait cru bien faire depuis le début lors de la rétention d’informations, le résultat de ses pensées et de son action ne relève pas du bien.
Retenir des informations fut-il un moyen employé par des individus pour se donner de l’importance, pour jouer aux détenteurs de la vérité (en s’entourant de mensonges), pour avoir des gens centrés sur soi, ne serait-ce que lorsqu’ils demandaient ces informations ?
L’idée d’un comportement anormal dû à la rétention d’informations fut donc amplifiée par le contenu des réponses d’évacuation obtenues plus tard.

EXTENSION DES REPROCHES À LA PUBLICATION DES AUTRES TOMES DES CARNETS D’UNE APOCALYPSE

Cette idée d’un comportement anormal fit apparaitre une méfiance concernant l’édition des tomes suivants de Carnets d’une […] : seraient-ils fidèles aux manuscrits !? Les dirigeants actuels ne supprimeraient-il pas les passages les concernant et qui leur déplaisaient ? À propos de cette affaire, on parla notamment de « langue de bois », de « rendre tabou des questions légitimes » et « Serions-nous face à un nouvel obscurantisme ? » (Fa. et Al., 15 janvier 08.)

EXTENSION DES REPROCHES AUX RESPONSABLES DE L’INSTITUT FRANÇAIS DE RECHERCHES ÉVOLUTIVES

Et la question fut posée de savoir qui étaient les dirigeants légitimes de l’Institut français de recherches évolutives. De cette affaire, voici seulement les citations suivantes. « Que penser de responsables qui invoquent Satprem en tant que président actuel de l’IRE [Institut de Recherches Évolutives] sur le plan subtil pour justifier leur refus d’éclaircissement ? » et « Quant à "l’infaillibilité", on voulait rappeler que Satprem s’était déjà totalement engagé en faveur de certaines personnes à qui il avait confié des responsabilités, avant d’être obligé de leur demander de partir. » (Fanny et Alex, 15 janvier 08.)

Et il y eut aussi la question de savoir si Bo. était encore l’un des dirigeants de l’Institut italien, cet organisme disant oui, alors que le français disait non.

Ce dernier problème se rapportait directement au texte de Bo. soutenant celui de L.V., alors que les problèmes d’informations concernant les deux décès, de publication de Carnets fidèles, et de savoir qui étaient les dirigeants légitimes ne l’étaient pas.
Dans ces affaires, ce qui était en relation directe était le comportement de dirigeants de l’Institut-éditeur, et ceux actuels du français furent donc désormais attaqués.

Le 12 juillet 08, To. Io. s’exprima à nouveau et voici quelques brefs passages de son texte (d’après la traduction automatique d’internet, parfois améliorée ci-après).
« Toujours, les Institutions cherchent, après le départ du fondateur, de profiter du pouvoir (petit ou grand qu’il soit) et de l’utiliser d’une façon plus ou moins déformée et arrogante. Cette fois, avec le départ de Satprem et de Sujata, est-il en train de se répéter la même histoire ? Et, dans ce cas, resterons-nous à regarder, tout impuissants ? »
« Madame Joos précise que Satprem et Sujata n’étaient pas à la tête d’un ashram, et puis traite Satprem comme un Gourou ou, pour la précision, comme un Pape, étant donné qu’ici est en cause une certaine infaillibilité ! […] c’est juste cette attitude de considérer Satprem comme un être Infaillible qui a été (et qui est encore, hélas) la cause de beaucoup d’absurdité dans son entourage. Oui, on le considérait infaillible et indiscutable, jusqu’au jour où il vous mettait devant votre propre crasse, et le lendemain il devenait tout de suite un être mesquin et presque asourique (Venet docet !). Vraiment, par cette lettre de Madame Joos il me semble que Satprem a été enterré une deuxième fois. »
« Il y a plus de vingt ans, j’apprenais, dans les pages du treizième tome de l’Agenda de Mère, toute la sordide histoire de l’inhumation du corps de Mère. […] C’était en 1973. Trente-quatre années après, le 9 avril 2007, Satprem lui-même a émis son dernier souffle. […] les faits semblent se répéter une fois de plus… Pourquoi ? D’après les informations que nous avons reçues, entre onze heures et minuit de ce même 9 avril, le corps de Satprem a été inhumé !!! Et, peu après, le corps de Sujata. Vite, vite ! »
« Il n’y a pas beaucoup de temps, Sujata m’écrivait un petit vœu de Bonne Fête (c’était mon anniversaire), avec des mots qui m’ont beaucoup frappé (il faut préciser que je lui avais envoyé une lettre dans laquelle je me plaignais des intermédiaires de l’IRE) : "[…]" Dans le langage cristallin et doux de Sujata, c’était une sorte de déclaration de faillite de son entourage, avec un besoin de dépasser tous les intermédiaires. Ces intermédiaires qui, aujourd’hui, ne donnent même pas les informations les plus élémentaires… Ils cachent, en se cachant derrière des citations. Pourquoi ? »
« Mais qu’est-ce qui s’est passé vraiment ? Généralement, dès que la pression supramentale devient massive, l’entourage est comme saisi par une étrange sensation de menace presque insupportable. Les seuls qui ne sont pas touchés, ou bien ils sont pleinement conscients et tout prêt à recevoir cette Énergie formidable, ou – le plus souvent – ils sont complètement inconscients. Très gentils et serviles, parfois, mais tout à fait inconscients. Peut-être que ces dernières années où Satprem était dans son corps, les gens un peu sensibles qui étaient auprès de lui ont quitté le lieu, sidérés par cette Force nouvelle, et seulement les plus insensibles, ou même les plus méchants… sont restés là. Toujours la même histoire qui se répète. »
« Et ces dix-sept tomes des Carnets d’une Apocalypse qui doivent encore sortir, dans quelles mains se trouvent-ils maintenant ? […] Vont-ils couper les choses qui ne sont pas trop flatteuses pour leur réputation de grands héritiers… de quoi ? »
« On ne comprend vraiment pas à quel point la maffia occulte transmigre d’une Institution à l’autre et comme tout est lié. »
« […] il y a des hommes […] qui s’assoient plus ou moins confortablement sur une soi-disant vérité, pour se donner de l’importance et pour être (et paraitre, surtout !) des grands dirigeants, des grands chefs, des grands héritiers… de la Pourriture mondiale. »

Dans une lettre de Gaia Ambrosini du 1er février 09, il y a notamment ceci. « Quand la soi-disante responsable de l’Institut de Recherches Évolutives, cette Françoise Joos, dit que Satprem a choisi les personnes qui travaillent dans l’Institut et que si quelqu’un met en discussion le travail qu’ils font, cela signifie qu’ils n’ont pas confiance en Satprem, il est bien évident que ceci est dit pour tenter de se défendre soi-même… Oui, parce que la conclusion logique […] est : si Satprem a choisi ces gens (Joos et Lemoulant, notamment), il doit avoir bien choisi ; et, ayant bien choisi, ces gens ne peuvent pas faire des erreurs ! Voilà. Le prochain pas sera de reconnaitre l’infaillibilité de ceux que Satprem aurait choisis. À ce moment-là, la nouvelle Église est toute prête à répandre son Mensonge sur tous les malheureux. On peut se consoler : cette fois-ci, au moins, on aura des papesses et non des papes. »    » »

Ici se termine le texte qui avait été publié sur le site Ohoettilto désormais interdit.

La lettre de Tommasso Iorco du 12 juillet 08 est titrée En pleine bataille. Elle reproduit notamment la lettre que lui avait adressée Françoise Joos, de l’I.R.É. Elle est visible sur le site arianuova.

 

 CHAPITRE 91

POUR L’ASSOCIATION
N° 2, SON 2me OBJET
(SI CELUI DE 89 EST LE MÊME QUE CELUI DE 95
CAR, SINON, CE SERAIT LE 3me)

19 JUIN 2010*, DES MEMBRES DIRIGEANTS

Président : Robert Aarsse, de nationalité néerlandaise. (Il est probable que le fait d’être de nationalité étrangère était devenu possible dans le cadre de ladite construction de l’Europe.)

Vice-Président : Yanne Dimay.
Secrétaire générale : « Ghislaine Aarsse Prins dit [dite] GAP », de nationalité française.
Trésorier : Jean Pietri.
Parmi les autres membres du Conseil d’Administration, il y avait Dominique Darr, et aussi Nadia Loury, pour la première fois semble-t-il.

19 JUIN 2010*, MODIFICATION DE L’OBJET

Une Assemblée générale extraordinaire modifia l’objet de l’association. Le nouvel article 2 est ceci.

« [Titre :] Buts [au pluriel] de l’association.
Cette association a pour but [au singulier] :
a) D’organiser des projets humanitaires, éducatifs, culturels et sociaux ayant un lien avec AUROVILLE.
b) De faire connaître AUROVILLE et de rechercher, réunir et mettre en œuvre tous les moyens nécessaires à sa réalisation (organisation de conférences, réunions, édition de documents...). » (F.d.c.)

Ce qui suit, placé entre des guillemets français qui sont doublés, était sur le site Ohoettilto désormais interdit, dans l’article titré : D’avril 15, autres informations concernant l’association A.I.F., où il est parlé notamment de Pierre Étévenon. La nouvelle graphie de la langue française est employée ci-après et le caractère gras du sous-titre n’est pas reproduit.
« « CONCERNANT LES BUTS DE L’ASSOCIATION A.I.F.
Sur le site internet d’A.I.F., en cliquant sur l’onglet « À propos », puis sur « Auroville France », on arrive sur une page où il y a plusieurs titres dont le suivant : « Statuts du 19 juin 2010 ».
On y lit que le premier but de l’association est « D’organiser des projets humanitaires, éducatifs, culturels et sociaux ayant un lien avec AUROVILLE ».
Ici, on ne sait pas si ce fut la nouveauté apportée par la modification « du 19 juin 2010 ».
Qu’est-ce qui est appelé « Auroville » ? Ce sont des aspects superficiels de celle-ci, avec de l’agitation mentale et ses conséquences à propos de ce qui est considéré comme devant y exister.
L’association A.I.F. est donc d’abord une association humanitaire. Elle fait penser que tout l’organisme nommé Auroville International est à ce niveau, ainsi qu’Auroville elle-même. Il y a un abaissement.
Le deuxième but indiqué est « De faire connaître Auroville et de rechercher, réunir et mettre en œuvre tous les moyens nécessaires à sa réalisation (organisation de conférences, réunions, éditions de documents...) ».
C’est l’agitation superficielle habituelle, où il manque l’essentiel, où il y a le vide à propos de ce qui est à vivre là où l’on est hors d’Auroville. » »

Dans le compte-rendu de l’Assemblée générale extraordinaire, la modification de l’objet fut expliquée par le passage complet suivant.
« Le Président [Robert Aarsse] explique qu’AIF est de fait une association d’intérêt Général [écrit avec cette seule majuscule]. Cependant après consultation d’un avocat il est apparu qu’Auroville International France doit remplir un dossier de "demande d’avis de délivrer des reçus fiscaux pour les organismes ayant capacité à recevoir des dons" auprès de l’administration fiscale afin de recevoir une reconnaissance officielle "Association d’intérêt général". Pour faire cette demande, il fallait changer la formulation de certains articles des statuts. Bien évidemment l’essence du but de l’association n’a pas été altérée. Il fallait notamment stipuler expressis verbis le soutien à des projets humanitaires, éducatifs, culturels et sociaux ayant un lien avec Auroville. Après consultation avec cet avocat, la formulation des buts de l’association et d’autres changements de moindre importance proposés par le Bureau ont été adoptés à l’unanimité. » (F.d.c.)
« expressis verbis » : locution latine employée par pédantisme juridique à la place de : expressément.
L’argent fut la cause du changement d’objet.

3 JUILLET 10, TRANSMISSION À LA PRÉFECTURE

5 JUILLET 10, ENREGISTREMENT À LA PRÉFECTURE
La date d’enregistrement correspond à celle de déclaration.


ABSENCE DE PUBLICATION AU J.O. ?
Le changement d’objet ne semble pas avoir été publié dans le J.O.R.F.

Sur internet, en écrivant entre guillemets « consulter les annonces du JO association », on arrive sur le site du Journal officiel relatif aux annonces d’associations. En écrivant « Auroville », on arrive sur plusieurs annonces mais il n’y en a pas concernant le changement de l’an numéroté 2010 par tyrannie chrétienne. Pourtant l’annonce de 2001* y est.
Quelle est l’explication ?

 

 CHAPITRE 92

POUR L’ASSOCIATION N° 2, L’ÉTÉ 12


RENFORCEMENT DU LIEN AVEC LE GROUPE D’AUROVILIENS NOMMÉ P. DE F. ET DE LA F.
Le 21 juin 12, chez Dominique Darr, 15 quai Louis Blériot, 75016 Paris, exista une assemblée générale ordinaire de l’association n° 2.

Concernant la composition du Conseil d’Administration, s’en retirèrent Dominique Darr, Robert Aarsse, « Gap » (dite avant : « Ghislaine Aarsse Prins dit [dite] GAP ») et Jean Laroquette.
Parmi les autres membres du Conseil d’Administration, il y eut notamment Jean Piétri qui y était déjà, et Claude Jouen y entra, en étant présenté comme « aurovilien ».
Ce dernier vit au moins souvent à Auroville et il est l’un des membres dirigeants du groupe d’Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie. Lors de la désignation des nouveaux membres du Conseil d’administration, il se présenta pour être élu et il le fut, à l’unanimité. Quel rôle a-t-il dans l’association ? En tout cas, le lien entre cette association et ce groupe d’Auroviliens fut renforcé puisqu’il y eut la pénétration de l’une par l’autre.

MEMBRES DIRIGEANTS PRINCIPAUX

Soit le 21 juin 12 soit un peu plus tard, les membres dirigeants principaux furent les suivants.

Présidente : Nadia Loury.
Secrétaire générale : Évelyne Guinouard.
Trésorier : Jean Pietri.
et Visha (ou Vibha) Gosselin, de nationalité indienne, à une fonction inconnue ici.

Sur le site internet d’A.I.F. à la suite dudit « Historique » reproduit au début du présent texte, il y a notamment ceci.
« Liste des anciens présidents
1989  Marie Noëlle Philippot
1990  Gilles Boulicot
1991  Richard Boyer
1994  Klara Siritsky
1996  Jean Laroquette
2003  Satyakam
2010  Robert Aarsse
Depuis l’AG de juin 2012, une nouvelle équipe
2012 : Election de Nadia Loury, Présidente, et constitution d’un nouveau conseil d’administration

Bureau depuis 2012
Présidente : Nadia Loury […]
Secrétaire : Evelyne Guinouard […]
Trésorier : Jean PIETRI […]

Autres membres du Conseil d’administration :
Gilberte Caron
Michael Dieter
Francine Fink
Yves Fisselier
Vibha Gosselin
Roland Katz
Mandakini Lucien-Brun
Françoise Muller
Danielle Rusterholz

De plus quelques membres actifs nous aident en fonction de leurs compétences. » (F.d.c.)

 

 CHAPITRE 93
POUR L’ASSOCIATION N° 2, SON 4me SIÈGE SOCIAL

Ce qui suit fut trouvé sur internet.
J.O.R.F., Associations, du 7 décembre 2013*, Paris/Modifications, annonce n° 1503, p. 5633.
« Déclaration à la préfecture de police. AUROVILLE INTERNATIONAL FRANCE. Siège social : 15, quai Louis Blériot, 75016 Paris. Transféré ; nouvelle adresse : 37, rue Beauregard, 75002 Paris. Date de la déclaration : 18 octobre 2013. » (F.d.c.)

 

 CHAPITRE 94

AUTRES INFORMATIONS SUR L’I.R.É.

Voici le texte d’une lettre qui fut adressée le 30 juillet 14 par le site Ohoettilto désormais interdit à madame Joos, dirigeante de l’Institut de recherches évolutives. Il fut publié peu après sur ce site, probablement le 3 aout qui est la date de la dernière « mise à jour », sous le titre suivant : Courriel adressé le 30 juillet 14 à l’I.R.É. à propos des Carnets d’une Apocalypse, de l’annonce du décès de Satprem, de problèmes de communication, ...
Ce texte est reproduit ci-après entre des guillemets français qui sont doublés et en employant la nouvelle graphie de la langue française.


« « 30/7/14
Madame Joos,
Le site internet Ohoettilto.free.fr soutient la demande que des individus puissent contrôler que les manuscrits des carnets de Satprem soient publiés fidèlement. Il y a aussi la demande d’une absence de fautes diverses de français alors qu’elles seraient nombreuses dans les derniers Carnets d’une Apocalypse.
Depuis très peu de temps après la mort de Satprem, ces demandes existent publiquement sur internet, sur le site italien Aria Nuova (arianuova.org). Elles sont répétées depuis peu sur le blog satpremforever.canalblog.com .
À l’occasion de l’annonce précédente, voici d’autres choses.
Après le décès de Satprem, aucune information ne fut d’abord donnée sur votre site internet, celui de l’Institut de recherches évolutives, et c’est six mois plus tard seulement qu’il y eut l’annonce. Celle-ci était très mal faite et, pour protester contre tout cela, il fut décidé de ne pas acheter les volumes suivants des Carnets pendant un moment. Le temps passa. Il était pensé que de nombreux volumes avaient été publiés mais, découverte récente : deux seulement l’avaient été !
Ça explique encore plus une autre demande faite par Aria Nuova, etc., qui concerne une publication plus rapide des Carnets.
Il n’y en eut que deux : tant mieux ! Car ça fait que, pour l’instant, il y a moins de Carnets suspectés d’être infidèles, déformés, (sans parler des fautes de français).
Si vous acceptiez les deux demandes indiquées plus haut, lors de la publication des futurs Carnets vous pourriez y ajouter au début l’annonce que tels individus reconnus par le site Aria Nuova intervinrent pour contrôler la fidélité et veiller à ce qu’il y ait le moins de fautes possible.

Je viens de consulter votre site internet. Concernant la publication des Carnets, vous ne donnez aucune explication. Vous n’expliquez pas pourquoi il n’y eut que deux volumes publiés en plusieurs années ni ce que vous prévoyez pour le futur.
(Est-ce que vous passez la plus grande partie de votre temps à lire des archives pour en détruire les lettres qui disent du mal de vous, ou au moins pour les cacher ?)
Vous avez un problème de communication. Un organisme existant officiellement comme l’est l’I.R.E., présent visiblement dans la vie, et qui n’est pas fait pour cultiver l’ignorance, etc., ne devrait pas l’avoir.
C’est ce problème de communication, consécutif à une mauvaise conception de ce que vous êtes et de ce qu’est l’I.R.E., qui vous fit décider d’attendre six mois avant d’annoncer la mort de Satprem, et de le faire d’une manière mauvaise. Cette affaire est présentée sur le site Ohoettilto depuis plusieurs années, dans la fin de l’article dont le titre est Contribution à l’affaire du conflit entre, notamment, Luc Venet et Boni Menato d’un côté, et Satprem et Sujata de l’autre, incluant un examen de la brochure de Satprem titrée Néanderthal Regarde.
C’est aussi à cause de ce problème de communication que, lorsque, dans Google, en juillet 14, on écrit les deux mots suivants : décès satprem, le site Ohoettilto apparait juste après Wikipédia alors que le vôtre apparait seulement en page 4 ou 3.
Lorsque l’on écrit les deux mots : mort satprem, le site Ohoettilto arrive dans les deux ou trois premières places selon les fois, toujours après Wikipédia, alors que votre site n’apparait qu’environ quinze places plus loin.(Et il n’apparait que parce que le mot mort est placé mais pas à propos de Satprem.)
Pourtant, dans ces deux cas, c’est votre site qui devrait être le premier après Wikipédia.
Surtout que les visiteurs du site Ohoettilto qui y arrivent après avoir écrit les mots mort satprem doivent être très déçus lorsqu’ils ne lisent pas complètement l’article sur le conflit Satprem/Venet car c’est dans sa fin seulement qu’il y a des informations originales à propos de la mort de Satprem. Elles ne concernent pas les derniers moments avant cette mort et ce qui exista dans les heures qui suivirent mais, comme indiqué plus haut, votre manière mauvaise d’annoncer cette mort sur votre site internet. Pour valoriser ce passage, il vient d’être publié exactement semblable dans un nouvel article. Si vous ne l’avez pas déjà lu, vous pouvez aller le lire : Menu Réflexions et cliquer sur Mort de Satprem et Sujata ou cliquer ici. Ce qui est dit de vous n’est donc pas du bien.
De nombreuses personnes en sont encore à chercher sur internet des renseignements concernant les derniers moments de Satprem et ce qui exista ensuite au moins jusqu’à l’enterrement. Elles font cela car il n’y eut pas un texte complet, précis, venant d’une source crédible, d’après les témoignages détaillés de la découverte de la mort, et de la suite. Au moins pour la France, c’est votre I.R.E. qui aurait dû faire cela. Ce n’est pas le cas, peut-être à cause de la mauvaise conception de ce que vous êtes et de ce qu’est l’I.R.E.

À propos du mal qui est dit de vous, vous pouvez aussi consulter un article récent du site Ohoettilto qui concerne le conflit de 03 entre, notamment, Satprem et Michel Danino. Il est parlé du comportement ignoble qui consiste à lire au téléphone des lettres de Satprem. Vous n’êtes pas à son origine mais vous l’avez continué.

Dans cet article sur le conflit de 03, il y a aussi ce que Satprem et Mi. Da. dirent de vous durant les années 02 et 03. En gros, votre I.R.E. n’était pas vigoureux et c’est pour le vivifier que Satprem pensa que Mi. Da. devait aller en France, en plus des très nombreux courriels que celui-ci vous avait déjà envoyés à ce sujet.
Or, vers cette époque vous étiez en train de vous activer sur autre chose. Vous passiez du temps à vouloir créer une revue, peut-être en transformant celle qui existait déjà, titrée Le Courrier de l’Institut de recherches évolutives. Selon le catalogue de la Bibliothèque nationale de France, elle eut seize numéros, le premier en 96, le dernier en novembre 01. (Micheline Ét. mourut en mai 01.) Ce fut probablement peu après ce dernier numéro du Courrier que vous indiquâtes votre projet dans une lettre circulaire annonçant vos publications. Une réunion à Paris fut prévue en voulant des assistants/participants qui soient très soumis et d’autres conditions. C’était grotesque, et tellement que l’annonce arriva, avec des moqueries, à des personnes qui n’en étaient pas destinataires. Vous étiez aussi en train de vouloir vous créer une chapelle. Et c’est là aussi qu’il y eut en plus une expression de votre problème de communication, car la suite de votre projet ne fut jamais indiquée. Vous manipuliez. Tout cela est écrit de mémoire mais, lorsque les lettres circulaires seront obtenues, un compte-rendu sera publié sur le site Ohoettilto.
En acceptant de devenir un personnage public dans le milieu des individus intéressés par Sri Aurobindo, la Mère, etc., vous vous êtes mise en avant, vous vous êtes mise en état de recevoir des compliments et des reproches.
Les compliments, en voici un : merci de vous occuper des publications.
Les reproches, il y a ceux indiqués ci-dessus. Il y a tous ceux qui apparaitront lorsque quelqu’un étudiera toutes vos publications et d’autres courriels. Si vous ne voulez pas continuer de donner des occasions d’en recevoir d’autres, vous pouvez changer votre comportement.
Vous pouvez aussi prendre des aides ou démissionner.
Dans quelques jours, la présente lettre sera publiée en un article du site Ohoettilto.free.fr .
Veuillez recevoir, madame Joss, mes salutations. » »

Ajout lors de la rédaction du présent texte :
L’I.R.É. refusa qu’une vérification de la fidélité des Carnets publiés aux manuscrits soit effectuée. Une suspicion d’infidélité fut ainsi jetée sur tous les Carnets suivants car il suffit d’enlever un mot par-ci par-là pour déformer des phrases, et on peut aussi enlever des passages. Ainsi peuvent notamment être supprimées au moins quelques preuves des poussées dans de mauvaises directions que Satprem et Sujata effectuaient sur leurs relations.
Combien de générations de dirigeants de l’I.R.É. faudra-t-il pour qu’il y ait l’autorisation donnée à plusieurs personnes non susceptibles de connivences de réaliser une comparaison, avec des conséquences, en espérant que des pages n’aient pas été arrachées et détruites ?
Ici, aucun nouveau Carnet ne fut lu depuis la mort de Satprem. Pour ce qui concerne le développement qui arriva en lui, il y eut des informations diffusées par Joshi. Est-ce quelles datent seulement davant cette mort ?

 

 CHAPITRE 95
POUR
L’ASSOCIATION N° 2,
AUTRES INFORMATIONS SUR L’UN DE SES DIRIGEANTS

Le 31 janvier 14 exista une Assemblée Générale Extraordinaire de ladite Association du Pavillon de France à Auroville et qui est partenaire du groupe d’Auroviliens nommé Pavillon de France et de la Francophonie, comme l’est l’association n° 2. Claude Jouen, dit domicilié à Paris, y fit aussi de l’entrisme car il devint membre du Bureau en tant que « Secrétaire ». Sur le présent blog Antiténèbres, voir le texte qui est notamment relatif à cette association.

À un moment, Yolande Lemoine décida de publier les lettres que Satprem lui avait envoyées. Elles semblent avoir été éditées à Auroville. La couverture est visible sur internet, chez un marchand d’objets qui ne l’a plus à vendre.
             
Le titre écrit en grand est : « Lettres à Yolande ». Dessous, tout ce qui est écrit est en bas et en petites lettres : « recueillie par Yolande Lemoine ». Il n’y a pas de première lettre majuscule comme si c’était la suite de « Lettres à Yolande ». Premièrement, c’est une présentation bizarre. Deuxièmement, il aurait fallu mettre une lettre s finale au mot « recueillie ». On peut dire que ce mot ne se rapporte pas à « Lettres » mais, en ce cas, à quoi se rapporte-il ? Si c’est à « Yolande », la signification serait « Yolande » « recueillie par Yolande Lemoine ». Ça ne peut pas être ça. Par ailleurs, l’auteur du livre est dit être « Satprem ». Il y a un livre de Lemoine qui est composé de Lettres reçues de Satprem, ... composé au moins principalement de cela car on ne sait pas s’il y a autre chose en plus de la page 4 de couverture.
Lemoine disait avoir été dépossédée de ses lettres manuscrites et son livre était diffusé en secret dans la secte des satprémistes et l’est peut-être encore. Elle en donnait à qui elle voulait mais seulement selon les petites quantités que lui transmettait Jouen. Le livre est introuvable. Il montre probablement la mauvaise influence de Satprem comme déjà révélé dans un article publié sur le blog Ohoettilto-4, titré : Deux satprémistes ne pratiquant rien et Satprem voulant guider mais guidant mal. L’un des deux satprémistes est Lemoine.

 

 CHAPITRE 96

AU DÉBUT DE NOVEMBRE 14,
UN CONSTAT SUR CE QU’EST L’ASSOCIATION N° 2

Le 9 novembre 14, sur le site Ohoettilto désormais interdit fut publié un article qui contenait un constat de ce qu’était l’association n° 2. Il est en grande partie reproduit ci-après, avec la nouvelle graphie, en plusieurs parties placées entre des guillemets français qui sont (c’est la seule fois) triplés, et entre lesquels sont quelques rares ajouts.

Titre de l’article : « « « APERÇUS DE CE QU’EST VRAIMENT L’ASSOCIATION NOMMÉE AUROVILLE INTERNATIONAL FRANCE

Des éléments mauvais sont inhérents à l’association Auroville International France, A.I.F., AIF, AVI France, et dite aussi Auroville France. Des incompréhensions produisirent cette association française et la font vivre. Il y a aussi notamment son soutien au groupe d’Auroviliens nommé Pavillon de France, à Aurovillage au Burkina Faso, et à des tyrannies religieuses en tout pays. C’est démontré dans le présent article.

Dans les sources d’informations qui sont employées, tout ce qui n’est pas relevé n’est pas forcément approuvé ici.

SOURCES PRINCIPALES DES INFORMATIONS
- Le site internet de l’association française dont le nom officiel est Auroville International France est utilisé. Dans son adresse, il y a 3w suivis par auroville-france.org sans point final. Il est titré Auroville France. Ce site est le nouveau et, à la date de publication du présent article, il y a encore dans son logo l’indication « Site internet en développement ! » (sur deux lignes). Si quelque chose de nouveau y apparaissait qui méritait d’être indiqué sur le site Ohoettilto, un nouvel article serait publié.

- Un petit film en deux parties est utilisé. La présidente d’A.I.F., Na. Lo., y parle en étant interrogée par quelqu’un qui n’est pas visible. Le film est sur internet, sur youtube. Pour trouver la première partie, écrire entre des guillemets, dans Google ou un équivalent : « dialogues en humanité 2014 (1ère partie) ». Elle dure 13 minutes et 8 secondes. Pour trouver la deuxième partie, remplacer la fin par : « (2ème partie) ». Elle dure 8 minutes et 18 secondes.

SIGNIFICATION DU NOM AUROVILLE INTERNATIONAL » » »

Le début du passage est utilisé plus haut.

« « « Il y a probablement des gens qui ne sont pas intéressés par Sri Aurobindo et la Mère mais qui se retrouvent par hasard face à ce nom, qui s’interrogent sur sa signification, qui ne la trouvent pas et qui finissent pas conclure qu’il manque de clarté, qu’il y a de l’obscurité.
Des personnes qui savent que c’est du mal qui le fit produire se désintéressent de cela ou observent de temps en temps son développement.
Même les dirigeants de l’association française nommée Auroville International France (A.I.F.) s’y embrouillent et en voici des exemples.
Autrefois, le nom Auroville s’écrivait souvent « AV » dans des textes, et le nom Auroville international s’écrivait ainsi : AVI.
Il en est encore ainsi sur le site internet d’A.I.F. (à l’automne 2014* au moins) et en voici un exemple. En cliquant sur l’onglet « À propos » puis sur « Auroville International », on arrive sur une page qui est titrée « À propos d’Auroville International ». Dans la première phrase du texte, il y a ceci : « "Auroville International " (AVI) est un réseau mondial créé en […]. »
Premier exemple d’embrouillement :
Onglet « Actualités », puis : « Evénements à venir », puis la partie « dans le monde ». Il est écrit ceci : « Du 20 au 23 août 2015 : Rencontre AVI International aux Etats Unis à Woodstock (Etat de New York) ». Autrement écrit, ça signifie : Rencontre Auroville International International aux États-Unis...
Deuxième exemple d’embrouillement :

Onglet « Actualités », puis « Archives d’événements », puis chercher le titre « La statue de Sri Aurobindo à l’UNESCO », puis cliquer sur le bouton bleu « Lire la suite ». Dans le texte il est écrit : « Nous avons remis aux [personnages] officiels des livres sur les AVI internationaux ». Autrement écrit, ça signifie : … des livres sur les Auroville International internationaux.
De quoi est-il parlé ? Imaginons que ce soit de groupes d’individus. La signification serait : ...les [groupes] Auroville International internationaux. Ce dernier mot, un adjectif masculin pluriel, se rapporterait au mot groupes. Mais, dans chaque pays, le groupe est national, pas international. Il n’y a donc pas de signification sensée. La seule explication est qu’il y a de l’embrouillement intellectuel dont la cause est que le nom Auroville International est en lui-même mal formé, en conséquence d’une mauvaise conception.
Troisième exemple d’embrouillement :
Dans la deuxième partie du film indiqué plus haut, vers 6 minutes et 50 secondes, la présidente d’A.I.F. dit ceci. « Voilà, ce sont les langues principales d’Auroville. Sinon, dans les Auroville internationaux, nous, en France, régulièrement on a des cafés, ce qu’on appelle café-Auroville, […]. »
C’est du même genre que l’exemple précédent.


ORIGINES DU NOM AUROVILLE INTERNATIONAL
Il était naturel que des individus vivant hors d’Auroville et intéressés par cette ville veuillent se regrouper et aider celle-ci de diverses manières. C’est ce qui exista par exemple lors de la création de l’association française qui fut nommée Association pour Auroville» » »

Un passage est placé plus haut.
« « « Par rapport à ce qui était naturel et qui vient d’être indiqué, une idée apparut, celle qu’il faudrait vivre à Auroville.
Des personnes qui vivaient hors de cette ville, qui s’intéressaient à elle et qui eurent l’idée venant d’être indiquée se mirent à se dire Auroviliens de cœur. (Certains se dirent même seulement Auroviliens.) Tous ces gens jouèrent avec cela, s’illusionnèrent.

Dans le même genre, il y eut l’idée de pouvoir se dire être quand même dans Auroville, dans une sorte d’extension de cette ville. Est-ce que l’illusion alla et va jusqu’à faire penser que ça a quelque chose de physique ? En tout cas, c’est mentalo-vital.
Pour ce qui se passe dans chaque pays concerné, venant de ce pays, chacune de ces associations n’est donc rien. » » »
La suite est utilisée plus haut.

Est-ce que nom « Aurovilien de cœur » existait déjà dans l’association n° 1 ?
Est-ce qu’il ne commença à être employé que dans l’association n° 2 ?
S’il fut créé en France, à quelle date et par qui ?
S’il fut créé à l’étranger, quelle est la date de son importation et par qui le fut-il ?

« « « DES MEMBRES D’A.I.F. JOUENT À ÊTRE AUROVILIENS ET À ÊTRE, EN FRANCE, DANS AUROVILLE
En cliquant sur l’onglet « À propos » puis sur « Auroville France », on arrive sur une page où il y a notamment les statuts de l’association. Le nom de celle-ci qui est indiqué en lettres capitales est : « Auroville International France ».

Mais le titre du site est seulement « Auroville France ».
C’est aussi ce nom qui, comme venant d’être indiqué, est écrit dans le menu déroulant qui apparait lorsque l’on clique sur l’onglet « À propos ». (Ce ne fut pas fait par manque de place car il était possible d’écrire : Auroville Int. France.
En plus, le titre de la page qui apparait par cet « Auroville France » du menu déroulant est « À propos d’Auroville France » alors qu’il y a largement la place d’écrire le nom en entier.
Est-ce que cette association finira par s’appeler : Auroville en France avec ce nom écrit partout ?
Elle utilise déjà le symbole d’Auroville, et dans la même position. (Si celle-ci avait été différente, ça n’aurait rien changé.) Il est placé dans l’en-tête permanente du site.
En cliquant sur l’onglet « À propos », trois premiers éléments du menu déroulant apparaissent, qui correspondent chacun à une page. Ils sont, dans l’ordre : « Auroville en Inde », « Auroville international » et « Auroville France ». Pourquoi, sur un tel site, avoir besoin de préciser qu’Auroville est en Inde ? C’est pour faire la distinction avec la prétendue sorte d’Auroville qui serait en France (« Auroville France »), l’illusion étant rendue possible par l’existence de ce qui est nommé « Auroville international ».
La mauvaise conception qui est derrière cela est encore plus exprimée lorsque l’on prend en compte les éléments de menu qui sont après. La série complète est ceci (où des accents sont ajoutés) : « Auroville en Inde », « Auroville international », « Auroville France », « Séjourner à Auroville », « Étudier à Auroville », « Devenir bénévole », « Devenir aurovilien » (sans majuscule à ce dernier mot), « Faire un don ».
La page qui correspond à « Devenir bénévole » concerne seulement Auroville (la seule vraie, qui est en Inde).
La page qui correspond à « Faire un don » est titrée « Adhérer et faire un don ». Dessous, à la date de publication du présent article, il y a seulement « Vous voulez soutenir » mais on peut quand même comprendre ceci. L’adhésion concerne forcément l’association A.I.F. Pareil pour « faire un don » car c’est à l’onglet « Contribuer » qu’il est parlé de l’argent à donner à Auroville.
Objectivement, il y a un mélange de ce qui concerne Auroville et de ce qui concerne l’association française. Il est une expression de la mauvaise conception.
En essayant de réfléchir du point de vue de la conception mauvaise, il semble qu’il y ait aussi un mélange mais les individus qui l’ont ne pensent peut-être pas cela.

ERREUR CONCERNANT LA DATE DE CRÉATION EN FRANCE DE QUELQUE CHOSE DONT LE NOM COMMENCE PAR AUROVILLE INTERNATIONAL » » »
Passage utilisé pour plus haut.


« « « ERREURS ET MENSONGES D’A.I.F. CONCERNANT L’HISTOIRE DE DEUX ASSOCIATIONS FRANÇAISES DONT ELLE-MÊME
En cliquant sur l’onglet « À propos » et en allant à « Auroville France », on lit notamment ceci, avec la même présentation y compris l’interligne avant « Printemps 89 », mais des retraits de première ligne de § sont ajoutés ci-après.

« Quelques dates :
[…]
1973 : Départ de la seconde caravane. L’Association changea d’endroit pour aller Bd de Sébastopol. Micheline Etévenon quitta l’Association pour prendre en charge « l’Institut des Recherches Evolutives ».
1982 : Interview de Satprem par David Montemurri "L’homme après l’homme"

Printemps 89 : l’association pour Auroville devient : Auroville International France (AIF). Étaient présents, [...].
Juin 90 : […].
[...] »

Il y a beaucoup de ressemblances avec ce qui est sur le site particulier au groupe Pavillon de France et qui est présenté sur le site Ohoetttilto dans un article qui commence par À bas le projet de Pavillon de France» » »   « « « Une copie est certaine à cause de l’allure générale du texte et aussi de l’article « des » qui est mis à la place de de dans le nom « l’Institut des Recherches Evolutives ».
Les différences sont les suivantes. Le temps de conjugaison de certains verbes n’est pas le même. C’est en 73 qu’aurait existé le départ d’Etévenon puisque c’est indiqué à la suite du départ de la première caravane et du déménagement, pas après un retour à la ligne. Ce nom Etévenon n’a pas une lettre h après le t et c’est correct. Avant « 1982 » il n’y a pas « Les premiers "Agenda de Mère" sont mis à l’abri dans la maison de campagne de Micheline ». Le premier mot « homme » n’a pas de première lettre majuscule. Après l’information sur le film et juste avant « 1989 », il n’y a pas « Satprem est à Paris, chez Carmen Baron » ni, aussitôt après à la ligne : « Déménagement de l’Association Boulevard de Sébastopol à Paris ». Il y a un interligne avant « Printemps 89 ».
Il est décidé ici de répéter certains passages du commentaire qui est dans l’article du site Ohoettilto qui commence par À bas le projet de Pavillon de France, en les adaptant pour le texte du site d’A.I. France. D’autres passages sont reproduits exactement semblables et sont placés entre des guillemets doubles ouvrant : ««, ou fermant : »». Le deuxième, qui est le plus long, concerne ce qui est considéré ici comme étant le plus important : l’histoire des deux associations qui existèrent et la volonté de cacher ce qui fit créer la deuxième.
(La date généralement annoncée pour le film est *81 pas *82. Carmen Baron était la femme du dernier gouverneur français de Pondichéry.)
Avant la date « 1982 », tout ce qui est indiqué est sans aucun retour à la ligne et concerne donc l’année 73. Il y a des erreurs. Le « Départ de la seconde caravane » se fit à partir du local de la rue de Rome et, sur le site du groupe Pavillon de France, onglet « Présentation », ligne « Des Français au début d’Auroville », la date indiquée de ce départ est le 10 octobre 74. L’I.R.E. fut créé en juillet 77 selon Luc Venet dans son texte publié en 07. Le déménagement vers le local du Boulevard de Sébastopol exista certainement après 73.
«« Lors de la création de l’I.R.E. dont Mi. Et. s’occupa, elle ne quitta pas l’Association pour Auroville. Par ailleurs, elle continua d’y avoir une fonction de dirigeante, et la principale. (Il semble que c’était elle qui fournissait la plus grande partie de l’argent de location des locaux successifs.) Ici on ne sait pas si la fonction de dirigeante cessa d’être officielle pour devenir seulement de fait.
Il n’est pas dit que » » »   « « « cette association changea de nom pour devenir Auroville international France. Il est possible aussi que ce dernier nom ait été pris en plus du précédent. »»
«« Il n’est pas parlé de la grande hostilité d’A.I.F. envers Auroville qui exista en 85, menée par Mi. Et. (Tous ses reproches envers des Auroviliens n’étaient pas injustifiés mais elle sortait de l’illusion où elle s’était placée avant.)
Il n’est pas dit que, après une très petite modération de cette hostilité, cette association nommée Auroville International France (A.I.F.) décida de changer de nom lors d’une réunion du 25 avril 89 pour devenir Agenda International France (A.I.F.), que ses buts furent aussi changés. Peu après, le local du 10 Bd de Sébastopol fut quitté pour aller dans une boutique 16-18 rue des Taillandiers à Paris.
À la date du « Printemps 89 », il est dit que « L’Association pour Auroville » devint « Auroville International France (AIF) » mais c’est donc faux par rapport à ce qui précède. C’est faux aussi par rapport à ce qui suit. Comme déjà dit, l’association Auroville International France (ex-Association pour Auroville) se retrouva en hostilité à Auroville, ce qui finit par provoquer son changement de nom (pour : Agenda International France) et la fin pour cette association de sa position officielle d’être une vitrine d’Auroville, une représentante de cette ville. Mais il y eut des individus de France qui voulaient être dans une association favorable à Auroville et qui serait du même genre que celle d’avant l’hostilité, vitrine de cette ville, représentante de celle-ci, extension comme l’indique le nom. À Auroville, il y eut aussi des Auroviliens qui voulaient avoir une association comme cela en France. Lors d’une réunion dans cette ville avec des Français de France, tenue le 4 juin 89, la décision fut prise de créer une nouvelle association en France, nommée « Auroville International France », nom qui n’était plus employé, et ça se fit ensuite en France. Cette association fut donc créée ainsi. Elle fut toujours indépendante de l’autre (Agenda International France) » » »
« « «
 C’est l’association dont la création fut décidée le 4 juin 89 qui »» est l’auteur du site internet utilisé pour faire le présent article.

Pour exister, il lui fallut donc une réunion à Auroville le 4 juin 89 et l’intervention d’Auroviliens. Elle est vraiment une dépendance d’Auroville. Sa source de vie n’est pas en France. Mais ça n’en fait pas une partie d’Auroville.
Avant son « Printemps 89 », elle plaça un interligne. Ce fut forcément fait pour exprimer qu’il y eut la création de cette association, et pas seulement la suite de celle d’avant. C’est un petit élément de vérité. Il est imperceptible pour les individus qui ignorent cette histoire. Après la date « Printemps 89 », il y a le mensonge notoire : « l’association pour Auroville devient : Auroville International France ».
C’est le mensonge que l’association actuelle A.I.F. répand. L’intérêt est probablement qu’il lui semble bon de pouvoir se dire plus ancienne que ce qu’elle est.
L’histoire venant d’être indiquée ne fut pas secrète. Il est impossible qu’elle soit ignorée par les meneurs d’A.I.F. «« Il y eut donc la volonté de cacher, la volonté de tromper les lecteurs, celle de les illusionner, la volonté de mentir.
Une cause fut peut-être le mensonge consistant à donner l’illusion d’une absence de conflit, d’une unité. Une autre cause fut peut-être qu’on ne voulut pas parler de ce qui se passait alors dans Auroville et qui contribua à l’hostilité et à la rupture. »»

SUR LE SITE D’A.I.F., UNE LETTRE DE SATPREM DATANT DE *78
Sur le site d’A.I.F., lorsque l’on clique sur l’onglet « À propos », puis sur « Auroville international », on arrive sur une page contenant plusieurs parties. L’une est dite être ceci : « Extrait d’une lettre de Satprem [...] ».

La lettre fut adressée à l’association qui existait au Canada, précisément au Québec. Elle fut publiée dans la revue aurovilienne titrée auroville review - revue (sans première lettre majuscule), qui était bilingue anglais-français. Ce fut dans le numéro 2 datant de septembre 78. Elle le fut avec l’indication suivante : « Le texte ci-dessous est extrait d’une lettre [...] ». Le passage qui fut reproduit ainsi semble complet à propos de son sujet. (Dans la revue, il y avait quelque chose qui n’est pas sur le site d’A.I.F., seulement ceci à la fin : « Avec un sourire fraternel [Signé à la ligne :] Satprem ».)
La date » » »   « « « indiquée sur le site d’A.I.F. est « 7.11.78 » c’est-à-dire le 7 novembre. C’est évidemment une erreur puisque la revue est de septembre. (Il y eut peut-être une incompréhension d’une date écrite à la manière étatsunienne et peut-être anglo-saxonne en général, avec une interversion : II (2 en chiffre romain) y devenant 11, novembre, et juillet y étant devenant 7. Si oui, A.I.F. aurait copié son texte sur quelque chose anglo-saxon.) » » »
Ou est-ce que c’est le 11 juillet ? Est-ce que la date exacte pourrait être indiquée par l’association Auroville international Canada (ex Auroville International Québec) ou par la lettre contenant la copie de celle de Satprem qui fut transmise par cette association à Auroville et qui servit à la publication dans la revue indiquée ci-dessus ?

« « « Il y a des différences de forme entre le texte publié dans cette revue et celui publié sur le site d’A.I.F. : ponctuation, soulignements, guillemets, première lettre de mots en majuscule ou non, mots tout en lettres capitales, deux mots inversés, le mot toutes à la place de tous. Il n’est pas possible ici de savoir quelle version est la plus fidèle au texte original quoique l’erreur de date fasse penser à celle publiée dans la revue. Donc, on n’indique pas précisément les différences sauf ceci. Dans la revue, un seul mot est en lettres capitales : incarner dans « vibration qu’il faut INCARNER » (et ce mot y est aussi souligné). Sur le site d’A.I.F., il y a aussi ceci qui l’est : « Auroville LÀ OÙ ON EST. […] QUELQUES ÊTRES peuvent […] capacité d’INCARNER, de VIVRE, l’expérience. […] l’HARMONIE NOUVELLE ».
Dans les deux versions, le fond est le même.
C’est le site d’A.I.F. qui est étudié et c’est donc son texte, complet, qui est reproduit ci-après. Il l’est en caractères gras. » » »
Cet écrit de Satprem est présenté dans un chapitre plus haut.


« « « LES MEMBRES D’A.I.F. NE SONT PAS CENTRÉS CORRECTEMENT MAIS LE SONT, FORTEMENT, SUR AUROVILLE
Sur le site d’A.I.F., la lettre de Satprem est donc reproduite.

Il n’y a aucun commentaire, comme si le contenu était clair, immédiatement compréhensible, et comme s’il n’y avait donc rien à en dire. C’est une approbation globale du contenu qui est ainsi exprimée.
Est-ce que cette association approuve l’apparence première qui est du centrage sur Auroville et l’emploi du mot Auroville pour faire partie du nom d’organismes hors de cette ville ? Il semble que oui. Est-ce qu’A.I.F. utilise cette lettre pour justifier son emploi du nom Auroville France pour son site internet, pour elle-même ?
Est-ce qu’elle comprend la position que Satprem indique dans le fond comme étant la bonne ? A.I.F. valorise des mots de la lettre de Satprem en les mettant en lettres capitales : « LÀ OÙ ON EST », « QUELQUES ÊTRES », « capacité d’INCARNER, de VIVRE, l’expérience », « l’HARMONIE NOUVELLE ». Malgré cela, c’est une position contraire à celle indiquée dans le fond par Satprem qui est celle de cette association française.
En voici une preuve.
En cliquant sur l’onglet « À propos » puis sur « Auroville France », on arrive notamment sur ceci.
« 3 - Evénements en France depuis 2012
- 8 décembre 2012 : forum des idées autour d’une question centrale pour nous, en France : "LA VIE DANS AUROVILLE et AUROVILLE DANS NOTRE VIE". Comment partager, maintenir cet idéal et l’expérimenter dans notre quotidien ? »
D’abord, l’enjeu est de pratiquer le yoga intégral, chacun à son rythme. Même si l’on commence d’abord par être intéressé par Auroville, et même par des éléments plutôt superficiels de celle-ci, on finit par apprendre que la conduite des Auroviliens, au moins des adultes, devrait être de pratiquer le yoga intégral. Des individus qui vivent hors d’Auroville et qui sont très intéressés par celle-ci et qui veulent aider vraiment pourraient penser qu’ils devraient aussi le pratiquer.
Mais ceux qui se regroupent dans l’association française A.I.F. ont un idéal qui s’appelle Auroville. Ils veulent le transmettre à d’autres personnes (« partager »), le conserver, et « l’expérimenter » dans leur vie de tous les jours. L’« idéal » dont il est parlé n’est pas une conséquence de la pratique du yoga intégral mais il est antérieur à une telle pratique puisqu’il est antérieur à toute expérimentation. Il y a donc encore une vie menée par le mental.
Par ailleurs, que signifie « expérimenter », dans la vie de tous les jours, l’« idéal » nommé Auroville ? Apparemment, même les dirigeants de l’association ne le savent pas puisqu’ils organisent une réunion pour trouver des idées concernant cela ! On ne sait pas si les participants à la réunion en trouvèrent car aucun compte-rendu n’est publié. Une publication aurait davantage révélé l’incompréhension, le mauvais état mental des participants à la réunion, et probablement celui des membres de l’association.
En plus de l’idée que les membres de l’association ne pratiquent pas le yoga intégral, il y a l’idée qu’ils sont mal centrés et qu’ils se racontent des histoires.
A.I.F. exprime sa position ailleurs sur son site, ce que voici.

L’IDÉE ERRONÉE QUE LE YOGA INTÉGRAL NE PEUT PAS ÊTRE PRATIQUÉ HORS D’AUROVILLE
A.I.F. n’exprime pas l’idée que le yoga intégral puisse être pratiqué ailleurs qu’à Auroville.

Même si elle y était exprimée, il y aurait ceci.

L’IDÉE ERRONÉE QUE LE YOGA INTÉGRAL NE PEUT ÊTRE PRATIQUÉ QU’À AUROVILLE
Sur le site d’A.I.F., lorsque l’on clique sur l’onglet « À propos » puis sur « Auroville en Inde », on arrive notamment sur une partie « IV » qui est titrée « Le yoga et Auroville ».

Elle commence par une citation de la Mère. « "Ce sont les vieilles méthodes de yoga qui demandent le silence et la solitude, le yoga de demain est de trouver le divin dans le travail et la relation avec le monde". Mère, 22 janvier 1971 »
Ce qui est dit ne concerne pas seulement Auroville et la citation ne devrait donc pas être placée sous le titre relatif à cette ville seulement. Elle devrait l’être avant pour exprimer que c’est dans le cadre de la manifestation supramentale en cours qu’il y a Auroville et que c’est aussi dans le cadre du yoga intégral, comme l’indique notamment la Charte : « il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». Cette citation placée ainsi exprime qu’il y a une mauvaise compréhension de l’ensemble.
Peu après dans le texte du site, on peut penser que la conception correcte est exprimée lorsqu’on lit ceci : « La signification profonde d’Auroville n’est manifeste que dans la perspective de la vision de Mère et de Sri Aurobindo, » mais on constate qu’elle ne l’est pas puisque la suite de la phrase est ceci : « vision qui invite hommes et femmes du monde entier, à rejoindre ce "laboratoire de l’évolution" ».
Encore peu après dans le texte, on peut penser que la conception correcte est exprimée lorsqu’on lit ceci. « L’aventure d’Auroville est celle du "yoga intégral" comme Sri Aurobindo l’a formulé dans de nombreux ouvrages. L’être humain est en constante évolution, son histoire est celle de l’évolution de la conscience à travers les âges depuis des dizaines de milliers d’années. » Dans la suite, on peut s’attendre à lire qu’il y a la manifestation supramentale en cours sur la Terre, et que le yoga intégral peut se pratiquer partout, avec le cas spécial d’Auroville, mais il y a seulement ceci : « Auroville est un lieu d’expérimentation original, le lieu d’une éducation perpétuelle de l’être dans sa vie », et la suite ne concerne aussi que cette ville.
(Concernant la « vision » qui « invite […] à rejoindre » Auroville, il faudrait que l’auteur du texte indique tous les écrits qu’il utilise et qui, selon lui, disent cela, c’est-à-dire l’idée que toute personne qui s’intéresse à Sri Aurobindo et la Mère devrait vivre à Auroville. Car le dire est une erreur. Elle eut des conséquences nuisibles et en a encore. L’auteur aurait pu penser à Satprem et Sujata. À la suite de ce qui est cité ou indiqué ci-dessus, il y a la citation suivante de la Mère. « "La raison d’être d’Auroville est de hâter l’avènement de la réalité supramentale sur la terre. L’aide, de tous ceux qui trouvent que le monde n’est pas comme il devrait être, est la bienvenue. Chacun doit savoir s’il veut s’associer à un vieux monde prêt à mourir, ou travailler pour un monde nouveau et meilleur qui se prépare à naître." Mère, 1er février 1972 » De ce texte, on ne peut pas déduire légitimement qu’il y a « invite hommes et femmes du monde entier, à rejoindre » Auroville.
Par ailleurs, dire « dizaines de milliers d’années » n’est pas assez.) » » »
Premièrement, ce qui est indiqué dans l’avant-dernier paragraphe est inexact car une confusion fut faite entre la notion d’invitation à aller vivre à Auroville, qui existe et concerne tous les individus intéressés, et celle d’aller vivre en ce lieu, qui n’est pas une obligation pour toutes les personnes pratiquant le yoga intégral, chacun à sa mesure, qui peut être petite.

Deuxièmement, A.I.F. aurait pu penser à Satprem et Sujata qui vivaient hors d’Auroville.
Troisièmement, il y a la Zone internationale, qu’A.I.F. ne comprend pas.

« « « IDÉE CORRECTE QUE LES AUROVILIENS (ADULTES) DEVRAIENT PRATIQUER LE YOGA INTÉGRAL
Onglet « À propos », « Auroville en Inde ».

Dans la partie « IV » qui est titrée « Le yoga et Auroville », il y a ceci. « La plupart des auroviliens travaillent selon l’esprit du karma yoga (yoga du travail), s’inspirant essentiellement des écrits de Sri Aurobindo et de la Mère dans leur vie personnelle et collective. »
Cette citation est placée pour montrer qu’il y a l’idée de la pratique du yoga intégral.
(Peu importe de savoir si les mots « la plupart » correspondent à ce qui est indiqué.)
Cela dit, de l’incompréhension est exprimée. Qui ne comprend pas ? Quelques Auroviliens ? Ou Auroville tout entière ? Ou seulement A.I.F ? Ou tout cela ?
Car le « karma yoga » ne concerne pas seulement le travail. C’est toute la vie qui est en jeu. Il y a notamment le lieu où l’on vit, toutes les activités effectuées, notamment le travail (rémunéré ou non), les relations, etc. L’incompréhension est même exprimée dans la traduction de « karma yoga » : « yoga du travail » alors que le vrai nom, au moins dans le langage de Sri Aurobindo et de la Mère, est yoga des œuvres » » », plus précisément : yoga des œuvres divines. « « « Ça concerne toutes les actions, avec notamment leurs motivations. Dans A.I.F., s’il y avait une pratique véritable, on n’aurait pas écrit « yoga du travail ». On ne l’aurait pas écrit si, même sans pratique, il y avait une compréhension correcte de ce que c’est.
Par ailleurs, il n’est pas dit : font le karma yoga, ou, éventuellement, : « travaillent selon » le « karma yoga ». Il est dit « travaillent selon l’esprit du karma yoga ». On comprend encore que quelque chose ne va pas, qu’il y a de l’incompréhension. » » »

Ce qui est écrit dans l’avant-dernier paragraphe n’est pas entièrement exact. Ce qui l’est est, semble-t-il, ce qui est indiqué ci-après. Ce sont deux passages qui proviennent d’un article publié en mai 2018* sur le blog Ohoettilto-3, de Canalblog, dans un article concernant le texte titré Quelle Ville ? de Divakar Publications, qui se trouve par la colonne de gauche, à la date de janvier 18, avec le mot Méfaits.


Premier passage.
Dans le yoga intégral de Sri Aurobindo et de la Mère, le yoga des œuvres, yoga de l’action, dit aussi karma-yoga, est l’une des trois sortes de yoga. C’est celle qui est la plus pratiquée spontanément lorsqu’aucune des deux autres ne s’impose dès le début, et sans parler ici de jonctions postérieures indiquées.
Le yoga des œuvres ne consiste pas seulement à effectuer du « travail consacré » pour reprendre les mots de l’auteur. Il ne consiste pas seulement à effectuer d’une certaine manière le travail (rémunéré ou non) que l’on a déjà (lorsqu’on en a un). Il inclut éventuellement la sortie d’une situation familiale ou professionnelle ou d’un mode de vie ou d’une conception ou de tout autre situation ou toutes en même temps, dans laquelle ou lesquelles on était mais qui étaient contraires à son psychique. Il peut donc inclure notamment une période sans travail (rémunéré ou non) mais avec la continuation de la poussée du psychique pour chercher à se retrouver dans la situation qui lui correspond, celle où il peut s’épanouir, grandir, de plus en plus. Et ça peut finir par mener l’individu, après des péripéties, à trouver son action à accomplir. Il y a des gens qui se retrouvent dedans rapidement. On peut se retrouver dans des conflits, et même en créer. L’auteur n’envisagea pas tout cela. Il a tort de dire que le « yoga […] des œuvres » est le « yoga […] du travail consacré ».
En plus, ce qui peut être nommé « yoga […] du travail consacré » n’est pas un raccourci du yoga intégral car il inclut notamment tout ce qui concerne la descente de la Force de la Mère et la montée, celle dite de la koundalini, c’est-à-dire tout ce qui finit par produire cela en réponse.

Deuxième passage.
C’est la citation d’un passage de La Synthèse des yogas de Sri Aurobindo, le premier tome où il y a la partie titrée Le Yoga des Œuvres Divines, chapitre IX. « Tout est notre moi, un seul moi qui a pris beaucoup de formes. La haine et l’antipathie, le mépris et la répulsion, l’avidité et l’attachement et la préférence, sont choses naturelles, nécessaires, inévitables même à un certain stade ; elles servent ou aident à faire et à fixer le choix que la Nature veut accomplir en nous. Mais pour le Karmayogi, ce sont des survivances, des pierres d’achoppement, des procédés de l’Ignorance, qui tombent de sa nature à mesure qu’il progresse. L’âme-enfant en a besoin pour grandir ; mais tout cela se détache de celui qui est adulte de la culture divine. La nature divine à laquelle nous devons nous élever, peut avoir une sévérité inflexible et même destructrice, mais pas de haine ; une ironie divine, mais pas de mépris ; un refus calme, clairvoyant et plein de force, mais ni répulsion ni antipathie. Même ce qu’il faut détruire, nous ne devons pas l’abhorrer, ni manquer de reconnaître que c’est un mouvement déguisé et temporaire de l’Éternel. »
Premièrement, il est parlé d’une progression : « à mesure qu’il progresse ». Il y a des progrès successifs qui n’arrivent pas soudainement sans cause mais qui arrivent en tant que conséquences de la pratique du yoga intégral de Sri Aurobindo et de la Mère.
Deuxièmement, il est dit que certaines « choses » indiquées « tombent de » la « nature » à mesure des progrès, et ça correspond à des changements de cette nature qui arrivent en conséquence de la pratique du yoga intégral. Il n’est donc pas parlé de jouer à se conformer à un idéal, de se donner une apparence, une image.
Troisièmement, même la « nature divine à laquelle nous devons nous élever » n’exclue pas la création ou la participation à des divisions, des conflits et même des destructions.
Quatrièmement, il est dit que, « le Karmayogi », c’est-à-dire le pratiquant du karma yoga, le yoga des œuvres, peut avoir (au début et peut-être pendant longtemps) les « choses » indiquées qui sont des « procédés de l’Ignorance » en tant que « survivances » et « pierres d’achoppement ». Par ailleurs, il est dit aussi quelles sont des caractéristiques de la « nature divine à laquelle nous devons nous élever » à propos de l’action, des œuvres.
Cinquièmement, pour passer de la première position à l’autre, il y a de nombreux degrés et c’est exprimé implicitement par « à mesure qu’il progresse ».
Sixièmement, il n’est pas dit expressément dans ce passage, mais c’est une évidence qui est sous-entendue, que, pour passer d’une position à l’autre, plusieurs vies peuvent être nécessaires.
Septièmement, tant qu’un individu n’a pas encore la « nature divine à laquelle nous devons nous élever », il agit d’après l’état de conscience qu’il a, qui peut inclure de faire un effort pour être meilleur, ce qui n’inclut pas de jouer à un jeu, d’être malhonnête, hypocrite, mensonger.

Ici est la fin de l’ajout placé lors de la rédaction du présent texte. Voici d’autres guillemets français ouvrants qui sont triplés, ainsi que leur suite.

« « « Dans la partie « VII » titrée « L’organisation d’Auroville », dans sa partie « 3- La société », il y a ceci. « Auroville veut être une ville où les habitants venant du monde entier pourraient vivre en harmonie, en essayant de réaliser l’unité humaine en étant au service de la Vérité, […]. »
Il y a l’idée que c’est « en étant au service de la Vérité » que « l’unité humaine » pourra être réalisée. Il n’y a donc pas l’idée qu’il faudrait s’agiter à propos de cette dernière, qu’il faudrait chercher à la créer, sans s’occuper de pratiquer le yoga intégral.
Dans la première partie du film « Dialogues en humanité », à 12 minutes 52 secondes, la présidente d’A.I.F., Na. Lo., dit que, pour les « jeunes » individus qui arrivent à Auroville pour y vivre, « le yoga intégral de Sri Aurobindo doit être quand même la base de la motivation ». C’est bon. C’est valable pour les individus qui ne sont plus des jeunes. » » lorsqu’ils arrivent en cette ville. « « C’est aussi valable pour tous les Auroviliens.

EXPRESSIONS QUI MONTRENT QUE L’IDÉE CORRECTE N’EST PAS VRAIMENT COMPRISE PAR A.I.F.
SUR LE SITE INTERNET

Concernant « travaillent selon l’esprit du karma yoga (yoga du travail) », il y a les trois derniers paragraphes du commentaire qui est ci-dessus.
Dans la partie « IV » qui est titrée « Le yoga et Auroville », il y a ceci. « […] l’expérience d’Auroville […]. C’est une expérience intense qui tente l’impossible : réaliser l’unité humaine et "changer" la nature de l’homme. » Il y a le contraire de l’idée que c’est à la mesure du changement qu’il y a, comme conséquence, « l’unité humaine ».
Dans la partie « VII » qui est titrée « L’organisation d’Auroville », il y a la sous-partie « 3 » qui est titrée « La société ». Dedans il y a notamment ceci. « Le "liant" qui tient ensemble les Auroviliens et les aident [aide] à surmonter leurs différences est l’aspiration commune pour réaliser collectivement l’idéal d’Auroville. »
Il est parlé de « réaliser » un « idéal ». Il n’est pas parlé du moyen d’y arriver qui est la pratique du yoga intégral.

DANS LE FILM EN DEUX PARTIES
Deuxième partie du film, à 0 minute et 20 secondes.
Au début, c’est l’interrogateur qui parle. La présidente d’A.I.F., Na. Lo., répond.
« - Et est-ce que vous voudriez reproduire Auroville dans d’autres pays ? Par exemple, est-ce que c’est... , est-ce que vous avez été contacté par d’autres pays qui voudraient refaire... au Brésil ou je ne sais pas, moi, en France... ? Ou est-ce que ça existe déjà, ce genre de coopération ou de projet ?
- Il y a des essais, au Maroc et en Afrique, de... D’ailleurs, c’est un de nos adhérents, Hassan, qui développe son... un projet qui... dont l’esprit est tout à fait celui d’Auroville. Il y a l’esprit de Sadhana Forest, qui est une émanation d’Auroville, même si c’est une expérience qui... qui est un peu... à part... autour d’Aviram, mais c’est l’esprit d’Auroville. Donc, euh...euh...
- Aviram, c’est [mots incompréhensibles] permaculture. Donc, ce n’est pas tout à fait le même...
- Oui, mais l’esprit d’Aviram est un esprit... euh...il est...
- … aurovilien.
- Oui, aurovilien. Donc... des tentatives ailleurs, oui, je pense, mais... je crois que, par exemple, les Dialogues en humanité ou les Créatives culturelles ou... toutes ces personnes qui sont... en marche vers quelque chose, même s’ils ne sont pas Auroviliens, ils sont en marche. C’est ça qui est le plus important, c’est être en marche, non !?
- Absolument. »

Auroville est une ville qui est unique. Il y a son origine. Il y a que « La raison d’être d’Auroville est de hâter l’avènement de la réalité supramentale sur la terre ». Il y aussi le Matrimandir dont la Mère indiqua » » ce qui correspond à ceci qui est une traduction originale d’après une traduction « « en anglais : « Construisez le Matrimandir, mettez mon symbole en place et celui de Sri Aurobindo, et le globe. Je prends sur moi d’en faire un centre très fort. » Cela suffit pour montrer qu’il ne peut donc pas exister une ou plusieurs autres villes comme elle.
Na. Lo. ne l’a pas encore compris. D’Auroville, elle ne perçoit pas tous les aspects. C’est pour cela qu’elle admet que d’autres villes comme Auroville puissent exister. Depuis le début d’Auroville il y a des gens comme cela et, en France, plusieurs personnes s’imaginèrent pouvoir y faire cela.
Le Maroc est en Afrique. Na. Lo. emploie ce dernier mot pour faire allusion à ce qui existe au Burkina Faso et qui est « Aurovillage ». Dans ces deux pays, surtout dans ce deuxième, c’est la même personne qui agit. (Sur le site internet notreatelier.blogspirit.com, voir l’article de 09 qui est titré Aurovillages : avec le Burkina Faso, le Maroc ?) L’individu est prénommé « Hassan », qui est aussi connu par le surnom Yaristan. C’est « son » projet qui est mis en œuvre au Burkina Faso, qui est soutenu par Auroville et qui a aussi des soutiens hors de cette ville.
Il est dit que l’« esprit » d’Aurovillage est « tout à fait celui d’Auroville ». C’est une erreur. L’esprit d’Auroville, c’est la Mère. Pour savoir ce qu’est Aurovillage, lire l’article du site Ohoettilto qui est titré Contestation du projet « Aurovillage » et de son auteur, qui sont soutenus notamment par Auroville. Ce que Na. Lo. ne comprend pas d’Auroville est donc exprimé aussi ainsi.
L’autre exemple concerne un Aurovilien prénommé Aviram qui s’occupe de reforestation et de conservation d’eau. Il y a un autre film de « Dialogues en humanité » où il s’exprime. On y apprend qu’il va à Haïti et au Kenya pour enseigner la reforestation telle qu’il la conçoit. En admettant que cet individu sache faire cela d’une manière efficace, apporter cela en d’autres pays fait partie de ce qu’Auroville peut apporter au monde. Mais ce n’est pas cela qui peut légitimement être appelé « esprit d’Auroville ». Par ailleurs, ça n’a rien à voir avec l’idée de créer d’autres villes comme Auroville. L’interrogateur, vu sa réponse disant que cet Aurovilien s’occupe de « permaculture », comprend mieux la différence que Na. Lo. Et puis, pourquoi dire que quelque chose appelé « Sadhana Forest » est « une émanation » d’Auroville ? Qu’est-ce que ça signifie ? Qu’est-ce qu’est vraiment cette chose nommée « Sadhana Forest » ?  » » »
Auroville commença dexister, avec ce nom, au sud-est de son emplacement actuel caractéristique, en un quartier  nommé Promesse. Dautres terrains furent achetés par là avant que, vers septembre 65, le lieu envisagé pour créer Auroville fût déplacé vers le nord-ouest. Est-ce que le quartier Sadhana Forest en fait partie ? Si oui, il ne serait pas une « émanation », si ce mot correspond à une extension territoriale. Cette dernière notion existerait si le terrain avait été acheté après, mais le mot « émanation » ne conviendrait pas pour désigner cela.
Une recherche sur internet montre quil y a un organisme international qui est nommé Sadhana Forest, fondé par les habitants du quartier aurovilien qui est nommé ainsi. Il a des zones territoriales en dautres pays. Est-ce que cest cet organisme qui est appelé « émanation » ? » ?
Que ce soit oui on non, est-il correct quune partie territoriale dAuroville soit utilisée dans un tel organisme international ? Est-ce quil est correct que ce qui est dans la personne morale quest Auroville soit aussi dans une autre personne morale ? Est-ce quil y a un usage abusif ?
Voici la suite immédiate du texte reproduit.
« « «
Finalement, le critère annoncé qui est employé par Na. Lo. est celui d’être en marche, et il n’est même pas dit vers quoi. En réduisant Auroville à des individus qui sont en marche ainsi, il est facile d’annoncer qu’il y a des équivalents ailleurs. Mais ça ne vaut rien.

Première partie du film, à 3 minutes et 51 secondes.
Questionneur : « Au départ, j’imagine qu’il y avait une âme, peut-être portée par la Mère, qui était à l’origine de ce projet, et aujourd’hui, comme elle a disparu physiquement, est-ce que cette âme est encore présente ? Est-ce qu’elle a évolué ? Est-ce qu’elle a changé ? Est-ce qu’elle est nourrie par les nouveaux arrivants qui n’ont peut-être pas forcément les mêmes motivations que celles de ceux qui sont venus au départ ? »
Dans la réponse de la présidente d’A.I.F., Na. Lo. il y a ceci. « […] l’idéal est toujours là. Il y a toujours une âme et je pense que le Matrimandir, qui est le cœur spirituel d’Auroville, est en même temps un centre extrêmement important. Extrêmement important... c’est pas une église, hein ! entendons-nous bien.
- Mais c’est aussi un [mots incompréhensibles, peut -être : centre dynamique] parce que c’est vrai que, tel qu’il est disposé, il attire beaucoup d’énergies.
- C’est un centre très fort, c’est un centre effectivement, de cohésion. Euh... Et... y a toutes sortes effectivement de vibrations autour. Il y a une vie commerciale mais peut-on vivre sans commerces !? Tout dépend comment on le fait ! Auroville doit être une ville, donc avec tous les aspects de la ville. »
Vu les questions du début, on aurait pu répondre par exemple que l’âme d’Auroville est la Mère, pas la femme qui était appelée ainsi, mais ce qui était incarné en elle, et que c’est à cela qu’il faut s’ouvrir (pas seulement à Auroville), que c’est perçu ou pas perçu par chacun selon son développement, que ça peut être fortement perçu dans le Matrimandir où il y a une grande concentration de force.
La réponse faite par Na. Lo. semble montrer qu’elle sait cela mais aussi que c’est seulement en pensées et que, donc, elle passe à côté.

A.I.F. À PROPOS DE RELIGIONS
Sur le site d’A.I.F., lorsque l’on clique sur l’onglet « À propos » puis sur « Auroville en Inde », on arrive notamment sur une partie « IV » qui est titrée « Le yoga et Auroville ». Dedans, il y a une sous-partie qui est titrée « Religions ».

Est-il bien que, à propos de « yoga », le yoga intégral, on parle de « Religions » ? Non, mais on aurait pu comprendre que l’on dise Distinction d’avec les religions. Le mieux aurait été de ne pas parler de religions dans la partie « yoga ». Ou il aurait fallu parler aussi de l’athéisme et d’autres croyances.
Juste après le titre « Religions » il est écrit « Il n’y a pas de religions à Auroville ».
Il n’aurait pas fallu dire cela sous un titre contenant le mot yoga.
Par ailleurs, dire ainsi qu’il « n’y a pas de religions à Auroville » est une erreur et même un mensonge. On aurait pu exprimer l’idée que la Mère prévit qu’il n’y en ait pas mais qu’elle envisagea aussi qu’il y en ait si des Auroviliens en étaient encore avec le niveau de conscience contenant de la religion et l’exprimaient. Ce deuxième cas fut exprimé dans la réponse à la question suivante : « Peut-on conserver la religion à Auroville ? » La Mère répondit ceci : « Si on en est encore là ». Mais ce n’est pas ce qui est exprimé sur le site d’A.I.F. puisqu’il est écrit qu’il n’y en a pas. Pourtant, il y en a : noms religieux de lieux, bâtiment nommé Pavillon de la culture tibétaine, qui est religieux (voir l’article du site Ohoettilto qui est titré À bas le bâtiment nommé Pavillon de la culture tibétaine qui est dans la Zone internationale d’Auroville !), autels à un dieu et une ou plusieurs déesses hindouistes comme dans la salle à manger de la Cuisine solaire, auto-collant rond représentant la déesse Marie du christianisme papiste avec ses douze étoiles le long du bord et qui est collé sur le garde-boue avant d’un vélo et face auquel on peut se retrouver. Il y a d’autres expressions de l’incompréhension qui fait que, sous prétexte qu’il y a un élément divin qui s’est entouré d’enveloppes pour s’incarner, il y a l’admission cultuelle de ce qui résulte de la prise d’enveloppes, et même de ce qu’en font en plus des religions. C’est notamment le sort de la déesse Marie du papisme, qui y est une fanatique qui est censée agir pour exterminer les humains qui ne veulent pas de la domination de l’Église papiste. Sous prétexte qu’un élément divin est aussi dans les assouras qui existent encore, des Auroviliens et leurs soutiens se mettront-ils à exprimer notoirement qu’il faut respecter ceux-ci et tous les êtres qui en découlent !?
Aussitôt après la dernière citation, il y a ceci. « Bien qu’elles soient respectées en tant que chemins choisis pour accéder à une réalisation intérieure, les religions sont perçues comme sources de division et ne peuvent donc pas conduire à […]. »
Le verbe percevoir place l’idée qu’elles ne seraient pas de telles « sources de division ». Il y a donc un mensonge car les religions sont des sources de divisions (en plus d’être elles-mêmes produites par de la division).
Il est dit que, à Auroville, puisque c’est d’elle dont il est parlé, les religions sont perçues comme étant de telles sources. Il n’est pas dit que ce n’est pas que dans cette ville que les religions furent dénoncées comme telles par Sri Aurobindo et la Mère.
En plus, ce ne fut pas seulement comme telles qu’elles furent dénoncées mais aussi comme bloquant le développement. Voici une citation qui concerne l’enseignement. Elle provient du tome 13 de l’Agenda, au 15 juillet 72, mais elle avait surement été déjà publiée avant. « Il ne faut pas confondre un enseignement religieux et un enseignement spirituel. L’enseignement religieux appartient au passé et arrête le progrès, l’enseignement spirituel est l’enseignement de l’avenir. Il éclaire la conscience et la prépare pour la réalisation future. L’enseignement spirituel est au-dessus des religions et s’efforce vers une vérité totale. Il nous apprend à entrer en rapport direct avec le Divin. » A.I.F. ne dit rien de cet aspect. Pourquoi ? Cherche-t-elle à protéger les religions, à les favoriser ?
Par ailleurs, A.I.F. exprime que tous les membres de toutes les religions cherchent à « accéder à une réalisation intérieure ». C’est un mensonge. Dans l’Église catholique romaine par exemple, ça n’existe pas. Ce n’est même pas recherché par ses dirigeants. A.I.F. idéalise les religions. Quel est son intérêt à faire cela ? Cherche-t-elle à les protéger, à les favoriser ?
Par ailleurs, où fut-il trouvé que, dans Auroville, les religions devaient être respectées ? La réponse de la Mère indiquée plus haut (« Si on en est encore là. ») ne signifie pas cela. Elle signifie que, si des Auroviliens, par manque de développement, en sont encore à être religieux et à exprimer cela, il y aura de la religion dans Auroville. Ça ne signifie pas que des Auroviliens ou des passants aient l’interdiction de s’en moquer, de réclamer que, au moins, ça ne soit plus exprimé de manière à être visible par d’autres Auroviliens dont eux-mêmes et par les personnes qui passent dans cette ville. Il n’y a donc pas la signification que les individus qui sont antireligieux et Auroville dans son ensemble doivent respecter les religions. Pourquoi A.I.F. parle-t-elle de respect des religions dans Auroville ? Est-ce que c’est parce que c’est ce qui se passe dans cette ville alors qu’A.I.F. n’est pas d’accord ? Si A.I.F. ne l’était pas, elle pourrait le dire or elle ne dit rien. Cherche-t-elle à protéger les religions, à les favoriser ?
Et puis, alors qu’A.I.F. parle du respect des religions dans Auroville, pourquoi ne parle-t-elle pas du respect de l’athéisme en tant que moyen de combattre les religions ?
Est-ce que c’est parce qu’Auroville respecte les religions puisqu’il y en a et qu’elle n’en interdit même pas leurs expressions visibles ? Est-ce que c’est parce qu’Auroville ne respecte pas l’athéisme ? Est-ce que c’est parce qu’Auroville interdit sur son sol les moqueries adressées aux religions et leurs adeptes, en faisant taire les opposants ? Si oui, elle ferait surement cela au nom de ladite unité humaine. Mais est-ce que c’est seulement parce qu’A.I.F. veut protéger les religions, les favoriser, qu’elle ne parle pas de respect de l’athéisme ? Dans tous les cas, c’est cela qui est exprimé objectivement sur le site internet d’A.I.F. Ça correspond à la position d’Auroville qui approuve l’U.N.E.S.C.O. et sa protection des religions et des dominations religieuses, qui sont des tyrannies religieuses, et qui veut les augmenter.
Pour terminer, voici une citation qui vient du livre titré Pensées et aphorismes de Sri Aurobindo, traduit par la Mère et avec ses commentaires, édité à Pondichéry par Sri Aurobindo Ashram.
Aphorisme 241. « L’athéisme est une protestation nécessaire contre la perversité des Églises et l’étroitesse des credo. Dieu s’en sert comme d’une pierre pour écraser ces châteaux de cartes souillés. »
La Mère, en commentaire. « Tant qu’il y aura des religions, l’athéisme sera indispensable pour les contrebalancer. Tous les deux doivent disparaitre, pour faire place à une recherche sincère et désintéressée de la Vérité et à une consécration totale à l’objet de cette recherche. »     » » »
Ce mot « Dieu » ne désigne pas la même chose que dans les religions dites monothéistes.

« « « A.I.F. SOUTIENT LE PROJET AUROVILIEN DE ZONE INTERNATIONALE ET AUSSI LE GROUPE AUROVILIEN PAVILLON DE FRANCE ET SON PROJET
Dans un texte publié sur le site Ohoettilto en avril 12, il y a le passage suivant qui est placé ci-après entre des guillemets doubles, le caractère gras du titre étant enlevé ainsi que le retour à la ligne. «« POSITION DE L’ASSOCIATION NOMMÉE AUROVILLE INTERNATIONAL FRANCE Est-ce que l’association française nommée Auroville International France soutint ou soutient le prétendu Pavillon de » » de « « France ? On ne sait pas mais c’est probablement oui puisque cet organisme est, par nature, soumis à Auroville, une dépendance. » »

Sur le site d’A.I.F., en cliquant sur l’onglet « À propos », puis sur « Auroville France », on arrive à une page où il y a notamment la partie « 4 - Nos projets ».
Dedans, il y a ceci : « 7. Pavillon de France/Université Internationale/Cirhu : Zone Internationale ».
A.I.F. approuve donc cela et les soutient. C’est normal vu ce qu’elle est. (Voir deux articles du site Ohoettilto concernant ces sujets, les deux premiers de la série. Menu Réflexions, puis Auroville, puis Opinions caractéristiques du site Ohoettilto.)
Sur le site d’A.I.F., en cliquant sur l’onglet « Actualités », puis sur « Archives », on arrive sur un texte qui est titré « La statue de Sri Aurobindo à l’UNESCO ». On y raconte l’inauguration faite le 21 octobre 14 d’une statue de Sri Aurobindo placée dans le jardin du bâtiment parisien de cet organisme international onusien. Il y avait Karan Singh, le président de l’institution indienne nommée en français Fondation pour Auroville. Il y avait aussi la directrice de l’U.N.E.S.C.O., nommée Irina Bukova, et l’ambassadrice de l’Inde.

Il est écrit ceci. « AVI France a collaboré à la préparation de cet évènement, de nombreux adhérents sont venus. Il y avait aussi José Luis qui représentait AVI Spain et Gilles Lachaud, Président en France du Pavillon de France. Nous avons remis aux officiels des livres sur les AVI internationaux. Nous avons pu nous entretenir avec le Docteur Karan Singh et lui faire part de nos activités pour Auroville. Il a encouragé A4A, projet vital de consolidation des terres et beaucoup insisté sur la réalisation concrète du Pavillon de France. "Pourquoi n’est-il toujours pas construit" a-t-il dit avec véhémence ? "Aujourd’hui il doit y avoir un pavillon européen représentant les différents pays" ! »
A.I.F., dite AVI France, approuve l’U.N.E.S.C.O. et approuve donc notamment son soutien aux tyrannies religieuses. Voir l’article du site Ohoettilto qui est titré Auroville approuve deux groupes de traités internationaux et leurs conséquences qui sont pourtant mauvais : ceux concernant l’O.N.U. et ses satellites, et ceux de ladite construction de l’Europe.
Les membres d’A.I.F., au lieu d’agir pour se faire évoluer avec des conséquences dans la société, considèrent qu’il est bien de soutenir l’U.N.E.S.C.O, cet élément du vieux monde, mais en soutenant aussi le placement de la statue indiquée.
A.I.F. n’est pas de la lignée de la Révolution française mais en est une ennemie.
C’est confirmé par son soutien au groupe Pavillon de France, qui est approuvé à propos de tous ses aspects. Il y a aussi les autres soutiens, notamment celui qui est dit « Président en France du Pavillon de France ». (Ce nom, inventé par l’auteur du texte, provient aussi d’une pensée pas rigoureuse.) Il n’est pas étonnant que tout ce petit monde se retrouve dans une même situation.
Dans le texte, il est aussi écrit ceci. « C’est une reconnaissance de l’œuvre spirituelle immense accomplie par Sri Aurobindo pour l’humanité a dit madame Bukova. Sri Aurobindo a-t-elle déclaré est à l’origine du projet d’Auroville, sa vision continue à inspirer le monde et à l’enseigner. »
Si cette personne avait compris vraiment, elle n’aurait pas dit « œuvre spirituelle » ou pas seulement cela.
On ne sait pas à quoi elle pense lorsqu’elle dit « continue à inspirer le monde ». Même si elle ne parlait que de l’U.N.E.S.C.O., elle se tromperait. Voici un seul exemple. Dans l’article du site Ohoettilto dont le titre commence par Auroville approuve deux groupes de traités, une décision de cet organisme est présentée, celle où il y a notamment « exhorte au respect […] des convictions religieuses et des symboles religieux ». C’est de l’incitation aux tyrannies religieuses et à la soumission à celles-ci. Lire l’article venant d’être indiqué. Sri Aurobindo est présenté comme l’inspirateur de cela. On en fait donc un tyran religieux, un criminel du point de vue du développement de la conscience, du point de vue de la liberté, de l’égalité en droits, ... A.I.F. approuve cela puisqu’elle n’en dit rien.
Est-ce que l’incitation faite par le président de la Fondation pour Auroville à propos de la construction du bâtiment imaginé par le groupe d’Auroviliens désigné par le nom Pavillon de France aura de l’effet ?
Mais il semble que ce président annula aussitôt son soutien à un tel Pavillon puisque, pensant peut-être à ladite construction de l’Europe qui existe, il se mit à parler aussitôt après d’un seul pavillon, le « pavillon européen ». Et, étant suffisamment dans la réalité, il enchaina en disant qu’il concernerait « les différents pays » impliqués dans cela, pas un seul pays nommé Europe ou Union européenne ou autrement.
Mais il se peut que « pavillon européen » désigne seulement le bâtiment voulu par le groupe P. de F. Si c’est le cas, il est dit que ce pavillon devrait représenter « les différents pays » impliqués. En ce cas, il y aurait aussi l’anéantissement d’un pavillon pour un seul pays, la France.
Dans tous les cas, c’est de la confusion intellectuelle qui fut exprimée par cet Agité qu’est le président de la Fondation pour Auroville. Celle-ci pousse à commettre des sottises.
Quoi qu’il en soit, si le soutien par ce président est nouveau, P. de F. pourra l’ajouter dans la liste de ses soutiens.
En cliquant sur l’onglet « Actualités » puis sur « Evènements à venir », on arrive notamment à la partie qui est titrée « à Auroville ». Dedans, il y a ceci. « 21 février 2015 : inauguration de la zone européenne dans la Zone Internationale. Pierre de fondation, plantation d’un arbre et apport de terre des différents pays ou régions d’Europe. L’arbre sera planté dans ces terres mélangées à celle d’Auroville. »
Les Agités à propos de la Z.I. s’occupent donc d’incarner davantage leur folie. S’ils le font, ils seront accompagnés par des inconscients.
Il y aura surement des écrits, et des discours dont au moins certains seront transcrits. Il y aura donc davantage d’expressions du mal qui produit cela, qui sera donc davantage révélé. Ça fera l’occasion d’un nouvel article publié sur le site Ohoettilto.
(Dans l’hypothèse où la zone américaine et la zone océanienne étaient aussi inaugurées, est-ce que Pavillon de France s’occupera d’y établir un bâtiment ou autre chose pour les parties actuelles de la France qui sont sur ces continents ?)

CONCLUSION
La source de vie de l’association française nommée Auroville International France qui naquit en juin 89 n’est pas en elle-même. Sa vie semble faite d’une succession d’impulsions de vie suivies par un peu d’entrain et par de l’affaissement... jusqu’à ce qu’un nouvel élan soit donné. Sa présidente actuelle, Na. Lo., donne un nouveau dynamisme. Finira-t-il comme les précédents ? » » »


Ici est la fin de l’article qui était placé sur le site internet Ohoettilto désormais interdit.

Pour certains membres de l’association n°2, est-ce qu’il y aura finalement la question suivante : vu tout ce qui ne va pas dans cette association, son nom débile, ses mensonges, etc., dois-je la quitter ?
L’avenir de l’association Auroville International France est sa dissolution tôt ou tard car tout changement positif ne pourrait pas supprimer ce qui est à son origine. La rupture que fit l’association n° 1 avec Auroville en 1989* n’entraina pas de changement dans cette ville ni dans l’organisme international Auroville International. Est-ce que l’auto-dissolution de l’association n° 2 pourrait en avoir ?
Tant que cette association ne sera pas dissoute, elle montre toujours plus ce qu’elle est, notamment son peu de conscience, elle se révèle de plus en plus, et c’est intéressant.


Pour lire la suite, cliquer ici.

 

 

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